mardi 29 septembre 2015

Radio Sunuker présente Emission « Xew Xewi Rewmi » avec Ahmadou Diop du 29 Septembre 2015: Le premier résistant médiatique africain- “Pinc Mi” : notre Radio Sunuker FM, la première Radio Africaine en Californie à Los Angeles.



Solennellement, nous rendons un hommage vibrant aux sentinelles sénégalaises toujours présentes sur les ondes de notre Radio sunuker Fm : la Première Radio Africaine en Californie à Los Angeles.
Pour commencer, « Tal bu yalla tal sani cik mata guen fay ko », en terme clair, qu’il est inutile de vouloir éteindre la flamme de dieu. Une telle mission est immanquablement vouée à l’échec. Que nos détracteurs qui sont les ennemis de dieux se le tiennent pour dit ! Que cela soit clair !
Pour tout pays présumé de droit, dans les faits, il est essentiel que les professionnels de l’information et de la communication puissent jouer leur rôle dévolu et ceci sans parti pris.
A l’excellence de notre Radio Sunuker FM, la première Radio Africaine en Californie à Los Angeles, pour dire vrai, est le symbole de la résistance de la référence de tout un continent pour la cause et la défense de l’afrique et des africains. 
Rappel historique : 2004, Ndiawar Diop, un sénégalais bon teint, altruiste, né dans l’âme, bien formée à la bonne école, férue des sciences politiques, a eu l’ingénieuse idée, pertinente de mettre à la disposition de tous les africains et non africains cet outil merveilleux moderne de la bonne communication. En vérité, notre radio est le ralliement et le point de convergence des bonnes consciences à l’endroit contre l’envers du décor.
Le crédo de Radio se distingue par sa volonté manifeste de réunir tous les patriotes sénégalais autour d’un idéal commun, pour faire de ce pays une véritable nation émergente. A travers ce postulat, l’apport, l’expertise et la détermination de tous les sénégalais s’avérent nécessaires, pour bâtir une société égalitaire dans laquelle tous les citoyens naissent libres et égaux devant la loi en devoirs comme en droits. 
A la différence de certaines radios dressées en coupe réglée, financées, parrainées, qui portent par indécence et l’arrogance attentaoire de l’acronyme marron-beige à l’hémisphère nord, lesquellles ondes sévissent, en campagne électorale totalement déloyale, et à dessein de vouloir réélire un traitre nègre de service, l’habitacle des manières décousues, les finance bassement sans vergogne à cause de ses multimilliards qu’il a obtenus sur l’autel du miracle des postes nominations-Tan Sa Bula Nex-, notre radio quant à elle, est la plus libre par sa crédibilité audible, indiscutable sur la scène nationale et internationale, occupe le haut du pavé dans le panthéon de la communication de haute stature, eu égard aux analyses objectives remarquables des experts sénégalais polyvalents, qui y interviennent sur le plateau constamment et à chaque fois que cela s’avére nécessaire.
Un » yénékay » hors du commun de premier plan passe irréversiblement dans la postérité par son abondance patriotique pour la cause des sénégalais et africains, et par extension, notamment aux opprmés où qu’ils puissent se troucver sur la planète, sans distinction de race, ni de sexe, ni de religion, quand bien même la notion de race n’existe pas en biologie.
Notre Radio Sunuker FM, représente la voix du peuple par le peuple et pour le peuple, diffuse inlassablement des informations réelles, dignes de foi, décortiquées de fond en comble de haute facture, capables de créer le déclic nécessaire et l’éveil des consciences endormies. 
Des experts sénégalais, libres, présents constamment sur le plateau, compétents en la matière, analysent sans compromissions, l’actualité politique nationale et internationale. Les mêmes expérimentés dénoncent les pillages des ressources naturelles du sénégal bradées, qui sont entre les mains d’une famille paresseuse en bande organisée. 
Pour nous autres, la référence de la démocratie des médiocres ne peut imprimer sa marque de fabrique dans ce pays !
Notre média exceptionnel met au crible la désinformation, la manipulation tout azimut de la presse des nullards de macky sall, est source d’abondance, tendant à assurer la promotion sociale, politique de Macky Sall-« l’affairiste Pétain Noir » et sa bande d’ouailles voraraces, labellisées jusqu’à l’abîme. 
Depuis le regrettable soir du 25 mars 2012, la plupart des sénégalais sont convaincus qu’aucune rupture n’a été opérée jusqu’ci, malgré les slogans stériles, médiatico-politiques, inflationnnistes, emphatiques, qui cachent, en réalité, une vaste supercherie grotesque de toute l’histoire du Sénégal. 
Pire encore, toutes les structures de l’état sénégalais sont entre les mains des mêmes patronymes particuliers. On peut même parler de parjure de la part de Macky Sall, passé maître exceptionnel du promoteur du népotisme et la gestion gabégique des déniers de l’état qu’il détourne à des fins personnelles. 
L’homme des galéjades et des pantalonnades se renie peu à peu de ses promesses électorales et ses engagements qu’il laisse sciemment aux vestiaires. Toute contradiction politique est synonyme de déstabilisation de son régime moribond. La misère sociale devient de plus en plus aiguë, aggravé par le chômage endémique et l’inflation des denrées de première nécessité ; surtout les factures et les coupures de complaisance du courant électrique et la cassure d’eau permanente. 
Aujourd’hui plus qu’hier, tous les médias publics et privés sont monopolisés par le pouvoir d’état totalitaire. Dans ces conditions, cela constitue immanquablement une écharde au traitement objectif des informations et dans la confrontation des idées. Tout citoyen libre dans son devoir est traqué et poursuivi aumatiquement au tribunal fasciste pour délit supposé d’opinion, par l’entregent de l’article 80 bidon de la constitution moribonde. 
Macky n’aime que lui-même pour ses propres intérêts crypto- personnels, mesquins mal placés. L’homme n’a qu’un seul objectif pour se faire réélire en 2017, si toutefois, des élections présidentielles auront lieu à date échue. Pour toutes ces raisons, Macky doit impérativement rendre le rendre le tablier au nom du peuple qu’il ne cesse de trahir chaque jour que dieu fait. 
Notre radio, est le moteur de la libération pour l’indépendance totale, politique, économique, financière, militaire, à la seule fin que notre pays puisse disposer librement de son propre destin bâtir sur des bases voulues et recouvrer totalement sa splendeur historique. 
Notre radio est le porte-voix de ceux qui n’ont point de paroles. Elle est à la pointe et l’avant-garde du combat légitime, à l’instar des nations émergentes qui ont compris que la force d’un pays réside dans la capacité dynamique de ses dirigeants aptes à créer une impulsion productive. 
Sur ce plan là, notre Radio rappelle toujours l’application systèmatique des conclusions des assises nationales, qui restent le socle de la démocratie. Pour cela, une nouvelle constitution permettrait de consolider la justice sociale, l’éthique et l’équité.
L’icône médiatique n’a pas la vocation ni pour plaire ou déplaire les uns contre les autres. Cela n’est pas sa ligne éditoriale. Ce n’est pas sa vision de la démocratie. Elle n’a qu’une seule conviction pour défendre des valeurs et des principes démocratiques. 
Elle est là pour créer les conditions obligatoires d’un pays civilisé dans lequel les citoyens naissent libres et égaux devant la loi. Un challenge que nous devons atteindre par tous les moyens.
Par Ahmadou Diop CPC

Macky cultive l’Ethnocentrisme ! Enfin un journaliste courageux évoque le problème et dresse une liste…Regardez


Sénégalais Réveillez-vous, les politiques nous trompent. J’en appelle à une lutte intellectuelle contre ces fauteurs de troubles ! Par N’diawar Diop Permettez avant d’étaler la liste des nominations de la honte, de développer la pensée dénonciatrice de la politique malsaine du président Macky Sall. Il faut tout d’abord rappeler aux concitoyens sénégalais que notre actuel président n’est pas le représentant de nos frères Halpulaar qui sont des gens pieux, une communauté vertueuse bien élevée; contrairement à lui qui nous tient toujours un discours irréligieux (… les marabouts, c’est des citoyens ordinaires…; … le chapelet ne peut pas développer un pays… ). Son comportement ressemblerait presque à celui d’un athée; lui qui pousse d’un revers de main les concepts de vertu et de la morale en nommant aux postes stratégiques un village entier au vu et au su de de tout un peuple. On n’a pas besoin d’être une âme éclairée pour savoir que notre président a cessé d’être Une Institution depuis qu’il a commencé à diviser son peuple pour ne satisfaire que ceux qui sont proche de lui le défenseur tenace d’une politique pro-française (Tout revient à la metropole). Il est donc inacceptable de le laisser satisfaire son besoin inhumainement raciste, parcellaire, régionaliste, agressif et despotique du Sénégal. D’aucuns me diront que c’est un hasard si les fonctions les plus stratégiques du pays sont occupées aujourd’hui par les gens d’une même ethnie (Ceux partagent la même culture, la même langue, les mêmes traditions et les mêmes coutumes) et cela depuis le 1 Avril 2012. Est-ce un hasard aussi si la traque des biens dits “Mal-Acquis” ne visent que ceux ne sont pas de l’ethnie du président ? Si on regarde bien la liste des personnes menacées ou emprisonnées par notre Macky Sall National, on se rend compte sans trop chercher à savoir qu’elles sont toutes des Non-Alpulaar: Karim Wade, Aida Ndiongue, Abdou Aziz Diop, Bara Sady, Ndongo Diaw, Ndéye Khady Guèye, Mbaye Ndiaye, Ousmane Ngom, Samuel Sarr, Oumar Sarr, Me Madické Niang, Mamadou Pouye, Tahibou Ndiaye, Toussaint Manga, Aminata Nguirane, Mamadou Massaly, Abdoulaye Baldé, Bibo Bourgi, Doudou Diagne, Me Amadou Sall, Abo Thiam, Serigne Assane Mbacké (pour avoir porté plainte à la CREI contre la première dame Marème Faye Sall), Bara Gaye, Farba Senghor, Lamine Faye, Alioune Aidera Sylla etc… (pour ne citer que ceux-là). Pourtant l’ancien président Abdoulaye Wade avait une pléthore de politiciens Halpulaar pour faire aboutir sa vision et qui sont libres aujourd’hui. Doivent-ils leur liberté au seul fait qu’ils partagent tous les mêmes traditions et coutumes ? Quel hasard a encore sauvé Kalidou Diallo, Zakaria Diaw, Sada Ndiaye, Amadou Kane Diallo (Cosec Bateaux-Taxi), Alioune Diop, Bécaye Diop (Peulh de kolda), Adama Sall, Amat Sall (ancien ministre de l’Agriculture décédé), Khoureichy Thiam (Toucouleur du Boundou), Amadou Tidiane Wane, Cheickh Tidiane Gadio, Amadou Niang (ancien ministre du commerce), Djibo Leyti Kâ, Abdou Rahim Agne, Aliou Sow (Laobé-toucouleur), Abdoulaye Diop (Ancien ministre de l’Économie et des Finances) ? En gardant cela à l’esprit, oh Peuple, ne devrions-nous pas assumer une position ferme contre toutes ces nominations et propositions “népotiques” et despotiques, notamment celles faites au sein d’une même ethnie ? Aucune bonne conscience n’acceptera de discuter ce sujet tabou de bas étage mais face à un régime oppressif marxiste-léniniste et stalinien, on serait obliger d’en parler pour dissuader un moment l’agresseur politique, diviseur du peuple jadis unis par des liens de parenté. Macky Sall veut entrer dans l’histoire de la médiocrité, raison pour laquelle, il a mis en place une organisation qui obligerait les membres des anciens régimes à le rejoindre. Cette organisation n’autoriserait jamais aux structures politiques (qui pensent autrement) à opérer paisiblement dans le pays car il a l’intention de les écraser toutes impitoyablement autant qu’elles sont. Ce qui entraine ces derniers jours, qu’on ne parle que de la grande transhumance (Macky lui-même l’encourage). Bien que nous soyons tous témoins depuis belle lurette du complot manigancé par nos politiciens sans vergogne, personne ne prenne aucune action pour dénoncer ce comportement pervers. C’est comme une série de violations répétitives de nos droits dans ce pays qui nous est si cher. Les événements quasi quotidiens de changements de partis politiques se font noter massivement dans tous les coins du pays ruiné par les politiques qui devraient nous secourir. Toutefois, cette sauvagerie ne rentre jamais dans l’agenda des sénégalais et les moyens pour prévenir une telle situation sont souvent évités délibérément dans les grandes discussions télévisées. Et maintenant que le Sénégal est confronté à ce cancer politique qui tue la démocratie, tous les patriotes sont obligés, apparemment, à faire face aux nombreux problèmes sans fin. On se demande à la fin ce que sert les ideologies politiques dont nous nous réclamons. Avec le départ des anciens ministres et compagnons d’Abdoulaye Wade du PDS (Awa Ndiaye, Baïla Wane, Innocence Ntap Ndiaye, Pape Diouf, Kalidou Diallo, Thierno Lo, Sitor Ndour, Khouraichi Thiam sans compter le nombre important de membres des autres partis politiques (Nafissatou Diop Cissé Rewmi, Oumar Guèye Rewmi), et tout dernièrement Djibo Leyti Kâ considéré par beaucoup de sénégalais comme “le grand traitre” de la nouvelle ère moderne de la politique sénégalaise; presque toutes les “Grandes Gueules” du pays sont aujourd’hui recyclés par Macky Sall le tout nouveau roi de l’arène politique du Sénégal. Le ralliement de l’un des responsables politiques du Sénégal devient ainsi un non événement puisqu’il a fréquenté tous les régimes qui ont eu à diriger ce pays. Que cela ne surprenne personne d’autant plus que Djibo Kâ est habitué des faits; c’est seulement la répétition d’une règle devenue malheureusement impopulaire dans le monde politique sénégalais. Que sert les élections présidentielles organisées avec nos maigres ressources, si le président élu doit faire son recrutement dans les partis déchus ? En fait les politiques nous poussent, nous peuple, à créer des conflits interminables en apparence. C’est un problème que nous continuons à négliger depuis des années sans que personne ne cherche des solutions adaptées. En réalité, le peuple ne tient pas compte de la réalité et refuse encore de tenir en compte l’aspect des conflits internes que cela suscite. Il minimise même les pertes qui essentiellement résultent de l’action d’avoir été menti et trahi par les membres de ce groupe de politiciens sans vergogne. Ils sont tous aujourd’hui propriétaires de médias d’informations avec une armée de journalistes nous fournissant tous les jours des bulletins de nouvelles sur leurs activités politiques à la copie-coller (tous faisant la même chose). Ils sont presque tous formatés avec un même vocabulaire figé, limité et mitigé. Ils sont en permanence à la recherche de partenaires à l’extérieur; ce qui nous expose et nous mène directement dans les bras de mercenaires économiques insouciants de nos maux. Vous ne les entendrez jamais parler de la profonde crise économique et sociale qui sévit progressivement n’entrainant que le malheur chez bons nombres de sénégalais. Maintenant le résultat est là; le Sénégal est aujourd’hui dans un un terrain propice aux organisations et entreprises occidentales. Oui le Sénégal est bien entre les mains de fossoyeurs de crises sectaires, et des assassins économiques qui utilisent nos idoles et icônes contre nous peuple. Maintenant, jetez un coup d’oeil sur les nominations (du président Macky Sall). Voici quelques exemples de nomination 2015 par décret à caractère ethniques et tribales, porteuses de division au Sénégal. La liste n’est pas exhaustive ! Chef d’Etat-major général des armée: Mamadou SOW Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique: Abdoulaye Daouda DIALLO Ministre de l’Economie, des Finances: Amadou BA Ministre Délégué auprès du Ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Chargé du Budget: Birima MANGARA Ministre de l’Environnement et du Développement Durable : Abdoulaye Bibi BALDE Ministre de l’Energie et du Développement des Energies Renouvelables : Thierno Alassane SALL Ministre de l’Enseignement Superieur: Marie Teuw NIANE Ministre du Travail, du dialogue social, des organisations professionnelles et des relations avec les institutions: Mansour SY Ministre des Sports: Matar BA Ministre de la formation professionnelle, de l’apprentissage et de l’artisanat: Mamadou TALLA Ministre-conseiller à la Représentation permanente du Sénégal auprès des Nations Unies à New York: Abdoulaye BARRO ancien Conseiller des Affaires étrangères principal, précédemment premier Conseiller à l’Ambassade du Sénégal à Conakry Ministre Conseiller: Madame Ramatoulaye BA FAYE, Conseiller des Affaires étrangères principal, Directeur Asie, Pacifique et Moyen –Orient au Ministère des Affaires étrangères et des sénégalais de l’Extérieur, est élevée au rang de Ministre – Conseiller Ministre Conseiller: Madame Mariame SY, Conseiller des Affaires étrangères principal, Directeur Afrique et Union africaine au Ministère des Affaires étrangères et des sénégalais de l’Extérieur, est élevée au rang de Ministre – Conseiller Gouverneur de la région de Thiès: Amadou SY précédemment gouverneur de la région de Kaolack Gouverneur de la région de Kolda: Al Hassan SALL précédemment Préfet du département de Rufisque Gouverneur de la région de Tambacounda: Cheikh Kane NIANEprécédemment Gouverneur de la région de Matam Gouverneur de la région de Matam: Oumar Mamadou BALDE précédemment Préfet du département de Thiès Préfet du département de Kédougou, région de Kédougou: Papa Demba DIALLO précédemment Préfet du département de Ranérou, région de Matam Préfet du département de Matam, région de Matam: Diadia DIA précédemment Adjoint au Gouverneur de la région de Thiès, chargé des affaires administratives Préfet du département de Kaolack, région de Kaolack: Serigne Babacar KANE précédemment Adjoint au Gouverneur de la région de Saint-Louis Inspecteur Général des Finances: Ibrahima WONE Agent Comptable des Grands Projets à la Direction Générale de la Comptabilité Publique et du Trésor: Mamadou Oumar BOCOUM Directeur des Opérations Douanières: Mamadou GADIAGA Secrétaire général du Ministère de la Santé et de l’Action sociale: Ibrahima WONE Secrétaire général du Ministère de la Pêche et de l’Economie maritime: Moustapha LY Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Sa Majesté Juan Carlos 1er, Roi d’Espagne: Abdou Salam Diallo ( Ex ambassadeur c’est Mamadou DEME) Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Abdel AZIZ, Président de la République Islamique de Mauritanie: Mamadou Tall, (ex Mamadou KANE) Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Faure Essozima GNASSINGBE, Président de la République Togolaise: Binta Samb BA, Ancien Ministre Consul général du Sénégal à Paris: Monsieur Amadou DIALLO Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Altesse Cheikh Hamad Bin Khalifa Al Thani, Emir de Qatar: Monsieur Mamadou Mamoudou SALL (Ex Cheikh Tidiane SY) Ambassadeur du Sénégal à Tunis : Khadidiatou Tall Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire auprès de Sa Majesté Mohammed VI, Roi du Maroc, avec résidence à Rabat: Amadou SOW Consulat général du Sénégal à Madrid (Espagne): Mouctar Bélal Bâ Directeur du Partenariat avec les Ong à la Direction générale de l’Administration territoriale: Aminata Bâ Ndiaye Présidence du Conseil de Surveillance de l’Agence nationale de l’Aquaculture: Lesseyni Sy Ambassadeur: Monsieur Salif Sada SALL, Docteur en Economie, Représentant de la Présidente de la Commission de l’Union Africaine au Bureau de l’Union Africaine en Afrique australe, est élevé au rang d’Ambassadeur Directeur du Centre des Œuvres universitaires de Dakar : Cheikh Oumar ANNE Secrétaire général du Ministère de la Pêche et de l’Economie maritime: Moustapha LY Directeur de l’Ecole nationale d’Administration pénitentiaire (ENAP) : Abdourahmane KANE, Directeur de la Promotion des Investissements au Ministère de la Promotion des Investissements et des Partenariats : Monsieur Abdoulaye LY Directeur de la Police de l’Air et des Frontières: Abdoul Wahabou SALL Directeur Général Adjoint de la Police nationale, poste vacant : Monsieur Ousmane SY Directeur de la Sécurité publique : Monsieur Oumar MAL, Inspecteur de l’Administration territoriale au Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique: Amadou DEME Directeur général de la RTS: Racine TALLA Direction de la Gestion et de la Planification des Ressources en Eau: Amadou Seydou DIA Directeur du cadastre: Amadou samba TALL Directeur Général de la Société d’aménagement de la petite côte (SAPCO) : Bocar LY Directeur général de l’Office des Pupilles de la Nation: Mamadou Saliou DIALLO, Pharmacien Directeur des Eaux, Forêts, Chasses et de la Conservation des Sols : Colonel Baïdy BA Directeur de la Gouvernance sectorielle au Ministère de la Promotion de la Bonne Gouvernance et des Relations avec les Institutions : Ahmed Tidiane DIA Directeur général du Fonds de Garantie automobile FGA: Monsieur Mahmoudou Bocar SALL, Directeur général de la Société nationale de Recouvrement (S.N.R.) : Babacar DIALLO, Directeur du Personnel et de la Logistique de la douane : Mouhamadine Oumar BA Directeur du Centre hospitalier National Dalal Jamm: Moussa Same DAFF Directeur des Services fiscaux spécialisés à la Direction générale des Impôts et des Domaines: Adama Mamadou SALL Directeur des Stratégies de Désenclavement au ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement: Ibrahima Bocar SOW Directeur de l’Economie numérique et du Partenariat au ministère des Postes et des télécommunications : Seth SALL Directeur général de l’Agence nationale des Eco-Villages au ministère de l’Environnement et du Développement durable: Mamadou BARRY Directeur Général de l’Institut national de Pédologie (INP): Mamadou Amadou SOW précédemment Directeur Général de l’Agence nationale de Conseil agricole et rural (ANCAR) Inspecteur des Affaires administratives et financières au Ministère du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les Institutions: Saliou Rama KA Trésorier général, agent comptable central de la Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor: Adama Racine SOW Chef du Bureau économique près l’Ambassade du Sénégal en Belgique: Ahmadou Tidiane WONE précédemment Conseiller technique au Cabinet du Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur Adjoint au Gouverneur de la région de Saint Louis, chargé des affaires administratives: Babacar BA précédemment Adjoint au Gouverneur de la région de Saint Louis, chargé du développement Directeur du Développement rural (DRDR) de Saint-Louis au Ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural: Baboy dit Sada LY Directeur de l’Etablissement public de Santé hospitalier Roi Baudouin de Guédiawaye: Ramata Danfakha BA Directeur de l’Action médicosociale au Ministère de la Santé et de l’Action sociale: Abdoulaye Fofana DIA Directeur de l’Elevage au Ministère de l’Elevage et des Productions animales: Dame SOW Directeur de l’Appui à l’Investissement et aux Projets à la Direction générale des Sénégalais de l’Extérieur: Bakasso GASSAMA Directeur de l’Ecole nationale des Travailleurs sociaux spécialisés (ENTSS): Abdoulaye THIAM Directeur général de l’Agence d’Aménagement et de Promotion des Sites industriels (Aprosi): Monsieur Momath Bâ Directeur de l’Agence de Régulation des Marchés: Monsieur Amadou Abdoul SY Directeur général l’Office du Lac de Guiers: Monsieur Amadou BOCOUM Directeur du Centre de Documentation scientifique et technique: Mouhamadou Moustapha SOW Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère de la Jeunesse, de l’Emploi et de la promotion des Valeurs civiques: Mamadou DIENG mais (Ex Saliou SOW) Directeur de l’Institut national et d’Action pour le Développement de l’Education (INEADE) au Ministère de l’Education nationale: Mame Ibra BA Directeur général de la poste: Ciré DIA proche parent parent de Arona Diafinancier de macky SALL Directeur du Traitement automatique de l’Information: Koura KANE Directeur de la Coopération économique et financière (DCEF) : Mamadou Moustapha BA aussi Directeur de cabinet du Premier ministre Directeur APIX Agence pour la promotion des investissements: Mountaga SY Directeur des Affaires générales à la Direction générale de l’Administration territoriale du Ministère de l’Intérieur: Amadou DEME (Conseil des ministres du 12 juillet 2012) Directeur de l’Automatisation des Fichiers: Ibrahima DIALLO Directeur des Constructions scolaires: Abdoul Aziz AW (Conseil des ministres Juillet 2012) Directeur général Agence nationale de l’Aménagement du Territoire (ANAT): Mamadou DJIGO Directeur Agence de Développement municipal ADM: Cheikh Issa Sallremplace Mouhamadou Kabir Sow, admis à faire valoir ses droits à la retraite Direction des Etablissements de Santé: Saliou DIALLO Directeur Général de l’Agence des Travaux et de gestion des Routes (AGEROUTE Sénégal): Monsieur Oumar SY (DECEMBRE 2012) Directeur de l’Institut Islamique de Dakar, Monsieur Thierno KA (accusé de népotisme) Directeur de la Lutte contre la Maladie: Idrissa TALLA Directeur des Laboratoires: Ahmad lyane SOW Directeur Général de la LONASE : Amadou Samba Kane Directeur du Grand Théâtre National : Keyssi BOUSSO (Ecole de Danse) Directeur du Bureau sénégalais du Droit d’Auteur (BSDA): Mohamed Mounirou SY Directeur Général de l’ARTP Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP) : Abdou Karim SALL Directeur de l’administration pénitentiaire : Cheikh Amadou Tidiane Diallo Directeur de la SDE Sénégalaise des Eaux: Abdoul Ball Directeur d’exploitation SDE Sénégalaise des Eaux : DIERY BA Directeur Achat SDE Sénégalaise des Eaux : Momar Ba Directeur de l’Action médicosociale: Seydi Ba GASSAMA directeur général des Impôts et des domaines: Cheikh Ahmed Tidiane Ba secrétaire général de la Haute autorité chargée de la coordination de la sécurité maritime, de la sûreté maritime et de la protection de l’environnement marin (Hassmar): Contre-amiral, l’équivalence du Général de brigade dans l’armée de terre Aliou Moussa SOW (ex Capitaine de Vaisseau) Président du Conseil de Surveillance de l’Agence des Travaux et de gestion des Routes (AGEROUTE Sénégal): Monsieur Souleymane LY Président du Conseil d’Administration du Fonds spécial de soutien au secteur de l’Énergie du Sénégal: Modienne GUISSE (OCT. 2012 il a remplace abdoulaye Racine Kane) président du Conseil d’administration (Pca) de l’Ipres Institut de prévoyance retraite (Ipres) : Mamadou Racine SY Délégué général à la Réforme de l’Etat et à l’Assistance technique: Monsieur Abdoul Aziz TALL Président du Conseil d’Administration de la Société sénégalaise de Presse et de Publication (SSPP) du journal « Le Soleil »: Mamadou Amadou Tamimou WANE Administrateur et président du Conseil d’Administration de la Société nationale du Port autonome de Dakar (SN-PAD): Amadou KA Administrateur général du Fonds de Garantie des Investissements prioritaires: Monsieur Doudou KA Président du Conseil d’administration de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP): Abou Abel THIAM Secrétaire général au Ministère de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat: Cheikh Sadibou DIA Directeur de Cabinet MINISTERE DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, DE L’APPRENTISSAGE ET DE L’ARTISANAT: Khalilou Sow Administrateur des Chambres africaines extraordinaires pour juger Hissene Habre : Ciré Aly BA Secrétaire général du Ministère de l’Education nationale: Baba Ousseynou LY Payeur général du Trésor: Adam Racine SOW Recteur de l’Université du Sine-Saloum de Kaolack: Monsieur Amadou Tidiane GUIRO, Recteur de l’Université de Thiès: Baydallaye KANE Secrétaire général de l’Université de Thiès, poste vacant : Abdoul Wahab KA Préfet du Département de Gossas: Monsieur Elimane BA ancien Adjoint au Gouverneur de la Région de Louga, chargé des affaires administratives Préfet du département de Birkelane, région de Kaffrine: Amadou GUISSEancien Adjoint au Gouverneur de la Région de Thiès Préfet du Département de Ziguinchor: Monsieur Saïd DIA Secrétaire général du Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement: Thierno Hamet Baba LY ex Préfet du Département de Kaffrine Préfet du département de Kédougou, région de Kédougou: Papa Demba DIALLO ex Préfet du Département de Ranérou Adjoint au Gouverneur de la région de Ziguinchor, chargé du Développement: Monsieur Abou SOW Préfet du département de Koungheul, région de Kaffrine : Madiop KA… La liste est longue et loin d’être exhaustive. Quatre vingt-dix pour cent (90%) des personnes citées ici sont nommées en 2015. Tous les sénégalais doivent être sur leur garde contre ce stratagème MACKYAVELIQUE. Ce plan pour faire affronter les citoyens sénégalais (les ethnies) contre eux-mêmes ne peut être déjoué qu’en embrassant pleinement la croyance à la fraternité et à l’union des coeurs préconisées par Mame Abdou Aziz Dabakh. Il serait bien MACKY de savoir que tes moyens utilisés pour faire Peur ou Taire ne sont pas une solution aux problèmes des sénégalais, ils sont juste un moyen de propagation de la haine et que les nominations ethniques ne feront de toi qu’un politicien de bas étage. 

N’diawar DiopAdministrateur Sunuker.com et Sunuker Fm: La premiere radio africaine de Los AngelesE-mail: ndiawardiop15@hotmail.com


mercredi 23 septembre 2015

Radio Sunuker présente Emission « Xew Xewi Rewmi » avec Ahmadou Diop du 22 Septembre 2015: A quoi joue donc Macky Sall, l’envoyé Spécial, colonial au Burkina Faso ?



Macky Sall, qui a bien mouillé le maillot depuis belle lurette, est envoyé aux charbons pour arrondir les angles et cintrer les coins, à la seule fin d’entériner par la roublardise, les putschistes invétérés, tenus en laisse par le suspect n°1, en l’occurrence, Blaise Compaoré, le fugitif en Côte d’Ivoire, le commanditaire désigné de l’ assassinat de Thomas Sankara et Cie.
Rien n’y fait. Les coups de canon des putschistes sont nuls et non avenus !
Macky Sall, l’envoyé Spécial colonial au Burkina Faso, est disponible à tout instant et à merci, requisitionné pour les besoins du service, sous le fallacieux prétexte de médiateur, vole au secours des putschistes. 
Tout d’abord, disons les choses telles qu’elles sont ! Macky Sall, qui a l’outrecuidance de rencontrer le général Diendéré, le putschiste, a commis une lourde faute politique, diplomatiquement inaccceptable. Le fait qu’il ait rendu visite à un tel homme, signifie le reconnaître, dans les faits. C’est une illégalité totalment patente. 
Une ignominie impardonnable qu’on ne saurait passer sous silence. L’inopportunité et la précipitation de Macky Sall relèvent de son manque de maturité politique. L’Afrique et les républiques du far west plombent l’émergence du continent en régression, mais renforcent habilement l’impérialisme. Le modèle des contre- valeurs ne peut être un consensus supra national. 
L’afrique soumise, étrange et à la renverse, marche sur la tête. L’exceptionnalité africaine de la désunion généralisée à l’échelle continentale explique le sous-développement, la dépendance et la servitude crescendo, corrodante. La respectabilité de l’afrique dépend de ses élites à la hauteur. 
Malheureusement, ces prétendues élites se réduisent dans leur rôle de relais nègres de service, vulgaires de basse facture montrent leur incapacité notoire à la face du monde. Ce continent est la tanière « des Say-Say » labellisés de la démesure incomparable, à contrario, les sentinelles, hélas, qui défendent orbi et urbi pour sa cause légitime, en auront toujours pour leur grade. 
La proposition de la médiation visant amnistier les putschistes, participe, dans les faits, à protèger des voyous déclarés. Le rejet du plan de la CEDEAO s’impose par l’arrestation sans conditions de Diendéré, l’homme de Blaise Compaoré. Tout le reste n’est que mystification et indgnité. 
Pas de dialogue d’aucune sorte, ni de près, ni de loin avec des putschistes, déclarés, non avenus ! Curieusement, on refuse de discuter avec Laurent GBAGBO, qu’on a déporté à La Haye, à contrario, on tente à maintenir au pouvoir des terroristes, incontestables au nez et au vu de la Communauté « dite Internationale », appremment aveugle et sourde.
Le voyage de Macky Sall au Burkina Faso est le symbole maléfique, apocalyptique, inculte de la tartufferie renversante, n’a aucun sens. Où sont donc les organisations internationales des Droits de l’homme, en particulier, le Conseil de Sécurité, estampillé de la démocratie qui fut très actif sur la question ivoirienne ? 
La platitude politique du double discours masque ses contradictions théâtrales, affreuses des institutions africaines, clouées, ne sont que les wagons serviles pour bouster, en réalité, la croissance de l’hégémonie capitaliste mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie. 
Soyons plus conséquents et moins hypocrites sur la question de l’ingérence directe ou indirecte de l’extérieur colonialiste dans les affaires intérieures africaines ! Peut-on blanchir à la fois et dénoncer des putschistes aux longues dents qui ne disposent guère d’aucune parcelle de panafricanisme visible, encore moins de probilité intellectuelle ou politique ? 
Que valent donc les condamnations stériles, platoniques, alambiquées, venant de la part d’une certaine chapelle européenne, politique, qui se donne une prétendue bonne conscience douteuse ?
Mais pire encore et aussi extraordinaire que cela puisse paraître, l’organisation mondialiste, présagée de la démocratie, silencieuse sur le Burkina Faso, reste amorphe par son inertie très remarquée, semble agir à double standard, selon les pulsions et les orientations colonialistes, non assumés, inavoués, comme en arrière-plan. Deux poids et deux mesures qui sont totalement antinomiques, en fonction des postions bassement politiques des médiocres nègres de naissance, tous encordés, encensés contre les vrais héros africains, présumés coupables devant l’éternel. 
On ne peut pas négocier avec des fauteurs de troubles qui essayent d’asseoir leur pouvoir par des coups de canon. Nous condamnons solenellement et le voyage inutile de Macky sall et le coup d’état, jusqu’à la dernière energie. Ce voyage est contre-productif, d’autant plus que la CEDEAO s’oppose à cette dictature.
«Deum reyla-dila dialé ». On renverse le gouvernement légal, en l’affaiblessant par des manières douteuses. La démocratie est bien laminée au pays des hommes intégres. Dialoguer avec des dictateurs, c’est blanchir le banditisme et perpétuer, ainsi, l’impunité et la démocratie par des coups de canon. 
La rencontre avec les putschistes obeit à des critères d’abdication, face aux militaires qui agissent sans foi ni loi pour sévir. 
A fin de consolider l’axe du mal ou l’esquille de la françafrique, Macky Sall, le Satan inimitable, qui est bien sur les plis « Takhrip », dans son rôle d’habit et chef de service, en tant que pivot de la nouvelle race des pires nègres valets du continent noir, sur le « ndigël » de ses maîtres blancs, qu’on a désigné d’avance, comme étant le premier pantin, plus connu sous le nom « d’affairiste Pétain Noir », faisant office de gouverneur de la France, en moins de 72 heures, s’est rendu le 18 septembre 2015, au Burkina Faso, pour la énième fois, sous tutelle, colonialiste, après le coup de force du Général Diendéré, le bras droit de Blaise Compaoré. 
Un tel voyage de la géostratègie politique s’inscrit donc parfaitement dans le service apès-vente, exigé par ses supérieurs outre atlantique, pour consommer définitivement ce qu’il est convenu d’appeler avec euphémisme, l’expansionnisme de la puissance coloniale, bien présente sur le même terrain du crime..
Macky Sall, le nègre de service occupe la scène médiatique, nationale, internationale pour se donner une stature fictifve, sur fond de prestige, n’a pas sa raison d’être. 
Le dictateur ethniciste dans son corps et dans son esprit, tout comme son ami, Blaise à qui il ressemble comme deux gouttes d’eau par ses pratiques médiocrement despotiques, l’homme s’érige toujours en médiateur soi-disant. On est abasourdis, scandalisés, outrés et choqués de lire de telles menteries, qui nous donnent la mesure d’un escroc, non repenti jusqu’à la moelle. 
Le pantin qui est égal à lui-même, ne change pas, ne changera jamaia et ne risque pas de l’être. Des sorties sufficantes de la charogne n’engagent que son auteur-mentir dans l’ame jusqu’à l’abîme. 
Un tel hâbleur nous a déjà inondés avec ses âneries purulentes. Nous rappelons que le même fourbe en 2013, dans son périple africain, faisait preuve de solidarité de classe à l’égard du tyran, honni, déchu, aujourd’hui, qu’il grafiait complaisamment, pour avoir joué, prétendument son rôle de médiateur sur l’imbroglio ivoirio-ivorien. Mon noeil ! Rebelote, chassez le naturel, il revient toujours au galop !
La démonstration de force de la lâcheté joue sur le piano colonialiste. Si l’Afrique n’avance pas, c’est qu’elle porte dans son ventre des traitres invétérés, gratifiés de la référence médiocre.
C’est encore un coup fourré de la françafrique invisible, l’éternelle esquille mafiafrique, impose sa propre loi, après 55 ans des indépendances uniquement formelles. C’est une conspiration internationale soigneusement gardée dans le secret des dieux et au nom du bipolarisme mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie. La démocratie des coups de canon dans le ciel obscurci africain, soumis à jamais, freine absolument l’émergence du continent.
Par Ahmadou Diop CPC