mardi 26 janvier 2016

Chronique : Projet diabolique de la réforme des institutions bancales : CPC le déclare solennellement nul et non avenu ! Par Ahmadou Diop


CPC, qui est  le  porte étendard, porte drapeau  et porte-parole des sans voix,  se met  en porte à faux contre l la réforme funeste  du despote Macky Sall, veut  trancher,  se substituer  en lieu et place du peuple sénégalais,  souverain, indépendant et libre.

Pour la CPC, la ruse  d’un tel plan diabolique  de ne peut assouvir  de promotion d’un mythomane, opportuniste, arriviste,  jusqu’à l’abysse  s’autorise tout et n’importe quoi, pour blanchir  de façon  indécente les échappées torrides  d’un diable.
D’une part, lorsque  Macky Sall propose  la réforme  des  institutions,  en même  temps,  réduit au silence tous ses opposants,  se dédire  irréversiblement  de son mandat  présidentiel,   interdit toute manifestation  pacifique, en oubliant tout le peuple, et  garder sa caquette de  secrétaire général de son parti politique. Cela partcipe à un mensonge grotesque, d’autre part, selon l’article  27   de  la constitution,  la réduction  du mandat  ne peut  être modifiée  que par voie référendaire.  Une  seule question   essentielle, unique  doit être posée : oui ou non pour la réduction du mandat  présidentiel de 7 à 5 ans.
 La Conscience Patriotique pour le Changement au Sénégal- -«XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW», est à la fois l’ossature, la colonne vertébrale et la tète de pont des patriotes, chargée de la légitime défense démocratique, se veut un véritable contre-pouvoir libre indépendant, souverain, pour la restauration d’un état de droit.
 Dans ces conditions, la Conscience patriotique pour le changement au Sénégal, XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW s’insurge, rejette, condamne énergiquement  sans   appel et  s’érige contre la réforme des institutions, diligentée sur commande par le  président de la république, qui est en réalité,  juge et partie.
En lieu et place d’une  véritable rupture dans l’action, plus qu’un village entier digne d’un capharnaüm, constitué exclusivement d’un corporatisme ethnocentrique, s’approprie de tout l’appareil d’état avec des postes de haute pointure, taillés sur mesure, sans compter le même clan de soi-disant dg au service public, portent mécaniquement les mêmes substantifs particuliers. En définitive,  sous l’ère Macky, tout est permis.
Le référendum  en mai  2016  est une chose, mais la  prétendue réforme  des institutions  figurées,  c’en est une autre. Il n y a point  de lien entre les deux termes. Car tous les deux sont totalement dissemblables.  Que Macky Sall se le tienne pour dit ! Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement, sans lague de bois.
 Il n’incombe nullement  au président de  l’Assemblée nationale  d’obéir au premier magistrat de la république sur la question vitale.  Encore moins, l’avis des cinq Sages du Conseil constitutionnel sur le projet de référendum n’a qu’un caractère  consultatif. Rien n’est donc supérieur au calendrier  républicain, référendaire, qui  doit se tenir à  date échue, le  29 mai 2016.  Une seule et unique question  demeure : oui ou non pour la réduction du mandat présidentiel de  Macky Sall , qui passe de 7 à 5 ans. Outrepasser  cette question indivisible, en y incluant  d’autres interrogations supplémentaires,  constitue  à  un manquement ou viol contre  l’esprit de la constitution.
Cette censure contre l’avis du peuple  qui  n’en est pas une n’est plus acceptable.  Car la souveraineté appartient  au peuple  libre, indépdendant  qui l’execerce par voie référendaire en toute légitimité
La gouvernance des parloes dédites  est devenue  une religion  d’état, sous  Macky Sall,  s’érige en arnaqueur, endurci,  nègre de service.
Cette réduction qui  était donc  une promesse de campagne du  candidat, doit se matérialiser  sur le terrain  et dans l’action  par  un véritable référendum  populaire  dans  laquelle  la liberté de choix des citoyens libres, sans bruits, ni encombre, ni fioritures, doit primer.
 En vérité, ce régime fasciste, fainéant, fantaisiste, fantoche, qui interdit  à tout vent,  toute manifestation pacifique,  embastille ses adversaires politiques,  tue la liberté,  réduit toute voix discordante des opinions,  qui est le  premier  droit inaliénable  des citoyens,  ne peut être crédible.
Or, dans une  véritable  démocratie, transparente, efficiente, celui qui s’autproclame le parangon de la rupture tangible et  à l’épreuve des faits,  doit mettre en exécution sa parole donnée, de façon que le référendum programmé,  puisse se tenir à date échue. Conditionner la consultation ou y  ajouter  des questions annexes, constitue  immanquablement à des mensonges d’état.
Les dessous de la prétendue réforme des institutions  qui  cachent des rapines politiques,  ne visent qu’à  blanchir et  présenter Macky Sall  sous de faux postulat sur la scène mondiale,  présumée faiseur de rois,  avec comme  en  arrière-plan, un prestige fabriqué de toute pièce. 
Contrairement  aux idées  reçues,  il n’y a pas que  l’intégrisme religieux, tant s’en faut,  mais il y a aussi son corollaire, qui est aussi  dangereux, à savoir l’intégrisme terroriste,  politico-ethnique, étatique,  médiatique,  savamment élaboré,  et échappe à toute règle, en sens qu’il est  légalisé, démocratisé par sa violence  qu’elle exerce  sur les citoyens.
la violence psychologique et physique exercée par  les  ustensiles  de Macky  Sall   contre  toute   opinion libre  ou sur  toute opposition  réelle ou supposée,  qu’il tient à réduire  au silence, dans la perspective d’arracher  la victoire  et pour  tuer  en elle  toute velléité  de contradiction  politique.
Manigances, hableries, filouteries, manipulations à dessein  de  tromper et gruger les sénégalais par des  échappées suffocantes,   ne passeront pas.  Encore moins,  la pilule ne passera pas.

 Donc  tous debout pour déjouer un référendum taillé sur mesure pour un éternel faussaire de naissance et dans l’âme jusqu’à l’abîme, représenté  en la personne  de  Macky Sall, qui  prépare habilement  une masacarde  référendaire fourre- tout- un foutoir — dont le but inavoué  consiste  à   légaliser par la l’artifice  ce qu’il  est convenu d’appeler  avec euphémisme  un banditisme étatique.

Le référendum n’a rien à voir  avec les réformes institutionnelles présumées, qui ne sont qu’une vaste escroquerie, tendant à créer les conditions d’un hold-up électoral.

Macky sall, qui est devenu  le maître de l’esclandre des scandales,  prépare en toute logique,  les esprits qu’il tient à phagocyter  par la ruse, alors qu’une  une seule question demeure oui ou  non pour la réduction du mandat présidentiel de 7 à 5 ans.


Le Sénégal a élu  par son étourderie manifeste, massive, généralisée et l’échelle nationale, collective, une sangsue, vampirisée, qui  s’est  bien nourrie sur l’épaule de la république, vit aux crochets de l’argent du contribuable sénégalais,  astiqué, comme il en existe  chez les élites africaines de pacotille, plus  riches que Crésus par  les raccourcis politiques. Lesquelles   ne disposent  aucunement de  la moindre once de moralité.
 Le  référendum, reste  la  priorité absolue, qui  est au-dessus  des interêts partisans,  divise et crée  la cacophonie   au niveau  de majorité de  la  classe politicarde désertique,  s’accorde  bassement  à  la trajectoire  du fasciste Macky sall, le presseux, fourbe et chef clanique de la république des fripouilles de la racaille des menteurs professionnels, incultes,  mercenaires et alimentaires.

jeudi 21 janvier 2016

Radio Sunuker présente Emission « Xew Xewi Rewmi » avec Ahmadou Diop du 19 Janvier 2016: Macky Sall est-il un homme d’honneur ?


En réalité, nous avons affaire  à un caractériel qui  s’est  transformé en  caméléon   n’est pas prêt de changer.
Il promet plus qu’il n’en fait en réalité. C’est une girouette  qui n’entend pas raison, agit selon ses pulsions pithiatiques inguérissables.  Celui  qui  dénonçait hier, lorsqu’il  en mauvaise posture, le récuse aujourd’hui, comme si  rien n’était. L’hommme n’inspire  pas confiance et les sénégalais qui sont tombés des nues, s’inquiétent et ne savent plus  à quel saint se vouer.
Pire encore, ses conseillers convertis en «dougourous», taillables à merci par sa  presse interposée de servitude talibanisée,  se chargent bassement  de  blanchir les mensonges cousus de fil blanc. Une exceptionnalité d’un pays étrange et à la renverse qui s’accroupit et fait allégeance par force face à un fourbe.
La réalité dépasse l’entendement rationnel.  Un conte de fée. « Sunu Rewmilé »   n’est jamais aussi bas que sous Macky Sall- « Charlie, l’affairiste Pétain Noir », l’Envoyé Spécial Colonial,  en chair et en os, le symbole maléfique de la pégre mafieuse.  Un comble du vandalisme !   Si nous en sommes là, c’est parce qu’il y  a  dans ce pays plus de traitres que de patriotes.  On  ne récolte ce que l’on sème.  Macky Sall au pouvoir, le Sénégal trinque et paye le prix fort.  Les gros bras qui parainent la marionnette, ne font pas du bruit, mais agissent   dans l’ombre et sur le terrain du crime.  Si l’Afrique n’avance pas, c’est parce qu’il y a des traitres  unifiés dans son ventre, préférent se servir et asservir leurs semblables sur l’autel de la rengaine.

Macky Sall  est  l’humidifié - « Taxrip»--jusqu’au cou. Peut-il se donner une  once virgnité ? Gouverner, c’est prévoir, c’est aussi faire preuve  de  transprence, d’éthique et l’équité par des preuves matérielles sur le terrain.  Les étalages des troubles à l’ordre public  et  les  déballages massifs à couper le souffle nous édifient largement  sur la nature de la république des fripouilles, constitutionnalistes, alimentaires, mercenaires,  incultes et des menteurs professionnels, cartelisés. Les voleurs ne dispuent qu’au moment du partage du butin. C’est maintenant chose faite.   Cet homme  n’a été élu que grâce  à l’esclandre de ses milliards qu’il a  volés..

Macky déclarait dans le magazine américain Foreign affairs : «   qu’il a bénéficié des privilèges relatifs à sa postion d’ancien premier ministre.  L’homme  apparaît n’avoir  jamais  de devoirs, mais exclusivement des droits. Une curiosité.  Voilà  donc  à quoi ça  sert d’élire un pickpocket. !
Tant que l’issue des scrutins de pacotille se jouera dans la cour des  présidentialistes, multimilliardaires  des postes de nomination  TAN SA BULA  NEX - des notables imaginaires,  croire à un   Sénégal  émergent participe à une grosse arnaque. C’est une simple vue de l’esprit.

Un visionnaire  est  un   dirigeant, méritoire,  responsable,  intuitif, charismatique,   gratifié par des qualités intellectuelles, remarquables, dont l’activité repose essentiellement  sur l’intelligence, l'honnêteté, l’éthique et l’équité, qui  a  des capacités de réflexions  prodigieuses de haut niveau sur la sphère publique, et  qui  propose  des solutions appropriées,  pérennes,    défendre des valeurs par rapport à son intime conviction.
Macky Sall, le pâteux   méprise  de façon indécente   les citoyens  auxquels   il est redevable. Curieusement, le réfractaire à la démocratie,  tient mordicus, est flegmatique aux critiques  justes des sénégalais  qui le rapppellent à l’ordre.  Et pour cause.  Un tel pitre de son espèce   n’a la moindre étoffe pour diriger le Sénégal.  Un président de la  république, qui  ne respecte pas sa parole,  ne mérite  aucun égard.

Un président de la  république oublieux, qui  dérape à tout vent, écrabouille, abuse  lâchement et dangereusement  de  la force  publique  n’est pas digne de son rang..
 Il convient  de  lui  dire  qu’il ment,  car il  n’est pas   au-dessus des lois,  ni un  prophète  encore moins un dieu.  Un président  est tenu de respecter ses obligations. C’est un devoir moral.   Celui qui préside aux destnées  de tout unpays,  doit avoir de  la retenue,  le  sens de l’honneur et leprouver matériellement et dans l’action tangible, le dévouement,  être serviable,  l’ouvert d’esprit, la lucidité,  l’humlité, la  tolérance,  le respect  de sa  parole donnée, la sagesse, la courtoisie et  la rigueur, l’intelligence  par le poids des mots.  Le  président de la république  est un titre  et non une fin en soi. Un tel personnage doit  savoir  raison garder et prêcher la bonne parole, laquelle inspire la confiance au  peuple. Tout prétendu dirigeant qui n’accepte pas ses régles élémentaires,   n’est pas méritant de sa posture.

Le premier magistrat de la république  ne peut ignorer que gouverner,  n’est  pas synonyme d’un chèque en blanc. Il doit fournir  le meilleur de lui-même.  L’éthique  et  l’équité  sont ses  meilleurs alliés qui garantissent  sa crédibilité.  Un président de la république a des devoirs et des droits.   Rendre compte de son bilan positi ou négatif n’est  pas  un cadeau offert au peuple, mais une prescription régalienne, pour tout  chef d’état responsable.  C’est un droit inaliénable, une exigence, voire même un sacerdoce.  Les  citoyens qui l’ont élu, doivent savoir. Esquisser ses questions fondamentales ou se prendre pour un boxeur et cogner pour sévir, en bandant les muscles,

L’arrogance euphorique d’un Etat apr : un géant virtuel de circonstance aux pieds d’argile.
L’Etat -APR  n’est guère représentatif dans l’échiquier politique sénégalais, son poids n’est que virtuel en termes d’adhérents. Toutes les  gesticulations stériles de Macky Sall  ne visent qu’à massifier  un parti chroniquement déficitaire qui est cet éméché, cliniquement clanique,  n’a  que des invectives,  mais dispose réellement pas d’assises  politiques. 

L’exceptionnalité sénégalaise a crée un président de circonstance.
Le féticheur  n’est pas bien préparé  pour  le poste de la république, car l’homme  manque  cruellement de vision. C’est un parti de famille pire que le pds qu’il a succédé par la ruse et sur la base  d’une surmédiatisation obscure des lobbies tapis dans l’ombre. Pour la première fois dans l’histoire de la république, l’opposition est politiquement plus forte que l’apr au pouvoir. L’opposition doit mener la danse plutôt d’être la remorque de service et des sinécures.
Comment expliquer  la ruse machiavélique, maçonnique, représentée par l’étrange animal sympathique dans un parti politique ?
Depuis sa défenestration  foudroyante   de  son poste  de  président de l’Assemblée Nationale du Sénégal, de puissants lobbies extérieurs aux motivations politico-financières cachées, ont réhabilité leur homme, en l’élevant au grade de Grand Officier de la légionnaire d’honneur  de la France en 2008, dans les jardins de l’ambassade de la France à Dakar.
Depuis  lors,   l’homme continue de  bénéficier  allégrement  de solides appuis extérieurs, tissait  à petitx  feux doux sa toile, dans le monde fermé, ombrageux de la part des oligarchies internationales financières, estampillées : la franc-maçonnerie de chefs d’état africains au fur et à mesure qu’il gravit des échelons dans les nominations  incommensurables par l’étourderie de celui qu’on surnomme, le « Pape du Sopi », aveuglé et anesthésié par la magie  noire, ne voyait rien venir.  Maintenant, il a bien vu quand c’est trop tard,  pour bien agir et corriger le tir.
Ahmadou Diop CPC

mercredi 20 janvier 2016

Chronique Macky Sall est-il un homme d’honneur ? Par Ahmadou Diop CPC



En réalité, nous avons affaire  à un caractériel qui  s’est  transformé en  caméléon   n’est pas prêt de changer.
Il promet plus qu’il n’en fait en réalité. C’est une girouette  qui n’entend pas raison, agit selon ses pulsions pithiatiques inguérissables.  Celui  qui  dénonçait hier, lorsqu’il  en mauvaise posture, le récuse aujourd’hui, comme si  rien n’était. L’hommme n’inspire  pas confiance et les sénégalais qui sont tombés des nues, s’inquiétent et ne savent plus  à quel saint se vouer.

Pire encore, ses conseillers convertis en «dougourous», taillables à merci par sa  presse interposée de servitude talibanisée,  se chargent bassement  de  blanchir les mensonges cousus de fil blanc. Une exceptionnalité d’un pays étrange et à la renverse qui s’accroupit et fait allégeance par force face à un fourbe.
La réalité dépasse l’entendement rationnel.  Un conte de fée. « Sunu Rewmilé »   n’est jamais aussi bas que sous Macky Sall- « Charlie, l’affairiste Pétain Noir », l’Envoyé Spécial Colonial,  en chair et en os, le symbole maléfique de la pégre mafieuse.  Un comble du vandalisme !   Si nous en sommes là, c’est parce qu’il y  a  dans ce pays plus de traitres que de patriotes.  On  ne récolte ce que l’on sème.  Macky Sall au pouvoir, le Sénégal trinque et paye le prix fort.  Les gros bras qui parainent la marionnette, ne font pas du bruit, mais agissent   dans l’ombre et sur le terrain du crime.  Si l’Afrique n’avance pas, c’est parce qu’il y a des traitres  unifiés dans son ventre, préférent se servir et asservir leurs semblables sur l’autel de la rengaine.
Macky Sall  est  l’humidifié - « Taxrip»--jusqu’au cou. Peut-il se donner une  once virgnité ? Gouverner, c’est prévoir, c’est aussi faire preuve  de  transprence, d’éthique et l’équité par des preuves matérielles sur le terrain.  Les étalages des troubles à l’ordre public  et  les  déballages massifs à couper le souffle nous édifient largement  sur la nature de la république des fripouilles, constitutionnalistes, alimentaires, mercenaires,  incultes et des menteurs professionnels, cartelisés. Les voleurs ne dispuent qu’au moment du partage du butin. C’est maintenant chose faite.   Cet homme  n’a été élu que grâce  à l’esclandre de ses milliards qu’il a  volés..
Macky déclarait dans le magazine américain Foreign affairs : «   qu’il a bénéficié des privilèges relatifs à sa postion d’ancien premier ministre.  L’homme  apparaît n’avoir  jamais  de devoirs, mais exclusivement des droits. Une curiosité.  Voilà  donc  à quoi ça  sert d’élire un pickpocket. !

Tant que l’issue des scrutins de pacotille se jouera dans la cour des  présidentialistes, multimilliardaires  des postes de nomination  TAN SA BULA  NEX - des notables imaginaires,  croire à un   Sénégal  émergent participe à une grosse arnaque. C’est une simple vue de l’esprit.
Un visionnaire  est  un   dirigeant, méritoire,  responsable,  intuitif, charismatique,   gratifié par des qualités intellectuelles, remarquables, dont l’activité repose essentiellement  sur l’intelligence, l'honnêteté, l’éthique et l’équité, qui  a  des capacités de réflexions  prodigieuses de haut niveau sur la sphère publique, et  qui  propose  des solutions appropriées,  pérennes,    défendre des valeurs par rapport à son intime conviction.
Macky Sall, le pâteux   méprise  de façon indécente   les citoyens  auxquels   il est redevable. Curieusement, le réfractaire à la démocratie,  tient mordicus, est flegmatique aux critiques  justes des sénégalais  qui le rapppellent à l’ordre.  Et pour cause.  Un tel pitre de son espèce   n’a la moindre étoffe pour diriger le Sénégal.  Un président de la  république, qui  ne respecte pas sa parole,  ne mérite  aucun égard.

Un président de la  république oublieux, qui  dérape à tout vent, écrabouille, abuse  lâchement et dangereusement  de  la force  publique  n’est pas digne de son rang..
 Il convient  de  lui  dire  qu’il ment,  car il  n’est pas   au-dessus des lois,  ni un  prophète  encore moins un dieu.  Un président  est tenu de respecter ses obligations. C’est un devoir moral.   Celui qui préside aux destnées  de tout unpays,  doit avoir de  la retenue,  le  sens de l’honneur et leprouver matériellement et dans l’action tangible, le dévouement,  être serviable,  l’ouvert d’esprit, la lucidité,  l’humlité, la  tolérance,  le respect  de sa  parole donnée, la sagesse, la courtoisie et  la rigueur, l’intelligence  par le poids des mots.  Le  président de la république  est un titre  et non une fin en soi. Un tel personnage doit  savoir  raison garder et prêcher la bonne parole, laquelle inspire la confiance au  peuple. Tout prétendu dirigeant qui n’accepte pas ses régles élémentaires,   n’est pas méritant de sa posture.
 Le premier magistrat de la république  ne peut ignorer que gouverner,  n’est  pas synonyme d’un chèque en blanc. Il doit fournir  le meilleur de lui-même.  L’éthique  et  l’équité  sont ses  meilleurs alliés qui garantissent  sa crédibilité.  Un président de la république a des devoirs et des droits.   Rendre compte de son bilan positi ou négatif n’est  pas  un cadeau offert au peuple, mais une prescription régalienne, pour tout  chef d’état responsable.  C’est un droit inaliénable, une exigence, voire même un sacerdoce.  Les  citoyens qui l’ont élu, doivent savoir. Esquisser ses questions fondamentales ou se prendre pour un boxeur et cogner pour sévir, en bandant les muscles,
 L’arrogance euphorique d’un Etat apr : un géant virtuel de circonstance aux pieds d’argile.
L’Etat -APR  n’est guère représentatif dans l’échiquier politique sénégalais, son poids n’est que virtuel en termes d’adhérents. Toutes les  gesticulations stériles de Macky Sall  ne visent qu’à massifier  un parti chroniquement déficitaire qui est cet éméché, cliniquement clanique,  n’a  que des invectives,  mais dispose réellement pas d’assises  politiques. 
L’exceptionnalité sénégalaise a crée un président de circonstance.
Le féticheur  n’est pas bien préparé  pour  le poste de la république, car l’homme  manque  cruellement de vision. C’est un parti de famille pire que le pds qu’il a succédé par la ruse et sur la base  d’une surmédiatisation obscure des lobbies tapis dans l’ombre. Pour la première fois dans l’histoire de la république, l’opposition est politiquement plus forte que l’apr au pouvoir. L’opposition doit mener la danse plutôt d’être la remorque de service et des sinécures.
Comment expliquer  la ruse machiavélique, maçonnique, représentée par l’étrange animal sympathique dans un parti politique ?
Depuis sa défenestration  foudroyante   de  son poste  de  président de l’Assemblée Nationale du Sénégal, de puissants lobbies extérieurs aux motivations politico-financières cachées, ont réhabilité leur homme, en l’élevant au grade de Grand Officier de la légionnaire d’honneur  de la France en 2008, dans les jardins de l’ambassade de la France à Dakar.
Depuis  lors,   l’homme continue de  bénéficier  allégrement  de solides appuis extérieurs, tissait  à petitx  feux doux sa toile, dans le monde fermé, ombrageux de la part des oligarchies internationales financières, estampillées : la franc-maçonnerie de chefs d’état africains au fur et à mesure qu’il gravit des échelons dans les nominations  incommensurables par l’étourderie de celui qu’on surnomme, le « Pape du Sopi », aveuglé et anesthésié par la magie  noire, ne voyait rien venir.  Maintenant, il a bien vu quand c’est trop tard,  pour bien agir et corriger le tir.
Ahmadou Diop CPC

mercredi 13 janvier 2016

Radio Sunuker présente Emission « Xew Xewi Rewmi » avec Ahmadou Diop du 12 janvier 2016 : Abdou Diouf, l’élève de Senghor, est-il donc oublieux ?



Macky Sall, le nègre de service  ״blanc״, francophile honore  Abdou Diouf,  qui fut président de la république  du Sénégal  par décret présidentiel,  se définit lui-même comme étant  un français du Sénégal, mais oublie l’homme d’honneur,  le Savant sénégalais,  bon teint,  Cheikh Anta Diop.

Le Centre international de conférence Abdou Diouf de Diamniadio (CICAD) entre en toute logique dans la dynamique  organisée de  la dépendance systématique.
Le Centre international de conférence Abdou Diouf de Diamniadio (CICAD) offre  une particulaité, en ce sens qu’elle récompense en filigrane à faire la promotion de la langue française, qui est  ce  logiciel  d’asservissement,  de domination de service public et  d’enseignement.
Aussi  extraordinaire  que  cela puisse paraître, Senghor [ paix à son âme], après avoir régné 20 ans, sans partage,  viola  délibérément la constitution et déclara à sa propre convenance,  son dauphin, Abdou Diouf,  qui  devint  le président  de la  République  du sénégal, le 01 janvier 1981,  par décret présidentiel.  
Cheikh Anta Diop, fut le premier savant  scientifique,  africain dans le panthéon des savants  des vertus multidimensionnelles   qu’on  ne saurait enterrer sous aucun prix.  De toute  façon,  l’actuelle clique politique pathétique  a d’autres préoccupations  ausssi  indignes que  d’immortaliser  ce panafricain hors du commun.   
Mon frère, Ndiawar Diop se demandait  la semaine si  abdou diouf  n’est pas derrière  l’embastillement de Karim wade, l’opposant le mieux placé contre  Macky  sall.  Toute porte à le croire en toute logique.  Je suis totalement en osmose avec  le patriote  qui  a des réflexes    prodigieux, lorsqu’il s’agit  des sciences politiques.

Abdou Diouf: « Je trouve chez Macky Sall une vision qui me rassure ».  Il  croit  gruger les sénégalais, présagés oublieux et se  substitue  allégrement  à  leurs consciences.  


’Vous savez, un homme d’Etat, c’est une vision, une détermination et une capacité d’action. Et je trouve tous ces éléments chez le président Macky Sall’’
Selon Abdou Diouf, la vision, la détermination et la capacité d’action  chez macky sall,   se  résument à réduire au silence tout  citoyen libre et  tout opposant réel ou supoosé.  En fait,  toute capacité de résistance devient sysèmatiquement  source délit. Abdou Diouf fait l’apologie de la tyrannie. 
Chez Abdou Diouf  la vision, signifie, abuser de la force publiquue et  faire taire toute voix discordante des opinions libres. La vision chez macky Sall, c’est promettre, mentir et mentir à n’en plus finir. 
En définitive, Abdou Diouf  a  une vision  drôle de  la démocratie,  car l’homme  fait  preuve d’une démonstration  magistrale de  ce qu’il  savait faire, lorsqu’il  était sur les manettes.
Voilà un jugement de valeur abracadabrantesque de la part d’un illuminé, déclaré- non- éclairé !
L’érection de ce bâtiment insensé,  porte incontestablement  la marque indélébile  des  velléités hégémoniques de l’expansionnisme triomphaliste.
De 1963,  date historique  du  fameux coup d’état de Senghor  contre  Mamadou Dia,  le Président du Conseil, le serviteur,   jusqu'aujourd'hui,  le Sénégal, agenouillé,  n’est jamais   tombé aussi bas  que   sous l’ère d’un faussaire né,  versus   françafrique  « soft  » .
Général  Tavarez De Souza A  Abdou DiouF : «  il n’a jamais été question de coup d’état ».  Qui croire entre les deux hommes ? Naturellement, nous croyons au  Général contre « doungourou « de Senghor, qui a  bel et bien bénéficié d’un decret  présidentiel, totalitaire de Senghor (paix à son âme).   C’est la même chose chez Macky Sall,  qui a été bien  élevé au grade de  Grand Officier de la légion d’honneur française dans les jardins de  l’ambassade de la France  à Dakar, en 2008, pour moult services rendus à la France. C’est donc  normal   que  le  couple Abdou Diouf - Macky Sall   s’unisse, puisque tous les deux portent les mêmes valeurs ignobles devant l’éternel. Ce qui les unit est supérieur à ce qui les désunit.  Tous les deux sont liés par le même cordon ombilical : tous  les deux jouent sur le piano américano-français. Malheureusement, c’est le sénégal qui y perd.
Abdou Diouf, nourrit du lait de son défunt mentor, Senghor, porte donc nécessairement  la même « ADN » que  celle de son bienfaiteur, Senghor.   Peut-il en être tre autrement ?  Le contrare  serait étrange.  Tout se tient en politique.  Il est inutile de répéter que les liaisons dangrereuses des  hommes  constituent une régression totale pour tout le pays. s
L’histoire d’un peuple vaillant,  debout et fier de l’être,  n’a  de sens que  lorsque’elle se passe là où elle  se passe  au moment  de son histoire, pour imprimer sa marque.  Qu’on le veuille ou non,  historiquement et présentement,  le Sénégal,   malgré son apparaence, est le  laboratoire des traitres majoritaires, tous unifiés,  encordés, telle une toile d’araignée.
.En vérité, l’homme est récompensé pour son actisme et son rôle  déterminant  pour la dynamique     de francophonie,  qui  est  cet outil d’asservissement, d’enseignement  et de service public,  le support médiatique, politique, linguistique et culturel.  
 La constitution  est  le Tallon d’Achille du Sénégal.. La langue officielle  du Sénégal  reste bien le français,  qui est par essence,  un outil de travail, un logiciel  d’enseignement de service publi ;  en réalité, une domination extérieure de propagande  essentielle, constituant le socle fédérateur,  fondamental, pour la promotion  des modes de pensée d’une culture étrangère.  
Cheikh Anta Diop, la référence par excellence  de l’homme  noir, le savant  le plus considérable,  le plus coriace  de toute l’histoire de l’Afrique,  était  en tête de peloton  des intellectuels africains,   qui  dénonçaient Senghor, le chantre de la nègritude  et son  degré d’inféodation  totale à la culture et à la langue française.  A l’époque,  Cheikh Anta Diop décryptait l’attitude scandaleuse  de  Senghor,  comme étant le codificateur du fascisme,  le maître du plagiat historique, en particulier, son fameux poème intitulé : « l’émotion  est nègre et la raison  hellène» (Léopold Sédar Senghor). 
En fait, Senghor tenait vaille que vaille hystériquement  et  à démontrer la dualité rationnelle  de  l’homme blanc par rapport au nègre, paresseux par nature,  et  qui danse constamment.

Cheikh Anta Diop : « Senghor me dénigre  à la télévision »

״ À propos de la question du plagiat, je renvoie à « TAXAW » numéro 3, je ne suis que la énième victime avec Hamani Diori, (détérioration des termes de l’échange) ; le Président Bourguiba (francophonie) ; la Pira (civilisation de l’universel); Camus (politique politicienne) ; Ousmane Socé (métissage culturel) ; Césaire (Négritude) ; André  Blanchet (balkanisation) ; Gaston Deferre ( horizon 80, devenu horizon 2000 ou 2001) ״ 
L’écrivain sénégalais,  Boubacar  Boris Diop, résume bien l’aliénation des élites africaines, en pariculier, sénégalaises : «  vous savez,  le secret de la domination excercée sur nous par l’occident, repose sur la domestication des élites. A ce jeu,  la France est très forte et elle a dans divers domaines de  la connaissance  et de l’art,  des relais africains qui se chargent de justifier  sa domination  sur l’Afrique »

Ahmadou Diop CPC

Chronique : Abdou Diouf, l’élève de Senghor, est-il donc oublieux ?




Macky Sall, le nègre de service  ״blanc״, francophile honore  Abdou Diouf,  qui fut président de la république  du Sénégal  par décret présidentiel,  se définit lui-même comme étant  un français du Sénégal, mais oublie l’homme d’honneur,  le Savant sénégalais,  bon teint,  Cheikh Anta Diop.

Le Centre international de conférence Abdou Diouf de Diamniadio (CICAD) entre en toute logique dans la dynamique  organisée de  la dépendance systématique.
Le Centre international de conférence Abdou Diouf de Diamniadio (CICAD) offre  une particulaité, en ce sens qu’elle récompense en filigrane à faire la promotion de la langue française, qui est  ce  logiciel  d’asservissement,  de domination de service public et  d’enseignement.
Aussi  extraordinaire  que  cela puisse paraître, Senghor [ paix à son âme], après avoir régné 20 ans, sans partage,  viola  délibérément la constitution et déclara à sa propre convenance,  son dauphin, Abdou Diouf,  qui  devint  le président  de la  République  du sénégal, le 01 janvier 1981,  par décret présidentiel.  
Cheikh Anta Diop, fut le premier savant  scientifique,  africain dans le panthéon des savants  des vertus multidimensionnelles   qu’on  ne saurait enterrer sous aucun prix.  De toute  façon,  l’actuelle clique politique pathétique  a d’autres préoccupations  ausssi  indignes que  d’immortaliser  ce panafricain hors du commun.   
Mon frère, Ndiawar Diop se demandait  la semaine si  abdou diouf  n’est pas derrière  l’embastillement de Karim wade, l’opposant le mieux placé contre  Macky  sall.  Toute porte à le croire en toute logique.  Je suis totalement en osmose avec  le patriote  qui  a des réflexes    prodigieux, lorsqu’il s’agit  des sciences politiques.

Abdou Diouf: « Je trouve chez Macky Sall une vision qui me rassure ».  Il  croit  gruger les sénégalais, présagés oublieux et se  substitue  allégrement  à  leurs consciences.  


’Vous savez, un homme d’Etat, c’est une vision, une détermination et une capacité d’action. Et je trouve tous ces éléments chez le président Macky Sall’’
Selon Abdou Diouf, la vision, la détermination et la capacité d’action  chez macky sall,   se  résument à réduire au silence tout  citoyen libre et  tout opposant réel ou supoosé.  En fait,  toute capacité de résistance devient sysèmatiquement  source délit. Abdou Diouf fait l’apologie de la tyrannie. 
Chez Abdou Diouf  la vision, signifie, abuser de la force publiquue et  faire taire toute voix discordante des opinions libres. La vision chez macky Sall, c’est promettre, mentir et mentir à n’en plus finir. 
En définitive, Abdou Diouf  a  une vision  drôle de  la démocratie,  car l’homme  fait  preuve d’une démonstration  magistrale de  ce qu’il  savait faire, lorsqu’il  était sur les manettes.
Voilà un jugement de valeur abracadabrantesque de la part d’un illuminé, déclaré- non- éclairé !
L’érection de ce bâtiment insensé,  porte incontestablement  la marque indélébile  des  velléités hégémoniques de l’expansionnisme triomphaliste.
De 1963,  date historique  du  fameux coup d’état de Senghor  contre  Mamadou Dia,  le Président du Conseil, le serviteur,   jusqu'aujourd'hui,  le Sénégal, agenouillé,  n’est jamais   tombé aussi bas  que   sous l’ère d’un faussaire né,  versus   françafrique  « soft  » .
Général  Tavarez De Souza A  Abdou DiouF : «  il n’a jamais été question de coup d’état ».  Qui croire entre les deux hommes ? Naturellement, nous croyons au  Général contre « doungourou « de Senghor, qui a  bel et bien bénéficié d’un decret  présidentiel, totalitaire de Senghor (paix à son âme).   C’est la même chose chez Macky Sall,  qui a été bien  élevé au grade de  Grand Officier de la légion d’honneur française dans les jardins de  l’ambassade de la France  à Dakar, en 2008, pour moult services rendus à la France. C’est donc  normal   que  le  couple Abdou Diouf - Macky Sall   s’unisse, puisque tous les deux portent les mêmes valeurs ignobles devant l’éternel. Ce qui les unit est supérieur à ce qui les désunit.  Tous les deux sont liés par le même cordon ombilical : tous  les deux jouent sur le piano américano-français. Malheureusement, c’est le sénégal qui y perd.
Abdou Diouf, nourrit du lait de son défunt mentor, Senghor, porte donc nécessairement  la même « ADN » que  celle de son bienfaiteur, Senghor.   Peut-il en être tre autrement ?  Le contrare  serait étrange.  Tout se tient en politique.  Il est inutile de répéter que les liaisons dangrereuses des  hommes  constituent une régression totale pour tout le pays. s
L’histoire d’un peuple vaillant,  debout et fier de l’être,  n’a  de sens que  lorsque’elle se passe là où elle  se passe  au moment  de son histoire, pour imprimer sa marque.  Qu’on le veuille ou non,  historiquement et présentement,  le Sénégal,   malgré son apparaence, est le  laboratoire des traitres majoritaires, tous unifiés,  encordés, telle une toile d’araignée.
.En vérité, l’homme est récompensé pour son actisme et son rôle  déterminant  pour la dynamique     de francophonie,  qui  est  cet outil d’asservissement, d’enseignement  et de service public,  le support médiatique, politique, linguistique et culturel.  
 La constitution  est  le Tallon d’Achille du Sénégal.. La langue officielle  du Sénégal  reste bien le français,  qui est par essence,  un outil de travail, un logiciel  d’enseignement de service publi ;  en réalité, une domination extérieure de propagande  essentielle, constituant le socle fédérateur,  fondamental, pour la promotion  des modes de pensée d’une culture étrangère.  
Cheikh Anta Diop, la référence par excellence  de l’homme  noir, le savant  le plus considérable,  le plus coriace  de toute l’histoire de l’Afrique,  était  en tête de peloton  des intellectuels africains,   qui  dénonçaient Senghor, le chantre de la nègritude  et son  degré d’inféodation  totale à la culture et à la langue française.  A l’époque,  Cheikh Anta Diop décryptait l’attitude scandaleuse  de  Senghor,  comme étant le codificateur du fascisme,  le maître du plagiat historique, en particulier, son fameux poème intitulé : « l’émotion  est nègre et la raison  hellène» (Léopold Sédar Senghor). 
En fait, Senghor tenait vaille que vaille hystériquement  et  à démontrer la dualité rationnelle  de  l’homme blanc par rapport au nègre, paresseux par nature,  et  qui danse constamment.

Cheikh Anta Diop : « Senghor me dénigre  à la télévision »

״ À propos de la question du plagiat, je renvoie à « TAXAW » numéro 3, je ne suis que la énième victime avec Hamani Diori, (détérioration des termes de l’échange) ; le Président Bourguiba (francophonie) ; la Pira (civilisation de l’universel); Camus (politique politicienne) ; Ousmane Socé (métissage culturel) ; Césaire (Négritude) ; André  Blanchet (balkanisation) ; Gaston Deferre ( horizon 80, devenu horizon 2000 ou 2001) ״ 
L’écrivain sénégalais,  Boubacar  Boris Diop, résume bien l’aliénation des élites africaines, en pariculier, sénégalaises : «  vous savez,  le secret de la domination excercée sur nous par l’occident, repose sur la domestication des élites. A ce jeu,  la France est très forte et elle a dans divers domaines de  la connaissance  et de l’art,  des relais africains qui se chargent de justifier  sa domination  sur l’Afrique »



Ahmadou Diop CPC