samedi 22 août 2015

Libération de Paris : les Alliés ont écarté les soldats noirs sur requête de de Gaulle



Une information exclusive de la BBC. Le Général de Gaulle souhaitait que la Libération de Paris en 1944 soit le fait de soldats français. Les alliés accèdent à sa demande en lui concoctant une Deuxième Division Blindée 100% blanche, alors qu’à l’époque deux tiers des troupes françaises sont composées de soldats originaires des colonies, notamment d’Afrique de l’Ouest. L’information a été révélée lundi par la BBC.
Les commandements américain et britannique se seraient assurés que la libération de Paris le 25 août 1944 soit perçue comme la victoire des « Blancs uniquement », a révélé lundi 6 avril BBC Radio 4. Ils ont ainsi répondu favorablement à une requête du Général de Gaulle, qui souhaitait que la Libération soit l’œuvre de soldats français, en posant la condition suivante : « la division de Gaulle ne doit contenir aucun soldat noir », indique la BBC. « Il est plus souhaitable que la division mentionnée (la Deuxième Division Blindée) ci-dessus se compose de personnel blanc », écrivait en janvier 1944 dans une note « confidentielle » le chef d’Etat major d’Eisenhower, Walter Bedell Smith. « Ceci désignerait la Deuxième Division Blindée, qui ne compte qu’un quart de soldats indigènes, comme la seule formation française opérationnellement disponible pouvant être rendue cent pour cent blanche. »
A la requête française, le général britannique Frederick Morgan répondait en s’adressant au Commandement allié : « Il est regrettable que la seule formation Française 100% blanche soit une division blindée au Maroc (Deuxième Division Blindée). Toute autre division française est blanche à environ 40%. J’ai dit au colonel de Chevene que ses chances d’obtenir ce qu’il souhaite seront grandement améliorées s’il arrivait à fournir une division d’infanterie blanche. » Les Britanniques ne s’opposent pas pour autant à la requête. A l’époque, seuls les Américains pratiquaient une ségrégation officielle.
Les « Indigènes » privés du triomphe de la Libération
Les Alliés finiront par obtenir gain de cause en faisant appel à des soldats originaires d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient (Syriens), ou encore à des militaires espagnols. Les Tirailleurs sénégalais, vocable désignant les troupes françaises issues des colonies d’Afrique de l’Ouest, qui ont constitué « 65% de Forces françaises libres » et dont 17 000 soldats sont tombés lors de la capitulation française en juin 1940, n’auront pas droit à un « accueil triomphal à Paris », souligne l’article de la BBC. De même, après la Libération, de nombreux soldats indigènes auraient été « dépouillés » de leurs uniformes. Comble de l’ingratitude des autorités françaises, leurs pensions sont gelées par la loi du 26 décembre 1959. C’est la « cristallisation ».
Après avoir été revalorisées en 2002, en fonction du coût de la vie des pays de résidence de ces anciens combattants, les pensions – retraites de combattant et les pensions d’invalidité – ne feront l’objet d’une « décristallisation », annoncée en 2006, qu’en 2007. Le film Indigènes du réalisateur franco-algérien Rachid Bouchareb, qui est sorti en septembre 2006, a fortement contribué à l’aboutissement d’un processus que les Tirailleurs sénégalais réclamaient depuis plus de 40 ans. Mais la reconnaissance de la France reste toujours partielle. Les anciens combattants des anciennes colonies aspirent en réalité à un traitement égal avec leurs frères d’armes français. Finalement, c’est la justice française qui tente de réparer les torts de l’Etat. En octobre 2008, six anciens combattants marocains ont obtenu la revalorisation de leurs pensions militaires. La loi de finance de 2007 n’avait décristallisé que « les pensions d’invalidité et la retraite du combattant » et ne concernait pas « la pension militaire qui constitue la prestation la plus importante », indiquait alors leur avocat Me Houssan Othman-Farah. L’adage dit « combattre le mal par le mal ». Les Forces alliées, grâce aux autorités françaises, l’ont appliqué à la lettre en combattant les réminiscences du nazisme par le racisme.

mercredi 19 août 2015

L’avis de l’ONU sur l’affaire Karim Wade fait du bruit…La presse française s’y met et « tacle » la CREI…Macky est cuit



L’image de la justice sénégalaise écornée par les irrégularités du procès de Karim WadeL’ancien ministre avait été condamné à six ans de prison ferme pour  » enrichissement illicite  »Pas sûr que la justice sénégalaise sorte grandie de l’affaire Karim Wade, un dossier politiquement sensible, dans lequel les irrégularités s’accumulent. Jeudi 6 août, les avocats du fils de l’ancien président sénégalais Abdoulaye Wade, qui purge une peine de six ans de prison à la maison d’arrêt de Rebeuss, à Dakar, ont de nouveau dénoncé un procès  » partial et politique « . Ils réagissaient aux manquements relevés, cette fois, dans la procédure de cassation qu’ils intentent devant la Cour suprême, leur ultime instance de -recours, dont la décision doit être rendue le 20 août.Karim Wade a été condamné le 24 mars à six ans de prison ferme et plus de 210 millions d’euros d’amende pour  » enrichissement illicite  » lié aux postes ministériels de premier plan qu’il occupait durant la présidence de son père de 2000 à 2012. Cette peine a été prononcée par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI). Sur un continent où nombre d’Etats sont minés par le népotisme, la corruption et la prévarication, la raison d’être de ce tribunal d’exception était louable :  » Extirper de la société sénégalaise des pratiques (…) qui créent l’injustice sociale, paralysent le développement du pays et peuvent à la longue saper notre démocratie.  »Mais le statut et les attributions de cette juridiction, créée en 1981 et mise en sommeil jusqu’à sa réactivation après l’élection de Macky Sall (ancien premier ministre d’Abdoulaye Wade) à la présidence en 2012, sont loin d’être irréprochables. Ils ont été critiqués par les organisations de défense des droits de l’homme ainsi que par la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cedeao). Ces réserves visent notamment le pouvoir discrétionnaire du procureur ainsi que la charge de la preuve laissée à l’accusé, qui ne dispose donc pas de la présomption d’innocence. De plus, les -condamnations prononcées par la CREI ne peuvent faire l’objet d’aucun appel, seulement un recours en cassation -devant la Cour suprême.C’est dans ce but que les avocats de Karim Wade avaient déposé deux requêtes. La première -contestait la compétence de la CREI à juger Karim Wade, qui, selon eux, en tant qu’ancien ministre d’Etat, ne pouvait relever que de la Haute Cour de justice. Cette requête a été rejetée le 6 août. » Caractère arbitraire  »Le deuxième pourvoi en cassation est fondé  » sur une centaine de violations de la loi et des conventions internationales  » commises par la CREI depuis l’arrestation en 2013, durant l’instruction et pendant le procès de Karim Wade. Les avocats notent que  » la date de son examen – par la Cour suprême – a été fixée dans la précipitation sans que cela soit notifié aux parties dans les règles et alors que l’instruction n’a pas commencé et que les condamnés disposent du délai de deux mois pour présenter leurs observations « . Le 6 août, ils ont refusé d’assister à la fin de l’audience à la Cour suprême qui rendra son délibéré le 20 août.  » Tout est écrit d’avance dans ce procès politique « , dénonce Seydou Diagne, l’un de ses avocats joint à Dakar par téléphone.Le groupe de travail sur la détention arbitraire constitué au sein du Conseil des droits de l’homme des Nations unies avait considéré, le 20 avril, que Karim Wade avait été  » privé de son droit à un procès équitable et que sa détention avait un caractère arbitraire (…), que le mandat de dépôt qui maintient Karim Wade en prison est sans fondement légal « .
Un défenseur des droits de l’homme reconnaît que les défenseurs de Karim Wade  » ont toutes les chances, à l’avenir, de faire -condamner le Sénégal devant la cour de justice de la Cedeao.  » Ce juriste français déplore la façon dont l’affaire a été conduite.  » Il y avait de fortes présomptions contre Karim Wade. Il est notamment soupçonné d’avoir détourné de l’argent lors de l’organisation de la XIe session de la conférence au sommet de l’Organisation de la conférence islamique (OCI) en 2008. Il est peut-être un habile dissimulateur, mais l’instruction, bâclée, n’a rien démontré.  »
Karim Wade paie, sans doute, la volonté de son père d’avoir voulu en faire son héritier politique en tordant le cou à la Constitution.  » Il paie aussi son arrogance lorsqu’il était aux affaires. Mais cela ne devrait rien avoir à faire avec la justice « , ajoute notre interlocuteur sous couvert d’anonymat, preuve que ce dossier n’embarrasse pas que le pouvoir sénégalais. Pour Me Diagne,  » depuis trois ans, les droits de Karim – Wade – sont violés quotidiennement et ça continue. Où est l’exemplarité de la justice dont se targue le Sénégal ? « .
Christophe Châtelot

mardi 18 août 2015

Chronique : lâcheté de l’Etat-APR, tortionnaire, victimaire des leurres ? Par Ahmadou Diop CPC


Lâcheté de l’Etat-APR, le parti au pouvoir, tortionnaire, gouverne par son indignité manifeste, trahit, guillotine totalement la démocratie et interdit toutes les libertés fondamentales collectives, individuelles. Sa police qui a la gâchette la facile, continue de commettre des bavures sans qu’il y’ ait nécessairement des coupables désignés.
Ce régime de foutoir n’est jamais coupable, mais s’érige constamment victimaire des leurres. Autrement dit, comme tout régime fasciste, les mêmes victimes demeurent toujours les éternelles coupables, à contrario, les vrais délinquants qui ont commis des crimes économiques, physiques passent pour être des victimes éternelles devant l’éternel. Pour ce régime fasciste, qui n’est responsable de rien, car il impute les infiltrations à l’opposition. C’est la règle érigée en système de gouvernance autoritaire comme il en existe en Afrique des dictateurs.
Les despotes organisent les conditions obligatoires d’une instabilité politique auprès de ses bailleurs, situés outre atlantique, qui sont considérés comme des faiseurs d’opinions sous la baguette magique de leur presse étrangère, propagandiste jusqu’à la lie.
Pire encore, ils font en sorte que la sarabande farandole achetable s’y associe nécessairement et valide l’escroquerie.
Encore une fausse alerte à la bombe : l’enquête suit son cours, comme tout pouvoir d’Etat totalitaire, le régime fasciste de Macky Sall, organise savamment ses mensonges d’Etat crées de toute pièce pour se dédouaner de ses menteries inflationnistes. Celui qui fait une fausse alerte à la bombe, prépare encore en toute logique, un crime d’Etat, sera donc le seul coupable devant l’histoire.
Une chose est sûre : Macky Sall installe à petit feu la république familiale et ses diables d’ouailles pétainistes de rats ethniques corporatistes naturellement sans éthique, ni équité.
On se rappelle du plus vaste hold -up électoral lors des municipales de pacotille en 2014 pendant lesquelles le beau – frère du président de la république, en l’occurrence, Mansour Faye, est élu maire de St Louis et ministre de l’hydraulique de l’assainissement par un dispositif policier, disproportionné sécuritaire, exceptionnel, sous l’état de siège.
Cerise sur le gâteau, Aliou Sall s’arroge lui aussi à la fois et maire de Guédiawaye par des combines politiques et président des maires du Sénégal, et maintenant, banquier. Pour ne rien arranger l’étudiant Bassirou Faye a été assassiné lâchement à coups de balles réelles, mais Macky parlait déjà à l’époque, d’infiltrations. Qui vole un œuf, volera donc un bœuf. On s’attend à tout sous l’ère Macky Sall.
Tout pouvoir abusif, pour être charismatique, musèle la presse, est totalitaire, par définition. C’est ma conviction.
Si vous désirez la sympathie des masses, vous devez leur dire les choses les plus stupides et les plus crues, disait Hitler. C’est exactement ce que met en musique Maky Sall, « Charlie ou l’affairiste Pétain Noir » en chair et en os, le maquilleur, le moteur débridé de L’Etat-APR, le gourou de classe exceptionnelle du népotisme et la gestion gabégique.
Sa presse de servitude, matelassée totalement corrompue, prend cause et fait du totalitarisme ambiant, en échange des services bien rendus.
L’escobarderie de la mal gouvernance labellisée devient une norme établie. Où est donc la rupture sobre, vertueuse, efficiente, transparence ? Sous l’ère Macky Sall, on légalise ce que l’on dénonçait hier. Où est l’état de droit, dans tout cela, lorsque le président de la république envoie ses auxiliaires de service tenus en laisse, interdisent toutes manifestations légales, autorisées par la constitution ?
L’effraction par l’entrisme d’une certaine classe politique prouve éloquemment qu’elle ne dispose guère d’aucune vision politique, encore moins de patriotisme avéré. Les vieilles recettes décriées reviennent en surface.
Lâcheté de l’Etat-APR, le parti au pouvoir, tortionnaire, gouverne par son indignité manifeste, trahit, guillotine totalement la démocratie et interdit toutes les libertés fondamentales collectives, individuelles. Sa police qui a la gâchette la facile, continue de commettre des bavures sans qu’il y’ ait nécessairement des coupables désignés.
Ce régime de foutoir n’est jamais coupable, mais s’érige constamment victimaire des leurres.
Autrement dit, comme tout régime fasciste, les mêmes victimes demeurent toujours les éternelles coupables, à contrario, les vrais délinquants qui ont commis des crimes économiques, physiques passent pour être des victimes éternelles devant l’éternel. Pour ce régime fasciste, qui n’est responsable de rien, car il impute les infiltrations à l’opposition.
C’est la règle érigée en système de gouvernance autoritaire comme il en existe en Afrique des dictateurs. Les despotes organisent les conditions obligatoires d’une instabilité politique auprès de ses bailleurs, situés outre atlantique, qui sont considérés comme des faiseurs d’opinions sous la baguette magique de leur presse étrangère, propagandiste jusqu’à la lie.
Pire encore, ils font en sorte que la sarabande farandole achetable s’y associe nécessairement et valide l’escroquerie.
Encore une fausse alerte à la bombe : l’enquête suit son cours, comme tout pouvoir d’Etat totalitaire, le régime fasciste de Macky Sall, organise savamment ses mensonges d’Etat crées de toute pièce pour se dédouaner de ses menteries inflationnistes. Celui qui fait une fausse alerte à la bombe, prépare encore en toute logique, un crime d’Etat, sera donc le seul coupable devant l’histoire.
Une chose est sûre : Macky Sall installe à petit feu la république familiale et ses diables d’ouailles pétainistes de rats ethniques corporatistes naturellement sans éthique, ni équité.
On se rappelle du plus vaste hold -up électoral lors des municipales de pacotille en 2014 pendant lesquelles le beau – frère du président de la république, en l’occurrence, Mansour Faye, est élu maire de St Louis et ministre de l’hydraulique de l’assainissement par un dispositif policier, disproportionné sécuritaire, exceptionnel, sous l’état de siège.
Cerise sur le gâteau, Aliou Sall s’arroge lui aussi à la fois et maire de Guédiawaye par des combines politiques et président des maires du Sénégal, et maintenant, banquier. Pour ne rien arranger l’étudiant Bassirou Faye a été assassiné lâchement à coups de balles réelles, mais Macky parlait déjà à l’époque, d’infiltrations. Qui vole un œuf, volera donc un bœuf. On s’attend à tout sous l’ère Macky Sall.
Tout pouvoir abusif, pour être charismatique, musèle la presse, est totalitaire, par définition. C’est ma conviction.
Si vous désirez la sympathie des masses, vous devez leur dire les choses les plus stupides et les plus crues, disait Hitler. C’est exactement ce que met en musique Maky Sall, « Charlie ou l’affairiste Pétain Noir » en chair et en os, le maquilleur, le moteur débridé de L’Etat-APR, le gourou de classe exceptionnelle du népotisme et la gestion gabégique.
Le scandale de la Société Pétro-Tim Sénégal S.A créée par le propre frère de Macky Sall passe comme une lettre à la poste. Et l’affaire scabreuse « Sallgate » continue de défrayer la chronique ? On continue à nous rouler dans la farine. Le ménage doit nécessairement commencer par soi-même, n’est-ce pas Monsieur le président de la République ? Voila la lâcheté de l’Etat-APR., tortionnaire, victimaire des leurres !
Manipulation, désinformation, chantage, abus de pouvoir. Affabulation qu’on tient à blanchir en vérités éternelles, leurs propres vérités devant l’éternel.
L’arrogance de l’état -APR et sa suffisance populiste, propagandiste, apparentée clanique, s’autorise tout, pour se tirer d’affaire et se servir du miel des jeux politiques peu orthodoxes ? L’APR. roule à contre sens de l’histoire par son immobilisme et son incurie peu honorables, par son manque d’intuition politique sur les réformes nécessairement constitutionnelles, mais aussi, son insolence ostentatoire repoussante à plus d’un titre, comme si l’éloquence de l’étourderie manifeste, sur fond de diversion permanente, régente l’autoritarisme des interdictions tout azimut à coup de poing, au prétexte de menaces à l’ordre public, tendant à confisquer durablement la démocratie
Reparlons encore de Djibo Leyti Kâ, l’homme des stratégies bancales antipatriotiques ! Les gouvernements changent, mais rien ne change et tout continue en pis. Les mêmes méthodes indignes, biscornues sévissent dans le ciel obscurci sénégalais des partis politiques.
Djibo Leyti Kâ déclare ceci à l’opposition, nous le citons: « Je viens vous annoncer que j’ai reçu mandat de mon parti pour aller discuter… »
Dans notre pays, les chefs de partis politiques confisquent la démocratie et redussent leurs écuries comme étant exclusivement des biens personnels. Et Djibo Leyti Kâ, l’éternelle girouette, qui ne fait pas exception à la règle, atterrit donc à l’écurie, incurieuse du cheval marron beige. , apocalyptique.
Dans le paysage politique singulier sénégalais atypique, l’habileté du transvasement et l’entrisme des pirouettes décousues des mensonges organisés et des convulsions hystériques, deviennent la seule religion des chefs de partis politiques, transformés en rats.
Un rappel : sous le prétexte fallacieux de ce qu’il appelait l’agenda des urgences et des réformes pour justifier son choix ou son entrée dans le gouvernement libéral d’Abdoulaye wade, Djibo Leyti Kâ, en 2004, est nommé ministre de l’Économie maritime par le président Abdoulaye Wade, le lendemain de la fameuse rencontre avec la délégation du pds et l’URD, le 12 avri
l 2004.
Le 5 juillet 2007, il devient ministre d’État, ministre de l’Environnement, de la Protection de la Nature, des Bassins de rétention et des Lacs artificiels dans le gouvernement de Cheikh Hadjibou Soumaré.
Autrement dit, la trahison est devenue source de promotion sociale indue dans ce pays étrange et à la renverse.
Aujourd’hui, le même Djibo Leyti Kâ utilise les mêmes paramètres irrigables pour se loger dans les valises de l’APR ou l’arrogance de l’alliance pestilentielle des rancunes et des rapines.
En vérité, Djibo Leyti Kâ officialise à petit feu son entrisme à la machine toxique, quitte donc le bateau de l’opposition. Une inélégance qui prend les relents opportunistes aux apparences de reniements et de renoncements, pendant que le chef des délinquants de la république du corporatisme ethnique, emprisonne à tour de bras toute opposition réelle, potentielle, supposée dans un état de droit, revient peu à peu de ses propres paroles dédites, en particulier, la réduction de son mandat présidentiel de 7 à 5 ans, s’arroge impunément victimaire des oripeaux.

mardi 11 août 2015

Plan funeste du dangereux Mollah satanique, Pétainiste Noir. Par Ahmadou Diop



Depuis le regrettable soir du 25 mars 2012 sévissent l’intoxication, l’éternelle campagne électorale permanente, déloyale, désinformations, manipulations déformations et provocations surannées d’un négationniste, ségrégationniste, ethniciste sur le terrain des crimes d’état, sempiternels devant l’éternel.

Qu’est ce qu’un régime négationniste ?

C’est un régime autoritaire, totalitaire, qui tue, musèle toute voix discordante des opinions libres, sans qu’il ait besoin de justifier les crimes, qu’il a commis contre tout citoyen libre n’acceptant pas son idéologie.

Lorsque dans un pays, une minorité de traitres domine, il va sans dire sans que le manque de patriotisme et de civisme chronique, constituent à n’en pas douter, les causes directes de nos éternelles déconvenues crescendo.

Ce qui est pire et loufoque dans la crise universitaire, c’est lorsque la presse traitresse égoïste, embrigadée, matelassée, cartonnée par ses pantalonnades, n’échappe plus à personne, sert le lit d’un escroc notoire.

Lequel tente d’absoudre le crime d’état dans le lieu même du crime, il y’a seulement un an, à savoir l’assassinat de Bassirou Faye et ses camarades lâchement arrosés à coups de balles réelles, pour interdire toute manifestation légale, autorisée par la constitution.

Un tel régime excelle, labellise les pillages des ressources inaliénables du Sénégal, dont Macky Sall est le seul responsable, blanchit pour se faire réélire bassement sur l’autel de ses menteries inflationnistes, impossibles à compter.

En vérité, ce brouhaha cache les charrettes d’inepties avec ses scandales de forfaitures, insurmontables, incommensurables de la part d’un régime déshonorant, confisque la démocratie par sa soldatesque d’auxiliaires de service, convertis en sales cuillères.

La justice sénégalaise aux ordres, qui semble être le bras armé du totalitarisme et la presse de la sarabande de service, toujours au garde à vous, sont comptables devant l’histoire par leur abdication manifeste.

Qu’on le veuille ou non, en lieu et place d’un président de la république, normal, les sénégalais ont élu par leur étourderie généralisée, un gourou, un câble de la françafrique, un corrompu jusqu’à la moelle, le chef dénommé de la mafia corporatiste, ethnocentrique de la pieuvre apérisée, coalisée en entreprise de malfaiteurs, notoirement terroristes, déclarés, non éclairés, ne s’encombrent d’aucune parcelle, encore moins de moralité visible.
Plan funeste du Mollah Macky Sall, terroriste : le guide népotique des scandales imprescriptibles. Au nom de la traque des biens mal acquis qu’il dirige en réalité à distance depuis le palais « alpularisé », par mimétisme au maccarthysme, « le mackyethnicisme » fait aussi la chasse aux sorcières à tous ceux qui ne veulent pas se mouiller ou se mouler dans la secte ou la loge apr.

Pour être l’alter ego du régime fasciste de Benito Mussolini, qui avait sa milice nommée les «Chemises noires», « le mackyethnicisme » crée lui sa milice des tontons macoutes, maquillée agence de sécurité de proximité, baptisée sous l’acronyme ASP. L’agent de sécurité de proximité abat par balle, le 24 juillet 2015, Matar Ndiaye. Un an avant, Bassirou Faye est assassiné à balles réelles à L’UCAD en blessant d’autres étudiants, devenus depuis des infirmes.

La deuxième guerre mondiale a ruiné matériellement et sur le plan moral, ceux qui l’ont créée de toute pièce par leur gourmandise. .
Il fallait donc créer nécessairement une autre stratégie, puisque la conjoncture internationale ne permettait plus aux puissances coloniales de dominer le monde sous de faux postulats. Pour cela, l’ONU, qui est un organisme international, composé essentiellement de 5 membres permanents ont droit de véto lutter pour la paix.

En réalité, c’est un conglomérat des éternels oppresseurs, vainqueurs contre les éternels vaincus, c’est à dire les opprimés, n’a d’autre fin qu’à perpétuer la domination coloniale au nom d’une subtilité alambiquée pour prolonger ce qu’il est convenu d’appeler le nouvel ordre mondial de l’expansionnisme tempéré.

La politique étant une ruse, un art, il fallut développer un concept nouveau , qui devient obligatoire, c’est-à-dire créer des guerres partout, pour détruire, reconstruire, en mettant les uns contre les autres, de façon à diviser, cliver les populations et piller à la fois les nouveaux pays indépendants par les mécanismes habilement pensés : pyromanes et pompiers. C’est ainsi qu’est né le fameux terme de terrorisme.
A peine donc qu’il a été élu en 2012, le désertique, l’étrange multimilliardaire, dont l’antipatriotisme déclaré, n’échappe plus à personne, commande faussement quatre hélicoptères pour la lutte contre le terrorisme.

Prêcher le faux pour avoir le vrai. C’est rentable et pratique. Seul le résultat escompté politique compte, quitte même à mentir.
Point d’éthique, ni équité. Contrairement aux idées reçues, il sait dans son for intérieur que la majorité des sénégalais, qui l’ont élu à défaut et par dépit dans des conditions totalement exceptionnelles, inédites, ne comprennent rien de la chose publique et surtout en matière de géostratégie politique. Il en est parfaitement conscient. Ceux qui l’ont conseillé sont de haut niveau.

Autrement dit, le faussaire fait un appel du pied et donne des gages et renvoie l’ascenseur à ses sponsors, invisibles, mais visibles qui l’avaient aidé pendant sa campagne électorale surréaliste.
L’incapable notoire de classe exceptionnelle, l’inimitable maître des coups tordus, est toujours arrimé sur le piano américano-français pour sa servilité, a prêté allégeance à ses propriétaire du coté bitim rewmi, se décharge peu à peu savamment, se défausse habilement de ses promesses électorales, se met aimablement sur la musique rituelle internationale, l’éternel thème fétiche, favori du terrorisme pour détourner les consciences sénégalaises.
Le Satan mollah Macky cherche sciemment le bordel dans ce pays pour créer les conditions obligatoires d’une instabilité, politique tendant à ne pas pouvoir faire faussement la tenue des élections présidentielles à date échue, en 2017.
Les signes avant-coureurs persistent et sont visibles de plus en plus. Son aura s’est effilochée lourdement, telle une peau de chagrin. Il en est conscient depuis qu’il s’est écarté des raisons pour lesquelles il a été élu. En partie, c’est l’une des stratégies politiques de bas étage. Il sait qu’il est impopulaire. Il est convaincu que si le calendrier républicain est respecté, il perdra le pouvoir.

C’est pourquoi, il fait de la surenchère pour semer la zizanie, qui consiste à arrêter des étudiants qu’on accuse d’atteinte à la sureté de l’état. Une telle attitude est dangereuse. On peut même se demander s’il n’a pas reçu des conseils venus d’ailleurs.

Les arrestations massives d’étudiants, présumés passibles à la cour d’assises, suite aux jets de pierres prenant une tournure politique constitue, ce que l’on peut appeler le plan diabolique scandaleux d’un monstre incapable de respecter ses promesses électorales, orbi et urbi, tient à se sucrer sur le terrorisme imaginaire pour y trouver une décharge nécessaire et une bouée de sauvetage pour compenser son étourderie et ses forfaitures à couper le souffle.

Parlons donc des deux affaires qui éclaboussent la république bananière : Arcelor-MITTAL-PETROTIM Sénégal SA. Deux scandales d’état imprescriptibles parmi tant d’autres passés sous silence.
D’après une certaine presse bien informée, Arcelor-Mittal : compensations dérisoires. En septembre, Arcelor Mittal a déboursé 150 Millions dollars [72, 2 milliards F CFA] pour régler le litige. Une somme aussitôt transférée via deux virements distincts [140 millions de dollars et 10 millions de dollars à l’agence parisienne BNP Paribas sur le compte de l’avocat de Macky Sall, qui est aussi celui de l’état du Sénégal. alors que le bureau d’étude confiée à GUSTASON avait évalué à 5 milliards de dollars le montant des réparations dues au Sénégal.
D’autre part, le pétrole découvert aux larges des cotes du Sénégal nous laisse pantois : La société américaine détient 60 %, 10% pour l’Etat du Sénégal, le propre frère de Macky, Aliou Sall, maire élu des combines, détient 30% du pétrole de l’état sénégalais. C’est un vol. Il n’y a ni plus ni moins. Macky Sall a l’obligation de s’expliquer sur toutes ces histoires totalement carambouilleuses.
Bouche et motus cousue sur la question pendant que l’on se focalise exclusivement sur des broutilles, des jets de pierres organisées pour victimiser Macky Sall. Cela constitue un des éléments clés pour que Macky ourdisse un plan savamment diabolique à la seule fin de croire pouvoir s’éterniser au pouvoir et échapper, ainsi, à la justice et sauver par ricochet, sa famille immédiate, pressureuse, comme il en existe chez les dictateurs nègres de service.

En vérité, les subterfuges, organisés à la pelle par le pouvoir totalitaire à l’épreuve des faits, enfreint les libertés fondamentales, individuelles, agresse constamment, tue la vérité à petit feu la démocratie, arrête à tout vent toute personne, sous le fallacieux prétexte de vouloir déstabiliser les instituions et atteinte à la sureté de l’état. Cela ne se repose sur aucun postulat réel.

Pour dire la vérité, rien que la vérité, les scandales financiers grossiers sous Macky Sall sont les plus effroyables de toute l’histoire politico-financière du Sénégal. Les jets de pierres ne sont rien d’autre qu’un alibi pour faire taire toute voix discordante des opinions libres.
Le comble du comble, une armée de bouffons opportunistes serviles, corporatistes, convertis en vulgaires pantins de caniveau monopolisent, envahissent et prennent en otage tous les plateaux de télévision en abreuvant d’insultes permanentes ceux qui se dressent la tète haute contre celui qui est niché derrière les grilles d’un palais des féticheurs.

Ahmadou  Diop CPC