mercredi 29 juillet 2015

Conséquence affaire Tamsir : Regardez la liste des parents de Macky nommés dans les ambassades et consulats



Regardez la liste des parents de Macky Sall,  nommés dans les  ambassades et consulats. La liste est très loin d’être exhaustive. L’armée, la police, la gendarmerie, la plupart des ministres et minstres conseillers, Le Soleil, Aps, la maison de la presse, la Rts, Petrosen, Direction de la statistique et de la démographie au Sénégal, (ARMP), (ARTP sont entre les mains du même clan



Radio Sunuker présente Emission « Xew Xewi Rewmi » avec Ahmadou Diop du 28 Juillet 2015: Affaire Tamsir Faye, un scandale d’état: ou la chronique d’une chute annoncée. Amine et inch Allah !



Affaire Tamsir Faye, un scandale d’état parmi tant d’autres. Un scandale d’état qui n’en finit pas, un autre reprend ses droits, nécessairement c’est la règle. Halte à la diplomatie scandaleuse de la fripouille ! La diplomatie médite n’est qu’un prolongement de la face émergée de l’iceberg au Sénégal- – Récemment, on se rappelle que l’ex Consul Général du Sénégal à Marseille, avait usé de sa voiture de fonction, pour casser la marche, autorisée par le préfet. Est-ce donc un hasard ou la suite d’une justice céleste ? Certes, défendre est une chose salutaire de soutenir par réflexe, nationaliste, patriotique, la diplomatie sénégalaise, d’ou qu’elle puisse se trouver sur toute la planète, à condition que les postures soient fondées sur l’éthique, l’équité, à savoir la compétence, le sacerdoce et le dévouement. 
En effet, si le diplomate réunit toutes ces conditions, cela constitue, assurément à n’en pas douter, un devoir moral pour le protéger, à contrario, si les nominations sont autres que l’aptitude professionnelle, en dehors de la qualité requise pour obtenir ce poste, c’est-à-dire l’appartenance politique, laquelle est tributaire à des critères exclusifs de proximité avec le couple présidentiel, soit par des rapports de consanguinité, un tel choix clanique n’est ni judicieux, ni raisonnable. Or dans le cas précité, avéré, certains diplomates sénégalais sont décriés et pour cause. Défendre de telles personnes c’est faire de preuve de partialité flagrante, qui est contraire à la droiture. 
C’est donc ridicule de défendre des diplomates alcooliques, exhibitionnistes, en fermant les yeux et qu’on tente de maquiller sous l’autel d’un racisme prétendu, et non prouvé, jusqu’à preuve du contraire. l’apr ne peut défendre des indéfendables. Vouloir le faire, cela participe à des légèretés, qu’on ne saurait accepter sous aucun prix, surtout, quand il s’agit d’un diplomate notoirement connu pour son goût immodéré à l’alcool. Il appartient donc à la justice de situer les responsabilités des uns et des autres. Mais en état de cause, l’attitude d’un diplomate en état d’ivresse sur la voie publique et manifestement scandaleuse, est totalement antinomique à son rang, ne peut servir d’arguments solides pour le réhabiliter. 
Le 15mai 2011, ce que la presse internationale appelait à l’époque, l’agression sexuelle « ou l’affaire DSK », les français pouvaient-ils défendre à l’unanimité, le fonctionnaire international, présumé coupable par le parquet de New York, sous le prétexte qu’il était couvert par l’immunité diplomatique, même si la suite est connue. Macky Sall est donc le seul responsable de la diplomatie sénégalaise en dégringolade, dangereusement effilochée. Et personne ne peut le nier, à moins que l’on fasse preuve de partialité flagrante sur cette question. Si par extraordinaire qu’il ait tenté par le diable, l’homme de la rupture éclopée, s’offusque à organiser le référendum populaire à date échue, selon l’article 27 de la constitution, la réplique nationale doit sévir. « Sac am deunde yombna wayé fokoy teugué moo diafé », en langage clair, voler un tam-tam est une chose, mais le battre, c’en est une autre, dit bien un adage de chez nous. C’est bien les effets induits d’un amateurisme estampillé « état-apr », versus alliance pestilentielle des rancunes et des rapines. Décidément, la cote de popularité de la diplomatie sénégalaise, qui faisait notre fierté sur le plan international, s’est totalement amoindrie au point que nous payons, aujourd’hui, indument le prix fort à cause de l’étourderie macky Sall, l’élève qui ignore totalement le fonctionnement d’un état civilisé politiquement. 
Des sénégalais, humiliés, traités et traînés dans la boue comme des rien que, où tués lâchement en Europe et dans le monde, cela ne l’offusque nullement. Apparemment, les préoccupations des sénégalais de l’extérieur, facteurs de développement, ne sont ni dans son champ d’action, ni dans ses radars. En politique, tout se tient en toute logique. C’est une question de méthode de travail et de leaderships nationalistes à l’endroit. Or, depuis le regrettable soir du 25 mars 2012, l’apprenti sorcier, l’opposant de circonstance, macky sall- le maquilleur-« Charlie ou l’affairiste Pétain Noir, le guide népotique du symbole maléfique, apocalyptique, hautain, suffisant, dont l’arrogance par son mépris et sa suffisance, reste l’emblème du cheval marron, dans la mythologie franc-maçonnique », n’était nullement bien préparé à la qualité d’un véritable chef d’état. Sinon comment expliquer, l’étrange animal sympathique dans un parti politique ? Une curieuse symbolique. !. Depuis lors, de puissants lobbies extérieurs, aux motivations politico-financières cachées, ont réhabilité cet homme, en l’élevant au grade de Grand Officier de la légionnaire d’honneur de la France en 2008, dans les jardins de l’ambassade de la France à Dakar. Alors qu’il n’a jamais preuve de patriotisme visible, ni de civisme, encore moins de nationalisme. 
De mon pont de vue, l’Afrique a l’obligation d’opérer un changement et créer elle-même les conditions de sa propre cour pénale à l’échelle continentale, plutôt d’agir pour le compte du colonialisme fondamentalement arbitraire, qui se garde bien de traduire ses propres citoyens à la cpi, qu’il a sortie de terre pour ne juger que des africains, indigènes, triés subtilement au volet. Aujourd’hui, l’Afrique vassalisée et telle qu’elle fonctionne dans son substratum, est totalement commandée, politiquement militairement, économiquement par des oligarchies internationales financières, soumises aux lobbies militaro industriels mafieux, et ceci sous la bienveillance tacite des puissances coloniales, combinardes, la tiennent en laisse. Ce qui en dit en long sur une bassesse édictée de la dépendance systématique et par entente directe, c’est que l’Afrique des courbettes préfère, hélas, servilement s’aligner, accorder son violon à celui de la chorégraphie tonitruante, clinquante, n’est autre qu’une servitude indigne de ribambelles de moutons tondus, dressés en coupe réglée , marche au pas de la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie. 
Contrairement à l’Europe, libre, indépendante, unie dans la cohésion, consensuelle, a dépassé les contingences fatalistes, réussit historiquement à mettre sur pied des constitutions fortes, justes, solides, inviolables démocratiques à son sein, depuis au moins plus de deux siècles, mais ici, les mêmes causes, reproduisent les mêmes effets, car les pantins, traitres, égoïstes, de service, font l’histoire contre l’approbation de leurs propres peuples. En vérité, la clé de voûte en Afrique, réside sur le fait que les institutions paradigmatiques, extra africaines, portent en bandoulière, des relents velléitaires, colonialistes, sévissent et impriment ses empreintes digitales, c’est-à-dire sa marque de fabrique de telles constitutions de pacotille, décousues, asservies jusqu’à la moelle, cousues de fil de blanc, inspirées et tallées sur mesure pour les mêmes oppresseurs, invisibles, n’ont d’autres fins que pour faire main basse sur toute l’économie de l’Afrique, cette vache à lait , et protéger ipso facto, leurs pions, corrompus dans l’âme. 
Ces institutions antidémocratiques par leur caractère totalitaire, plombent la démocratie et le développement de notre cher continent, sont de nature à porter tort aux intérêts inaliénables des populations africaines, traitées comme des moins que rien, après les indépendances apparentes, n’ont jamais vu, ni de près, ni de loin, les richesses abondantes, ce don de dieu, qui coule à flot. Le panafricanisme, en tant que conscience collective et force motrice libératrice, unitaire, est par définition, source de progrès, et d’indépendance, dépasse largement les clivages antagonistes, bassement politiques, mesquins des uns et des autres, ne peut servir en aucun cas de prétexte, ni de wagons, ni d’arrière-cour pour la cause d’une prétendue justice internationale, communautariste blanche, supémaciste, qui ne dit pas son nom, est aux antipodes de nos modes de pensées traditionnelles . On ne peut pas produire quelque chose et son contraire. C’est un contre sens. 
Par Ahmadou Diop leader CPC

mardi 28 juillet 2015

Affaire Tamsir Faye, un scandale d’état: ou la chronique d’une chute annoncée. Amine et inch Allah !


Affaire Tamsir Faye, un scandale d’état parmi tant d’autres. Un scandale d’état qui n’en finit pas, un autre reprend ses droits, nécessairement c’est la règle. Halte à la diplomatie scandaleuse de la fripouille ! La diplomatie médite n’est qu’un prolongement de la face émergée de l’iceberg au Sénégal- – Récemment, on se rappelle que l’ex Consul Général du Sénégal à Marseille, avait usé de sa voiture de fonction, pour casser la marche, autorisée par le préfet. Est-ce donc un hasard ou la suite d’une justice céleste ? Certes, défendre est une chose salutaire de soutenir par réflexe, nationaliste, patriotique, la diplomatie sénégalaise, d’ou qu’elle puisse se trouver sur toute la planète, à condition que les postures soient fondées sur l’éthique, l’équité, à savoir la compétence, le sacerdoce et le dévouement. 

En effet, si le diplomate réunit toutes ces conditions, cela constitue, assurément à n’en pas douter, un devoir moral pour le protéger, à contrario, si les nominations sont autres que l’aptitude professionnelle, en dehors de la qualité requise pour obtenir ce poste, c’est-à-dire l’appartenance politique, laquelle est tributaire à des critères exclusifs de proximité avec le couple présidentiel, soit par des rapports de consanguinité, un tel choix clanique n’est ni judicieux, ni raisonnable. Or dans le cas précité, avéré, certains diplomates sénégalais sont décriés et pour cause. Défendre de telles personnes c’est faire de preuve de partialité flagrante, qui est contraire à la droiture. 

C’est donc ridicule de défendre des diplomates alcooliques, exhibitionnistes, en fermant les yeux et qu’on tente de maquiller sous l’autel d’un racisme prétendu, et non prouvé, jusqu’à preuve du contraire. l’apr ne peut défendre des indéfendables. Vouloir le faire, cela participe à des légèretés, qu’on ne saurait accepter sous aucun prix, surtout, quand il s’agit d’un diplomate notoirement connu pour son goût immodéré à l’alcool. Il appartient donc à la justice de situer les responsabilités des uns et des autres. Mais en état de cause, l’attitude d’un diplomate en état d’ivresse sur la voie publique et manifestement scandaleuse, est totalement antinomique à son rang, ne peut servir d’arguments solides pour le réhabiliter. 

Le 15mai 2011, ce que la presse internationale appelait à l’époque, l’agression sexuelle « ou l’affaire DSK », les français pouvaient-ils défendre à l’unanimité, le fonctionnaire international, présumé coupable par le parquet de New York, sous le prétexte qu’il était couvert par l’immunité diplomatique, même si la suite est connue. Macky Sall est donc le seul responsable de la diplomatie sénégalaise en dégringolade, dangereusement effilochée. Et personne ne peut le nier, à moins que l’on fasse preuve de partialité flagrante sur cette question. Si par extraordinaire qu’il ait tenté par le diable, l’homme de la rupture éclopée, s’offusque à organiser le référendum populaire à date échue, selon l’article 27 de la constitution, la réplique nationale doit sévir. « Sac am deunde yombna wayé fokoy teugué moo diafé », en langage clair, voler un tam-tam est une chose, mais le battre, c’en est une autre, dit bien un adage de chez nous. C’est bien les effets induits d’un amateurisme estampillé « état-apr », versus alliance pestilentielle des rancunes et des rapines. Décidément, la cote de popularité de la diplomatie sénégalaise, qui faisait notre fierté sur le plan international, s’est totalement amoindrie au point que nous payons, aujourd’hui, indument le prix fort à cause de l’étourderie macky Sall, l’élève qui ignore totalement le fonctionnement d’un état civilisé politiquement. 

Des sénégalais, humiliés, traités et traînés dans la boue comme des rien que, où tués lâchement en Europe et dans le monde, cela ne l’offusque nullement. Apparemment, les préoccupations des sénégalais de l’extérieur, facteurs de développement, ne sont ni dans son champ d’action, ni dans ses radars. En politique, tout se tient en toute logique. C’est une question de méthode de travail et de leaderships nationalistes à l’endroit. Or, depuis le regrettable soir du 25 mars 2012, l’apprenti sorcier, l’opposant de circonstance, macky sall- le maquilleur-« Charlie ou l’affairiste Pétain Noir, le guide népotique du symbole maléfique, apocalyptique, hautain, suffisant, dont l’arrogance par son mépris et sa suffisance, reste l’emblème du cheval marron, dans la mythologie franc-maçonnique », n’était nullement bien préparé à la qualité d’un véritable chef d’état. Sinon comment expliquer, l’étrange animal sympathique dans un parti politique ? Une curieuse symbolique. !. Depuis lors, de puissants lobbies extérieurs, aux motivations politico-financières cachées, ont réhabilité cet homme, en l’élevant au grade de Grand Officier de la légionnaire d’honneur de la France en 2008, dans les jardins de l’ambassade de la France à Dakar. Alors qu’il n’a jamais preuve de patriotisme visible, ni de civisme, encore moins de nationalisme. 

De mon pont de vue, l’Afrique a l’obligation d’opérer un changement et créer elle-même les conditions de sa propre cour pénale à l’échelle continentale, plutôt d’agir pour le compte du colonialisme fondamentalement arbitraire, qui se garde bien de traduire ses propres citoyens à la cpi, qu’il a sortie de terre pour ne juger que des africains, indigènes, triés subtilement au volet. Aujourd’hui, l’Afrique vassalisée et telle qu’elle fonctionne dans son substratum, est totalement commandée, politiquement militairement, économiquement par des oligarchies internationales financières, soumises aux lobbies militaro industriels mafieux, et ceci sous la bienveillance tacite des puissances coloniales, combinardes, la tiennent en laisse. Ce qui en dit en long sur une bassesse édictée de la dépendance systématique et par entente directe, c’est que l’Afrique des courbettes préfère, hélas, servilement s’aligner, accorder son violon à celui de la chorégraphie tonitruante, clinquante, n’est autre qu’une servitude indigne de ribambelles de moutons tondus, dressés en coupe réglée , marche au pas de la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie. 

Contrairement à l’Europe, libre, indépendante, unie dans la cohésion, consensuelle, a dépassé les contingences fatalistes, réussit historiquement à mettre sur pied des constitutions fortes, justes, solides, inviolables démocratiques à son sein, depuis au moins plus de deux siècles, mais ici, les mêmes causes, reproduisent les mêmes effets, car les pantins, traitres, égoïstes, de service, font l’histoire contre l’approbation de leurs propres peuples. En vérité, la clé de voûte en Afrique, réside sur le fait que les institutions paradigmatiques, extra africaines, portent en bandoulière, des relents velléitaires, colonialistes, sévissent et impriment ses empreintes digitales, c’est-à-dire sa marque de fabrique de telles constitutions de pacotille, décousues, asservies jusqu’à la moelle, cousues de fil de blanc, inspirées et tallées sur mesure pour les mêmes oppresseurs, invisibles, n’ont d’autres fins que pour faire main basse sur toute l’économie de l’Afrique, cette vache à lait , et protéger ipso facto, leurs pions, corrompus dans l’âme. 

Ces institutions antidémocratiques par leur caractère totalitaire, plombent la démocratie et le développement de notre cher continent, sont de nature à porter tort aux intérêts inaliénables des populations africaines, traitées comme des moins que rien, après les indépendances apparentes, n’ont jamais vu, ni de près, ni de loin, les richesses abondantes, ce don de dieu, qui coule à flot. Le panafricanisme, en tant que conscience collective et force motrice libératrice, unitaire, est par définition, source de progrès, et d’indépendance, dépasse largement les clivages antagonistes, bassement politiques, mesquins des uns et des autres, ne peut servir en aucun cas de prétexte, ni de wagons, ni d’arrière-cour pour la cause d’une prétendue justice internationale, communautariste blanche, supémaciste, qui ne dit pas son nom, est aux antipodes de nos modes de pensées traditionnelles . On ne peut pas produire quelque chose et son contraire. C’est un contre sens. 
Par Ahmadou Diop leader CPC

dimanche 26 juillet 2015

Des casseurs de Macky Sall devenus ministre et Consul…Ils ont envahi l’ambassade du Sénégal à Paris le 3 juin 2011


Xibaaru va vous montrer dans une vidéo d’archives de Benno Siggil Sénégal que les personnes qui nous dirigent sont des bandits de classe exceptionnelle. Vous verrez dans cette vidéo, deux personnages importants de notre vie politique. Ils sont sous le couvert de la coalition Benno Siggil Sénégal et se font appeler « commando ». Ils ont investi sans crier gare le vendredi 3 juin 2011 l’ambassade du Sénégal à Paris. Les membres du commando sont rentrés dans l’Ambassade et en l’absence de l’ambassadeur, sont montés au second étage pour occuper la salle de conférence de la chancellerie. Vous verrez, l’actuel consul du Sénégal à Paris, Amadou Diallo dit « Diallo Beauvais » qui tient le micro. Et ensuite il y a l’actuel ministre de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat, Mamadou Talla. Wade leur a donné la liberté de manifester. Et aujourd’hui au pouvoir, ces bandits empêchent au peuple sénégalais de manifester. Regardez cette vidéo…

Bennoo Siggil Sénégal France investit l... par socialisme-republique

Tamsir Faye devenu célèbre en France…Il passe au zapping des télés françaises…Regardez la Vidéo



Tamsir Faye est passé dans le zapping des télés françaises…Et il y occupe une très bonne place puisqu’il passe même avant le premier ministre français Manuel Valls.
C’est dire que Tamsir Faye est devenu une célébrité en France grâce à son “kiki” sur une borne France télécom…
Et remarquez comment les animateurs se moquent du Sénégal. Ils rient tous. Et c’est le Sénégal qui est la risée du public français.
Jamais, le Sénégal n’avait été traîné aussi bas. Les journalistes et animateurs français avaient toujours cherché sans jamais trouvé l’angle pour se moquer du pays de Senghor. Mais aujourd’hui, à cause de Macky et sa horde de délinquants sexuels, le Sénégal est vilipendé, rabaissé, humilié et livré à la face du monde comme un pays de déséquilibré…Regardez Tamsir à la Une des zapping des télés françaises…Vidéo

Manuel Valls taxe l'opposition de "poujadisme... par LePointZap

Consulat de Marseille: Tony Mendy, le remplaçant de Tamsir Faye n’est pas « so clean »…Lui aussi est un…


« Vale Ebrius, vivat superbiae ebriorum Ephraim ». Adieu Soulard, longue vie à l’ivrogne! Cette boutade latine à l’honneur des soulards de Rome sied bien à la situation dramatique que vit la diplomatie sénégalaise dans la cité phocéenne. Accusé par la police d’avoir troublé l’ordre public en état d’ébriété et de s’être adonné à « une exhibition sexuelle », le consul général de Marseille a été, malgré ses dénégations, limogé et remplacé par …son collaborateur Antoine Mendy dit Tony, le vice consul. Cette décision prise par le ministre des Affaires Etrangères du Sénégal, Mankeur Ndiaye semble ne pas plaire à tout le monde. Et chacun y va de ses raisons.
Si, pour le secrétaire d’Etat aux Sénégalais de l’Extérieur, Souleymane Jules Diop, contester la décision du ministre entre dans la droite ligne de l’animosité qui règne entre Mankeur Ndiaye et lui; rancœur qui paralyse la diplomatie, pour les Sénégalais de Marseille, c’est un pan -et pas des moindres- de la vie privée du M. Tony Mendy désormais Consul général qui inquiète plus d’un. Le consul intérimaire de Marseille a le vin mauvais. Ce penchant qu’a Tony Mendy pour l’alcool avait failli couter la vie l’année dernière. « Il a été victime d’un coma éthylique » accuse-t-on du côté de Marseille. Interpellé par nos soins, le Consul intérimaire n’a pas donné suite à notre demande d’informations.
Pour le grand public « ce sont les coups et blessures volontaires que lui ont administrés un compatriote » qui avait conduit M. Antoine Mendy à l’hôpital où il est resté dans le coma pendant, presque, 20 jours. En tout état de cause, c’est une émission de la radio Galère à Marseille qui a été le fil conducteur de cette trame. Ce jour-là, invité à se prononcer sur une question d’actualité que la radio avait organisé pour la communauté sénégalaise, M. Tony Mendy avait face à lui Moise Kouyaté, un compatriote responsable de la mosquée sénégalaise de Marseille. « Au cours du débat, Tony a insulté Moise de mère » nous a déclaré une source au sein de la communauté.
Outré par cette offense, c’est le cadet de Moise qui a décidé de laver l’affront. « J’étais parti pour arrondir les angles. J’ai été reçu par Tony et lui ai demandé, dans son bureau, d’appeler Moise pour lui présenter ses excuses« , soutient Issa Kouyaté. Lors de cette rencontre, aidé certainement par son alcool joyeux, le vice consul aurait donné son accord de principe. Mais lorsque le jeune frère se retrouve, quelques jours plus tard, nez à nez avec Tony devant le consulat à la rue de Rome, dans le 6eme arrondissement, le discours du consul avait changé. « Il m’a dit : « toi et ton frère vous me faites chier, si vous n’arrêtez pas, vous allez le regretter toute votre vie » .
Choqué par cette mise en garde voilée de menaces, Issa déclare avoir donné une gifle à Tony avant que les gens viennent les séparer. « Il était 9 heures, ce 25 novembre et je venais de déposer mon enfant à l’école » se souvient Issa Kouyaté, la soixantaine. Et voilà qu’à 2 heures du matin, Tony est conduit à la clinique Vert Coteau de Marseille avec un pronostic vital engagé. Il y séjournera presque 20 jours, dans le coma. « Il était dans un coma éthylique, ce n’était pas la première fois qu’il est conduit dans cette structure pour alcoolisme » souffle-t-on du côté dans la capitale du PACA. Dans les milieux APR comme dans la communauté Mandiack, c’est le bruit de l’agression violente qui a été distillé.
Ce fut le début, pour Issa Kouyaté, d’une hantise incommensurable. La peur qu’il lui arrive une de ces choses ignobles que la presse comptabilise tous les jours dans les quartiers nord de Marseille et qu’on met indubitablement dans le lot des règlements de comptes liés au trafic de drogues « Des jeunes Mandjacks, payés pour ça, me menaçaient partout. Et j’ai fini par alerter la police« . Témoigne l’homme. Sorti d’hôpital, Tony avait retrouvé son boulot. Et de bonnes volontés dans la communauté avaient entrepris des démarches pour arrondir les angles. « D’ailleurs une réunion avait eu lieu avec l’imam de la grande mosquée de Marseille et ses adjoints. Tamsir Faye avait d’ailleurs présidé cette rencontre. Et nous avions réglé le problème« , se souvient Issa.
Ce qu’il ignore, c’est que les engagements d’un…soudard de la diplomatie, blessé dans son honneur n’engagent que ceux qui y croient. Dès la sortie de cet entretien, Issa a été convoqué par la police. A l’officier de police judiciaire l’homme avait déclaré qu’un arrangement avait été trouvé au consulat et que Tony Mendy s’était désisté de sa plainte. « Mais lorsque le policier l’a appelé, il s’est dédit ». Pour le vice consul, l’arrangement du consulat n’a rien à voir avec la procédure judiciaire. Finalement cette procédure ouverte par le consul contre l’un de ceux qu’il est censé protéger est allé devant le tribunal correctionnel de Marseille. Et Issa Kouyaté a été relaxé, purement et simplement.
Aussi, dernièrement, une compatriote, avait alerté la police marseillaise du fait que Tamsir Faye et son adjoint Tony Mendy l’avaient appelé au téléphone, insulté et menacé de payer des bandits « pour régler son problème » si elle et ses amis maintenaient leur décision de marcher contre la venue à Marseille du président Macky Sall, le 5 juillet dernier. Joignant le geste à la parole, Tony Mendy accompagné de ses voyous marseillais -des jeunes ivoiriens pour la plupart- n’avait pas hésité à venir agresser les manifestants sous les yeux des policiers médusés, alors qu’il sortait d’un véhicule officiel du consulat du Sénégal.
« Nous avons introduit une saisine auprès du Quai d’Orsay pour qu’une procédure de levée de son immunité diplomatique soit faite afin qu’on le poursuive en justice » déclare-t-on dans la galaxie karimiste. Depuis cette date et bien avant, les soudards de la diplomatie sénégalaise étaient sur le calepin des RG marseillais.
Babacar Touré
webnews

vendredi 24 juillet 2015

Affaire Tamsir Faye: l’histoire me donne malheureusement raison (Par Mamadou Dème)



Tamsir Faye [limogé] 


Mamadou Dème en bonnet

Au mois de juillet 2013 , lorsque le président de la République a procédé à ses nominations bidons dans les services consulaires et diplomatiques, j’avais publié un article pour dénoncer cet état de fait en pointant l’erreur stratégique à terme que Macky Sall avait commise en procédant de la sorte.
Aujourd’hui l’histoire me donne malheureusement raison à mon grand regret qui est celui d’un allié membre de la majorité présidentielle qui avait usé de son droit d’alerte à défaut d’être écouté .
Ma position à l’époque prenait en compte les risques pour le Sénégal que ces nominations partisanes laissaient entrevoir et notamment sur le comportement de Tamsir qui, parce qu’il laissait à désirer ; ne le préposait pas à une telle fonction . J’avais fait allusion à sa proximité avec l’alcool comme risque majeur pour un portage de la fonction pour laquelle il était pressenti. Il vient de confirmer ce comportement en agissant de la manière pour laquelle étaient nombreux ceux et celles qui avaient parié sur sa longévité au consulat du Sénégal à Marseille à cause de son goût pour la beuverie.

A ce moment là, j’ai fait l’objet de critiques et d’insultes les plus dégueulasses de la part des militants de l’ APR particulièrement de ceux qui sont en France et qui aujourd’hui se font petits et n’ont même pas le courage politique d’assumer et de prendre position par rapport à cet événement très grave. Ah! Aujourd’hui nombreux parmi eux n’ont plus de couille et se cachent sous la table ou par inconséquence politique et cynisme cherchent à comprendre et à défendre Tamsir Faye.
Oui l’histoire me donne raison mais pas à ma satisfaction car c’est l’histoire du Sénégal et celle de sa diplomatie reconnue qui en pâtissent.
Mais, le seul responsable de cet état de fait et de cet imbroglio est le Président Macky Sall qui n’a pas été à la hauteur de sa fonction régalienne en procédant à ces nominations minables et à des choix douteux d’hommes et de femmes qui ignorent jusqu’à tout du sens et des obligations de leurs missions consulaires et diplomatiques ( par exemple la nomination d’une animatrice des activités périscolaires titulaire d’un BAFA dans une école élémentaire comme vice consul général à Bordeaux).
Aujourd’hui Tamsir Faye est relevé ( il n’est pas encore limogé à cause des manœuvres politiciennes de protection pour empêcher le justice française de l’atteindre) contrairement aux attentes des Sénégalais épris de la fierté d’appartenir au Sénégal ; il est alors remplacé malheureusement par quelqu’un qui présente les mêmes caractéristiques de faiblesse vis à vis l’alcool que lui.
C’est comme si le président de la République se soucie peu, voire se contrefiche du sort de la diaspora dont la mobilisation a été plus que déterminante dans son accession à la magistrature suprême et qui ne semble être pour lui qu’une variable électorale fut- elle à dominante ethnique acceptée comme telle.
L’ensemble du dispositif du président Macky Sall en direction de la diaspora pose problème et est en panne
De ses représentants consulaires et diplomatiques insuffisants professionnellement mais très suffisants pour leurs égocentrismes au Secrétaire d’État aux Sénégalais de l’extérieur et de son directeur des Sénégalais de l’extérieur qui se cachent des Sénégalais quand ils viennent en France alors que ce pays est leur deuxième maison et dont les comportements d’adversités personnelles sont minables et lamentables face aux besoins immenses des Sénégalais de la diaspora à travers le monde .
C’est à se demander à quoi ils servent et en quoi leur présence là est – elle utile à une mise en œuvre normale d’une politique publique des migrations en direction de la diaspora.
Le président Macky S all n’a pas de projet politique pour la diaspora sénégalaise et Kisal senegaal qui s’est engagé auprès de lui dès la création de Macky 2012 doute aujourd’hui de sa perspective politique et se pose beaucoup de questions sur l’avenir de la diaspora et de celui du Sénégal.
Ce n’est pas par l’argent distribué du FAISE pour des raisons électorales et d’achat de conscience des femmes de la diaspora sénégalaise que nombreuses sont celles qui refusent de rembourser, qui fonde une politique publique des migrations ni une gouvernance de promesses non tenues et intenables et des ressources humaines incompétentes que l’on bâtit une politique publique des migrations ni la réussite d’un Plan Sénégal Emergent pour lequel la diaspora aurait pu grandement prendre sa part d’actrice incontournable.
kisal Senegaal met au défi le président de la République et son parti APR plus que sectaire, à créer les conditions d’une nouvelle problématique politique de la diaspora et des migrations internationales dans le cadre d’une démarche cogéré du développement du Sénégal et de l’émergence.
Mamadou DEME
sociologue des migrations et du développement local
Président de Kisal Senegaal

DIPLOMATIE Tamsir Faye sommé de regagner Dakar (Source diplomatique)

Tamsir Faye limogé par Mankeur Ndiaye

Le consul général du Sénégal à Marseille (France), Tamsir Faye, arrêté mercredi puis libéré, a été relevé le même jour ‘’pour des mesures conservatoires’’ et sommé de regagner Dakar avec sa famille, a appris l’APS de source proche du ministère des Affaires étrangères.
‘’M. Faye a été nommé par décret. C’est pourquoi le ministre (Mankeur Ndiaye) a pris des mesures conservatoires pour le relever et le faire remplacer par son adjoint Tony Mendy qui va assurer l’intérim. Il n’a pas été relevé aujourd’hui (jeudi), mais c’était depuis hier (mercredi) le jour même des faits’’, a précisé la même source contactée par l’APS.
Tamsir Faye avait été arrêté mercredi à Marseille par la police. Accusé d’ivresse et d’exhibitionnisme, il a été finalement libéré le même jour du fait de son immunité diplomatique.
‘’L’Etat a pris tout de suite des mesures conservatoires le même jour pour le relever. Tous les frais de voyages lui sont déjà envoyés pour rentrer dans les plus brefs délais avec sa famille’’, a ajouté cette source.
Elle ajoute que les autorités ont ‘’intimé à Tamsir Faye l’ordre de quitter son logement à Marseille et regagner le Sénégal le plus rapidement possible’’.

mercredi 22 juillet 2015

Chronique : pour une abrogation de la constitution étrange du Sénégal ! Par Ahmadou Diop

Manifestement, l’étrange constitution du Sénégal est aux antipodes de nos valeurs traditionnelles. Tous les traitres, sans exception, portent la marque d’aliénés, altérés, formés à l’école du haut formatage de l’acculturation manifestement arbitraire, au point qu’ils ne peuvent que diluer leurs propres consciences éloquemment fragiles face à la morale. Les états n’ont pas d’amis, mais des intérêts, disait de gaulle qu’il l’a repris au ministre du culte, que fut Richelieu. 

Qu’on le veuille ou non, cette constitution étrange porte les stigmates suprémacistes par son caractère éminemment anticonstitutionnel, constitue à n’en pas, douter, une des insultes permanentes contre la mémoire collective, sénégalaise, et par extension à l’échelle continentale africaine, sur le fait qu’elle phagocyte ipso facto et implicitement à la destruction massive totale de nos propres valeurs traditionnelles et notre civilisation, qui sont synonymes de symboles de vertus, obéit à des cirières idéologiques, abscons, importés. Lesquels soutenus par des mécanismes colonialistes, comme en arrière-plan, pour éroder à petit feu notre patrimoine culturelle et lui substituer par la ruse, d’autres règles universalistes, présumées faussement supérieures et plus rationnelles. A qui donc profite le crime ? 

Les prétendues élites africaines francophones , confinées dans leur rôle de pantin, bien encordées et transformées en indigènes nègres de service, ne sont que de simples marionnettes à qui on dicte la famille de route qu’elles suivent textuellement à la lettre, comme condition sine qua non tacite, pour garder le pouvoir. Tout le reste ne compte pas. Cette écharde institutionnalisée, moribonde, représentée par cet écran de fumé qu’on appelle emphatiquement constitution—.un bien Grand mot avec un grand «G» —. Plus connu sous l’appellation d’un copier coller, exigé et élargi en Afrique des courbettes et des vassaux, a son équivalence dans les pays anglophones, notamment dans les dynasties arabes, taillées sur mesure, pour les contrôler elles mêmes et au nom du bipolarisme, version édulcorée Bismarck bis, oblige. 

L’actuelle constitution supposée du Sénégal, ne dispose de la moindre constitutionnalité avérée, tant s’en faut, n’est ni fondamentalement conforme, ni adaptable, ni compatible aux principes et aux aspirations des modes de pensées de notre civilisation. Dans l’Afrique précoloniale avant la l’expansionnisme européen, les sociétés africaines avaient une organisation sociologiquement et politiquement équivalente à l’Europe, voire même supérieure. Au-delà même de son caractère surréaliste, culturel, économique, politique et attentatoire, elle pose un problème d’indépendance d’apparence. C’est une manœuvre de subtilité politique, voire même une perte de souveraineté du peuple sénégalais, libre et indépendant dans sa plénitude. Elle est donc par essence, un outil d’asservissement politique, économique, culturel, militaire : un mal inutile. C’est une parodie indépendance d’apparence, une chape de plomb, qui permet par la ruse, l’installation et l’occupation d’une armée étrangère avec ses troupes et bases militaires sur le sol sénégalais. 

Une constitution est soumise au calendrier électoraliste d’un président de la république monarque. A quoi sert alors l’armée nationale dans tout cela ? Les officiers supérieurs sénégalais qui sont bien formés dans les mêmes conditions universités européennes que leurs collègues militaires outre atlantique, jouent le rôle de simples supplétifs et d’auxiliaires de service. Une humiliation pure et simple. Le président de la république prend tout seul à sa propre convenance, des décisions unilatérales qui n’engagent nullement le peuple, sans qu’il ait besoin d’un quelconque contrôle de l’Assemblée nationale. Le peuple vote mais le pouvoir lui échappe. Le président de la république abuse de la constitution étrange pour se servir et servir en même temps l’ancienne puissance coloniale, bien établie sur le terrain du crime avec son armada et ses entreprises, monopolisent toute l’économie sénégalaise au détriment des compagnies nationales, mettant une par une la clef sous le paillasson. Il n’y a aucun doute. 

La constitution d’inspiration totalement étrangère, astucieusement bien pensée, très élaborée, au Sénégal par la ruse, est bien encordée à la francophonie, qui est cet outil d’asservissement culturel, politico économique, militaire, sert d’arrière-plan et de support médiatique pour perpétuer le colonialisme, déguisé, qui ne dit pas son nom- une domination masquée sous le fallacieux prétexte d’échanges, soi-disant, historiques-mon œil- entre la France et ses colonies, ayant le français en commun, la langue française officielle. « Une constitution soft», savamment maquillée, bien arrimée au gendarme colonial, triomphaliste. 

Ce qu’il est convenu d’appeler avec euphémisme, l’ossature, la colonne vertébrale ou le secret de polichinelle d’un prolongement non assumé de la françafrique, versus mafiafrique. Une esquille mafieuse aux multiples ramifications des lobbies militaro industriels, politico-financières, tentaculaires, attentatoires, n’a jamais trouvé portes closes en Afrique des élites guignolesques, contrairement aux déclarations alambiquées, distillées ici ou là, est beaucoup plus massive, aujourd’hui, en plein 21 énième siècle. Le président de la république diligente la constitution étrangère, qui est la clé de voûte du système mafieux national tenue en laisse des oligarchies politiques financières. 

Ce n‘est pas pour rien qu’elle est fabriquée ainsi en toute connaissance. Son orientation est totalement délibérée. 1960 : le Sénégal, opta pour le bicéphalisme, c’est à dire une dualité au sein de l’exécutif avec Mamadou Dia, qui devint président du Conseil, détient par devers, la réalité du pouvoir par sa stature internationale, apparaît aux yeux de Senghor, lui fait de l’ombre. 

Le même gendarme colonial, peu loquace, apparemment parti, prend à distance les opérations, suit donc de très près les événements préoccupants, ne fait pas de bruit, ni fioriture, mais veille silencieusement au grain, troublé et inquiet pour son avenir et par rapport à la politique que mène le soldat Mamadou Dia, il fallait prendre le taureau par les cornes, pour commander de toute pièce un soi-disant coup d’état et l’attribuer à l’homme fort du Sénégal, à dessein de le faire taire et l’éliminer politiquement sur la chose publique l’honorable sentinelle en la personne de Mamadou Dia, le serviteur, le géant, le colosse, l’homme du peuple pour le peuple et par le peuple, dérangea et empêcha Senghor de dormir tranquillement. Le but du jeu, c’est de le casser définitivement, le faire sortir coûte que coûte de l’histoire politique du Sénégal, tant sur le plan national et international, pour le réduire en charpie, le traîner dans la boue, quitte même à tromper les sénégalais dans son ensemble, et l’accuser d’avoir comploté contre Senghor, l’homme de la France, pour le destituer. La fin justifie les moyens, peu importe qu’ils soient illicites ou abjects. 

Ce qui compte, c’est le résultat politique, escompté. Et comme toujours en Afrique des fascistes et des courbettes, les médias de service corrompus, locaux, endogènes, satellisés et inféodés, alignés à la dictature internationale de l’abondance de référence, outre atlantique, relayent en boucle sur toute la planète entière, l’information abusive, biaisée, pour accréditer la thèse du fameux coup d’état, fomenté par le président du Conseil contre Senghor. 

Mamadou Dia fit obstruction à l’élaboration d’une nouvelle constitution dictée, pour instaurer des régimes présidentiels à l’échelle africaine, francophone et les contrôler sous le maquillage des accords de défense, émaillés de clauses secrètes, tendant à les rendre vulnérables, dépendants de l’ancienne puissance coloniale, pour qu’ils soient tous dociles, redevables, en échange de la réciprocité des services rendus. En vérité, les indépendances africaines sont apparentes. Il suffit de se référer et d’analyser la situation politique, monétaire, militaire, économique pour s’en convaincre. Point n’est besoin d’ergoter sur la question. La plupart des dirigeants africains ne sont que des marionnettes aux pieds d’argile. Cette charpente moribonde, mise sur orbite par le premier président de la République du Sénégal, en l’occurrence, Léopold Sédar Senghor [paix à son âme], resta dans l’éternité comme étant l’un des rédacteurs, initiateurs, concepteurs et coauteurs de la France-Afrique, inventée par Houphouët Boigny en 1955, laquelle fut décryptée formidablement par François -Xavier Verschave, mort en 2005, qui fut le premier président de l’Association SURVIE France. Le colonialisme, très futé dans sa stratégie, ne s’impliquant pas directement, reste invisible, coordonne tout, tire par derrière les ficelles et récupère tout à son profit. Il incombe donc aux nègres de service de « mouiller le maillot » pour faire le sale boulot. 

C’est la règle. Nous dénonçons solennellement publiquement sans la moindre retenue, ni humilité d’aucune sorte, la constitution bancale totalement étrangère au Sénégal- un prêt-à-porter culturel, aux entournures attentatoires est une indignité manifeste, une écharde à la démocratie, nous renseigne que tous les politiques ont tous abdiqué sur toute la ligne déportent nos propres valeurs traditionnelles totalement sont compatibles avec notre fonctionnement et notre civilisation. Constitution moribonde du Sénégal : un outil de domination et d’asservissement étranger, culturel, économique, politique, est bien sur les articulations de la francophonie, n’est que le plongement de la face cachée de la françafrique de l’hydre mafieuse aux nombreuses ramifications ou l’épine dorsale, version mafiafrique. En Afrique, le traitre, honoré, victimaire, adulé, change sa trajectoire en fonction de la météo, selon ses propres pulsions névrotiques pour des raisons manifestement matérielles, sur fond de notoriété. A contrario, le véritable combattant, pour les intérêts légitimes de la majorité, on lui dénie systématiquement le statut de héros. 
Par Ahmadou Diop CPC

mercredi 15 juillet 2015

Conférence à la Sorbonne abordant l’esclavage en Mauritanie


17 juin, 2015.
Conférence à la Sorbonne abordant l’esclavage en Mauritanie.
Conférence à la Sorbonne abordant l’esclavage en Mauritanie par Mohamed Yahya Ould Ciré président de l’association des haratine de Mauritanie en Europe « A.H.M.E » et Bâ Cheikh Oumar président FLAM section Europe de l’Ouest.

ça chauffe Les Sénégalais au Gabon réclament justice pour Moustapha Kébé et tentent de brûler l’ambassade du Sénégal

Les ressortissants Sénégalais avaient déjà donné le ton hier par une vague d’indignation. Aujourd hui, ils ont assiégé l’ambassade du Sénégal et attendent de pied ferme les autorités. Des sources confirment qu’ils étaient sur le point de mettre le feu à l’ambassade. Suite au décès de Moustapha Kébé, chauffeur de taxi, décédé dans des circonstances nébuleuses, ils exigent des autorités diplomatiques que la lumière soit faite sur cette affaire. Moustapha Kébé est décédé suite à sa garde à vue. Selon les proches de sa famille, il serait décédé des suites de sévices. Alors du côté de la gendarmerie gabonaise, on évoque un suicide. Une thèse réfutée par ses compatriotes sénégalais qui se demandent où est-ce qu il a bien pu trouver une corde pour se pendre. Pour l’heure, le corps du défunt est déposé à la Maison funéraire Gasepga. Seneweb

Scandale- Fraudes : des cartes d’identité confectionnées dans les locaux de la permanence de l’APR à Pikine Nord (vidéo)

C’est une affaire très grave qui devrait interpeller tout le Sénégal sur la vaste fraude organisée par le parti APR (Alliance pour la République) en complicité avec les services du ministère de l’Intérieur. L’information nous a été révélée hier. Des jeunes militants du parti démocratique du Sénégal (PDS) ont découvert une opération de confection de cartes nationales d’identité et de cartes d’électeur dans les locaux de la permanence de l’Alliance pour la République (APR) à Pikine nord. Dans les locaux de l’APR et non à la Mairie. Des cartes d’Identité et d’électeurs confectionnées dans une permanence de l’APR. Et cela avec la bénédiction du Préfet du département et de la Police qui dépendent tous du ministère de l’Intérieur. Les deux députés de l’APR, Salamata Corréa et Awa Niang initiatrices de cette opération ne semblent nullement gênées par ce scandale : « Ce que nous faisions est légal, car c’est le sous-préfet qui a autorisé l’opération. S’ils veulent des éclaircissements, ils n’ont qu’à aller poser des questions au ministère de l'Intérieur » déclare Salamata Corréa. Comment est-ce possible ? Un parti politique est une association d’individus et non un service de l’état ni un sous-traitant des services de l’Etat. Et les locaux d’un parti politique ne sont ni autorisés ni habilités à recevoir une commission de confection des cartes d’Identités. 

 Avec Xibaaru

Souvenir vidéo-quand macky sall disait à sarkozy : « j’ai décidé de renoncer à 2 ans de mandat »

Le président de la République a reçu mercredi 18 avril 2012 à 13h00 au Palais de l’Élysée, M. Macky SALL, président de la République du Sénégal, qui effectue en France son premier déplacement à l’étranger depuis son investiture le 2 avril dernier. A l’issue de cet entretien, les deux chefs d’Etat ont tenu une 
conférence de presse conjointe

mardi 14 juillet 2015

Le Sénégal peut- il échapper vraiment aux contingences mondiales, obligatoires, spécifiques à chaque peuple, pour assouvir son propre destin et opérer une véritable rupture totale ?


Pour échapper aux agressions des idéologies hégémoniques des cultures de domination  étrangères,  importées,  il est nécessaire de restaurer  nos vraies valeurs, historiques d’antan et notre civilisation, qui sont en totale harmonie avec notre mode de fonctionnement, spécifiquement véridique.
Dans l’Afrique précoloniale avant la l’expansionnisme  européen, les sociétés africaines  avaient une organisation sociologiquement et politiquement équivalente, voire même supérieure à celle de l’Europe, quand même celle-ci vivait, peut être sur les arbres. En d’autres termes et quoique l’on puisse dire, Cheikh Anta Diop, l’historique figure de proue, la référence par excellence de l’homme Noir, voire même mondial,  son plan de développement qu’il proposa pour l’Afrique, est toujours d’actualité,  parce qu’inscrite de marbre  dans ses nombreux discours politiques.
Que l’on nous comprenne bien !  Et pour cause. En aucun cas, ici,  il   ne s’agit  pas  de prôner une révolution violente ou   de copier hystériquement  des idéologies extérieures importées pour les adapter machinalement,  comme un spécimen de développement et de stratégies politiques, tant s’en faut. Ce n’est pas démarche. L’éveil des consciences à l’échelle nationale commence nécessairement par l’éducation civique, patriotique, culturelle et politique.
C’est la seule soupe de sécurité,  si l’on veut que le Sénégal reste le maître de son propre destin.  C’est à ce prix à, à ce prisme là, que notre pays, le Sénégal,  retrouvera sa dignité, sa plénitude et son rayonnement qu’elle aura bâti librement sur des bases voulues, à l’instar  des nations émergentes. Lorsque les masses populaires seront imprégnées, éclairées suffisamment de la chose publique,  l’ordre établi, changera de camp à coup sûr, pour le bonheur du peuple. Nous ne pensons pas qu’à ce jour, les mécanismes douteux des  élections de mascarade, changeront le système tel qu’il est. Il faut d’autres alternatives plus coriaces.
Les politicards parlent plus, promettent plus pendant la campagne électorale, qu’ils n’en font en réalité, une fois qu’ils sont sur les manettes. Or, pour changer la constitution moribonde,  taillée sur mesure pour un seul  homme, il faut que l’on ait à la tète de l’Etat sénégalais,  un véritable  patriote pour le faire. Tous les potentiels  candidats des élections parlent de tout, sauf à changer la  nature  de constitution monarchique.  Dans ces conditions, faut- il que l’ensemble des sénégalais soient prêts à casser le système et imposer collectivement leur loi dans un sursaut national, fondé sur la légitime  défense ?
Le développement n’est pas une fatalité. C’est une question de volonté politique et de leaderships à l’endroit contre l’envers du décor. Nous voulons, donc  nous pouvons.
Les exemples foisonnent de partout dans le monde : la Tunisie, l’Egypte, la chine, le brésil, L’Afrique du Sud, le Venezuela, la Russie, la France,  et  surtout, les Etats-Unis, présumés la première puissance mondiale militaire, politique, économique militaire, rattrapés par la chine  et tant d’autres, pour ne citer que ceux-là.
A chaque situation exceptionnelle, des  solutions urgentes, proportionnelles  à la mesure de la gravité. En terme clair, cela veut dire  tout simplement  le renversement  de la situation actuelle, délétère  par le pouvoir du peuple et pour le peuple tout entier,  debout, bien déterminé par un  mouvement unitaire, pour renforcer l’unité nationale, la cohésion sociale  et la solidarité nationale  autour d’un idéal  commun, en vue  d’en découdre  avec le pouvoir  d’état totalitaire.
La conception du   fatalisme inhérent,  ahurissant  des contingences  historiques, sont les causes directes  de  l’aliénation culturelle  du colonialisme, ôte  toute capacité de résistance,  face à l’oppression du pouvoir d’état totalitaire, représenté en la personne de Macky Sall, l’homme des paroles dédites à n’en plus finir.
L’exceptionnalité de la  tragédie  singulière Sénégalaise sévit par  les  combinards nègres   de service des référentiels et leurs valets de service de toutes sortes,  font curieusement  l’histoire, en lieu et place des sentinelles.
Tout peuple capitulard, ignorant, culturellement et mal préparé  politiquement, méconnaît  totalement les mécanismes  et les enjeux  électoraux, lorsqu’il s’agit  des élections présidentielles de cirque, cosmétiques,   ne peut que verser   dans un défaitisme  ahurissant, chronique,  abdique  par consentement et par  méconnaissance sur ses propres intérêts.
Le développement d’un pays  déterminé, dépend  nécessairement  de sa  capacité et  à son  degré  de  conscience pour la compréhension de ses propres intérêts, qu’il défend  ardemment  becs et ongles, lorsque des traitres coalisés et  en bande organisée, s’autorisent tout .  
En vérité, il  n’y a qu’une seule et unique solution imparable, impérieuse, pour remettre les pendules à l’heure et remettre  l’état de droit bafoué de 60 à nos jours.
Pour ce faire, il faut que les sénégalais dans leur majorité,  fassent preuve de  maturité politique, patriotique et  dans l’action pour élire un patriote irréprochable. Mais faut-il que la presse  farandole change  son fusil d’épaule pour le réveil des consciences, aujourd’hui, totalement en berne. C’est à ce-par prisme là,  qu’elle  sera en mesure  de  jouer pleinement son rôle dévolu pour  le traitement objectif des informations et dans la confrontation d’idées, sans  parti pris
Le caractère  théâtral, totalitaire  des parodies  électorales ne changera en rien sur la nature du système mafieux, endémique, monarchique, qui n’a que trop duré.  Il est temps qu’on en finisse avec lui, avant qu’il  n’en finisse nous ! Qu’on ne s’y trompe point.   Un cirque  ubuesque pour faire beau.  C’est une course entre bandits de la haute fiance.  Ils ne sont là que pour eux-mêmes et non point pour les populations lassées, laissées pour compte sur le quai.  Rien  ne changera  dans ce pays, tant que le diktat des ploutocrates multimilliardaires obscurs par sa carence et son égoïsme imprime nécessairement  sa marque de fabrique.
Les citoyens, hélas, n’y gagnent  absolument rien.  Au contraire, ils perdent leur liberté et leur pouvoir d’achat.  il suffit de voir  Les rafistolages,  les coupures intempestives du courant électrique,  la fracture d’eau, avec leurs corollaires des factures de complaisance très salées,  sans compter, le saupoudrage, l’enfumage classique et les mensonges grotesques  du  politiquement  cosmétique à couper le souffle, en constituent un  goût amer, en disent long sur les actions condamnables  d’un gangstérisme d’Etat, dont la recrudescence manifeste  par  sa   violence labellisée, devient une norme étable, absolue. Dans ce pays étrange et à la renverse, on assimile systématiquement pouvoir [buur, pour dire la monarchie, en réalité].  C’est le politique qui entretient sciemment la confusion pour vassaliser les citoyens, pris pour des moins que rien. 
Pour corriger le tir,  il est nécessaire qu’il y ait   une refonte des mentalités et  une culture politique pour l’éveil des consciences, sinon, le mal ira toujours en pis.
Mais faut-il que les masses laborieuses puissent nécessairement démontrer sur le terrain, matériellement  leur maturité  politique, laquelle est toujours proportionnelle à leur degré de conscience pour la compréhension de leurs propres intérêts qu’elles doivent arracher becs et ongles, ardemment, lorsque leur propre survie est menacée par une horde abominable de  pègres coalisés, se transforment en éternelles sangsues, qui ne s’encombrent, outre mesure, d’aucune parcelle de moralité probante ou probable sur la chose publique ?
C’est là où le bât blesse, puisque, malheureusement, lorsque la majorité des citoyens nagent totalement  dans un illettrisme  chronique, ils ne peuvent,  ni  inverser la courbe, ni intervertir les rôles. Qui dit analphabétisme, dit  automatiquement  illettrisme politique.  Tout s’imbrique.  La classe politique dans sa majorité,  n’a aucun intérêt à ce que le monde rural  soit instruit.  Cela n’est pas dans leurs champs d’actions. C’est sciemment voulu et de façon délibérée. 
Le jour où ça arrivera, le Sénégal sera un pays développé. Mais pour l’instant, les imposteurs politiques «takhrip »  plus nombreux que les patriotes déclarés, sans vertu,  ni  scrupules,  ont toute   la latitude  nécessaire  et de belles années devant eux;  tant que monde rural est  considéré comme du bétail électoraliste,  demeurera  dans l’ignorance la plus totale.
Les charlatans  politicien, véreux continueront de le tromper durablement, le gruger, sans la moindre retenue, ni humilité, d’aucune sorte. Qu’importe que les  moyens soient illicites, fussent-ils adjectifs, ils  n’en  démordent pas et  n’en ont cure.    Ce qui compte  pour eux, c’est le résultat politique.  
Tout se tient en politique.  Ce n’est pas péjoratif, c’est un tabou, mais, une réalité qu’on ne saurait passer sous silence.  L’analphabétisme n’est pas synonyme de productivisme, politique, encore moins de patriotisme  en action.  Voilà une différence de taille avec les pays hautement développés qui accordent une importance capitale  à l’éducation, à la culture politique  et à l’instruction civique.
 Depuis les parodies d’indépendances de 60 à nos jours, presque toutes  nos prétendues élites de la platitude de servitude  nauséabonde, qui se sont transformées toutes en éternels  relais  nègres de service, ont capitulé servilement une par une par consentement réactionnaire, face à leurs responsabilités.
Personne ne peut  le nier. Le dernier locataire provisoire, maître du palais des féticheurs,  qui a été élu à défaut et par dépit  et dans des conditions  totalement exceptionnelles, inédites,  est pire  que  tout par ses attaches bien encordées  sur la françafrique, plus connue sous le nom de la mafiafrique, version franc-maçonnique, apocalyptique, aux multiples ramifications tentaculaires totalement obscures, telle une toile d’araignée.
Autrement dit, il est question de débattre publiquement  sur d’autres alternatives possibles, en  dehors des élections présidentielles, qui ne sont rien d’autres  que des rapines politiques, organisées pour les mêmes goinfrés des raccourcis peu traditionnels. Quand on veut, on peut. Rien n’est  impossible pour  un peuple  vaillant, déterminé, si celui -ci est bien  associé, renseigné sur la question nationale. C’est un devoir moral et  de patriotisme nationaliste.
Quoique l’on puisse dire, il faudrait que nous sortions des chantiers  battus et apporter du « sang neuf » pour mettre un terme définitif à la gérontocratie politique, monarchique, depuis 1960. C’est une question  de volonté politique,  de leaders  bien aptes, charismatiques, nationalistes, altruistes,  bien formés et de façon efficiente  à l’échelle  nationale  pour évoluer dans le bon sens, à l’instar des pays totalement  émergents, indépendants et libres  dans les actes qu’ils posent constamment.
Mais, ici, les pantins de service  préférant  s’accorder par leur bassesse, portent tous la corde d’esclave autour de leurs cous, en s’enchérissant eux-mêmes et honteusement, tandis que, hélas, la majorité de la population écrasée d’impôts,  vit dans la misère galopante, aggravée par le chômage endémique.  Il incombe que nous changions de fusil d’épaule. 
Tous les pays les pays les plus endettés de la planète, se trouvent exclusivement, en en Afrique  francophone, arrimée à la zone Franc-CFA, qu’on appelle colonies françaises d’Afrique depuis 1945.
 Soyons sérieux, et conséquents dans nos analyses ! Qu’on le veuille ou non, le seul choix catégorique, digne  du Sénégal et de l’Afrique, en général,  c’est de sortir de la monnaie  franc-CFA, qui n’est rien qu’une expansion française,  pour  relancer ses économies en récession.  Faut-il démanteler sur des bases voulues, en totale indépendance et toute en conscience, les basses militaires et les troupes coloniales d’occupation militaires  sur le sol africain et ses satellites entreprises étrangères, qui  agissent sans contrôle aucun, au cœur de l’Afrique, et  dont le but inavoué, consiste à corriger par la ruse, sa récession économique, assujettie au capitalisme outrancier mondialiste, interplanétaire international ?
Le Sénégal et l’Afrique sont  assis sur des ressources rares, inestimables, mais restent étrangement  les pays plus pauvres de la planète.
Un paradoxe qu’il faut  absolument corriger, sans demander l’avis de quelques puissances que ce soit, et  d’où qu’elles puisent venir.  Ce que la Grèce et l’Europe ne disposent pas dans leurs sous-sols, nous en avons  à gogo jusqu’à l’extinction du soleil.
 « Golo dou bay bamboune di doundé ». Nous devons en finir avec  cette pratique historique, hystérique de la  logique de la dépendance systématique  humiliante, dégradante, qui dure plus de 55 ans, depuis les indépendances autocratiques. Nous avons les ressources humaines nécessaires. Nos richesses ne servent qu’à alimenter les industries européennes. L’état du Sénégal ne dispose que de 10% de son propre pétrole, alors qu’Alou Sall, le flibustier, le  paresseux  par les largesses  décousues de son propre frère de lait,  en l’occurrence, Macky Sall , en dispose  indignement 30%. Un comble d’un népotisme outrageant.
Pourrions- nous inspirer de  l’histoire des Etats-Unis, la chine, la Russie, le brésil et l’Afrique du sud et d’autres ?  A défaut, tout ce que l’on fera,  ne  sera qu’un coup d’épée dans l’eau, et peine perdue.
De 60 à nos jours, tous les régimes présidentiels  qui  se sont  succédé jusqu’ici,  n’ont apporté  la moindre  preuve de transparence économique, politique, tant s’en faut.  Tous se valent et se servent goulûment des deniers de l’état, qu’ils partagent exclusivement avec leurs propres familles immédiates,  y compris leurs clans.
 Parlons donc  de  la prééminence  et  la prégnance du  statut d’immunité du président de la république !  Ce  foutoir de personnage, curieux,  centrale, incontournable,  bénéfice  d’une impunité,  dans les faits étables, nous laisse pantois, d’autant plus  qu’on ne peut rien  faire sans lui. 
Ahmadou Diop CPC