CPC, qui est le
porte étendard, porte drapeau et
porte-parole des sans voix, se met en porte à faux contre l la réforme
funeste du despote Macky Sall, veut trancher,
se substituer en lieu et place du
peuple sénégalais, souverain,
indépendant et libre.
Pour la CPC, la
ruse d’un tel plan diabolique de ne peut assouvir de promotion d’un mythomane, opportuniste,
arriviste, jusqu’à l’abysse s’autorise tout et n’importe quoi, pour
blanchir de façon indécente les échappées torrides d’un diable.
D’une part,
lorsque Macky Sall propose la réforme
des institutions, en même
temps, réduit au silence tous ses
opposants, se dédire irréversiblement de son mandat présidentiel, interdit toute manifestation pacifique, en oubliant tout le peuple,
et garder sa caquette de secrétaire général de son parti politique. Cela
partcipe à un mensonge grotesque, d’autre part, selon l’article 27
de la constitution, la réduction
du mandat ne peut être modifiée
que par voie référendaire.
Une seule question essentielle, unique doit être posée : oui ou non pour la
réduction du mandat présidentiel de 7 à
5 ans.
La Conscience Patriotique pour le Changement au Sénégal-
-«XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW», est à la fois l’ossature, la colonne
vertébrale et la tète de pont des patriotes, chargée de la légitime défense
démocratique, se veut un véritable contre-pouvoir libre indépendant, souverain,
pour la restauration d’un état de droit.
Dans ces conditions, la Conscience patriotique
pour le changement au Sénégal, XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW
s’insurge, rejette, condamne énergiquement
sans appel et s’érige contre la réforme des institutions,
diligentée sur commande par le président
de la république, qui est en réalité,
juge et partie.
En lieu et place d’une
véritable rupture dans l’action, plus qu’un village entier digne d’un
capharnaüm, constitué exclusivement d’un corporatisme ethnocentrique,
s’approprie de tout l’appareil d’état avec des postes de haute pointure,
taillés sur mesure, sans compter le même clan de soi-disant dg au service
public, portent mécaniquement les mêmes substantifs particuliers. En
définitive, sous l’ère Macky, tout est
permis.
Le référendum en mai
2016 est une chose, mais la prétendue réforme des institutions figurées,
c’en est une autre. Il n y a point de lien entre les deux termes. Car tous les deux
sont totalement dissemblables. Que Macky
Sall se le tienne pour dit ! Ce qui se
conçoit bien s'énonce clairement, sans lague de bois.
Il n’incombe nullement au président de l’Assemblée nationale d’obéir au premier magistrat de la république
sur la question vitale. Encore moins,
l’avis des cinq Sages du Conseil constitutionnel sur le projet de référendum
n’a qu’un caractère consultatif. Rien
n’est donc supérieur au calendrier
républicain, référendaire, qui
doit se tenir à date échue,
le 29 mai 2016. Une seule et unique question demeure : oui ou non pour la réduction
du mandat présidentiel de Macky Sall , qui
passe de 7 à 5 ans. Outrepasser cette
question indivisible, en y incluant d’autres interrogations supplémentaires, constitue à un manquement
ou viol contre l’esprit de la
constitution.
Cette censure contre l’avis du peuple qui
n’en est pas une n’est plus acceptable.
Car la souveraineté appartient au
peuple libre, indépdendant qui l’execerce par voie référendaire en toute
légitimité
La gouvernance des parloes dédites est devenue
une religion d’état, sous Macky Sall, s’érige en arnaqueur, endurci, nègre de service.
Cette réduction qui était
donc une promesse de campagne du candidat, doit se matérialiser sur le terrain et dans l’action par un
véritable référendum populaire dans laquelle
la liberté de choix des citoyens libres,
sans bruits, ni encombre, ni fioritures, doit primer.
En vérité, ce régime
fasciste, fainéant, fantaisiste, fantoche, qui interdit à tout vent,
toute manifestation pacifique,
embastille ses adversaires politiques,
tue la liberté, réduit toute voix
discordante des opinions, qui est le premier droit inaliénable des citoyens, ne peut être crédible.
Or, dans une
véritable démocratie,
transparente, efficiente, celui qui s’autproclame le parangon de la rupture
tangible et à l’épreuve des faits, doit mettre en exécution sa parole donnée, de
façon que le référendum programmé, puisse se tenir à date échue. Conditionner la consultation
ou y ajouter des questions annexes, constitue immanquablement à des mensonges d’état.
Les dessous de la
prétendue réforme des institutions qui cachent des rapines politiques, ne visent qu’à
blanchir et présenter Macky Sall sous de faux postulat sur la scène
mondiale, présumée faiseur de rois, avec comme en
arrière-plan, un prestige fabriqué de toute pièce.
Contrairement aux idées reçues,
il n’y a pas que l’intégrisme
religieux, tant s’en faut, mais il y a
aussi son corollaire, qui est aussi dangereux, à savoir l’intégrisme
terroriste, politico-ethnique,
étatique, médiatique, savamment élaboré, et échappe à toute règle, en sens qu’il
est légalisé, démocratisé par sa
violence qu’elle exerce sur les citoyens.
la violence
psychologique et physique exercée par
les ustensiles de Macky
Sall contre toute opinion libre ou sur
toute opposition réelle ou
supposée, qu’il tient à réduire au silence, dans la perspective
d’arracher la victoire et pour
tuer en elle toute velléité de contradiction politique.
Manigances,
hableries, filouteries, manipulations à dessein de tromper et gruger les sénégalais par des échappées suffocantes, ne passeront pas. Encore moins,
la pilule ne passera pas.
Donc tous
debout pour déjouer un référendum taillé sur mesure pour un éternel faussaire
de naissance et dans l’âme jusqu’à l’abîme, représenté en la personne de Macky
Sall, qui prépare habilement une masacarde
référendaire fourre- tout- un foutoir —
dont le but inavoué consiste
à légaliser par la l’artifice ce qu’il
est convenu d’appeler avec
euphémisme un banditisme étatique.
Le référendum
n’a rien à voir avec les réformes
institutionnelles présumées, qui ne sont qu’une vaste escroquerie, tendant à
créer les conditions d’un hold-up électoral.
Macky sall, qui
est devenu le maître de l’esclandre des
scandales, prépare en toute logique, les esprits qu’il tient à phagocyter par la ruse, alors qu’une une seule question demeure oui ou non pour la réduction du mandat présidentiel
de 7 à 5 ans.
Le Sénégal a élu par son étourderie manifeste, massive,
généralisée et l’échelle nationale, collective, une sangsue, vampirisée,
qui s’est bien nourrie sur l’épaule de la république, vit
aux crochets de l’argent du contribuable sénégalais, astiqué, comme il en existe chez les élites africaines de pacotille, plus riches que Crésus par les raccourcis politiques. Lesquelles ne
disposent aucunement de la moindre once de moralité.
Le
référendum, reste la priorité absolue, qui est au-dessus
des interêts partisans, divise et
crée la cacophonie au niveau
de majorité de la classe politicarde désertique, s’accorde
bassement à la trajectoire du fasciste Macky sall, le presseux, fourbe et
chef clanique de la république des fripouilles de la racaille des menteurs
professionnels, incultes, mercenaires et
alimentaires.