Depuis le regrettable soir du 25 mars 2012, Macky Sall, s’est tranformé
en promoteur exceptionnel du népotisme
et de la gestion gabégique, détient
exclusivement le record absolu des esclandres du siècle au Sénégal.
Macky Sall, qui est le premier
pickpocket, a bien cheminé ensemble avec
le régime d’Abdoulaye wade
pendant 8 ans, reste comptable de
son bilan, n’a jamais souffert de son magistère, ne peut bénficier d’aucune
circonstance atténuante. Au contraire il
en a bien profité pour avoir été au
cœur de l’état, a bel et bien
bénéficié des milliards de Francs
CFA qui ont assuré sa promotion sociale
politique. Dans ces conditions, il est aussi coupable que
ceux qu’il accusse d’avoir fait preuve d’enrichisements illicites. Soyons
sérieux. ! Il est bien pire que tout le reste. C’est un délinquant notoire de premier plan. Rien absolument ne peut le dédouaner.
Vouloir le disculper ou le couvrir, c’est faire preuve de contrevérités
fumantes.
Contrairement aux idées reçues, la notabilité de celui qui nous dirige
d’une main de fer, cela n’est qu’une simple vue de l’esprit. Un
fonctionnaire si riche, quelque soit l’indice de son salaire, n’est pas synonyme
de patriotisme, encore moins de fiscalisme nationaliste.
Pour dire la vérité, sa place n’est pas à la présidence de la
république, mais son lieu d’habitation, c’est
à dire la prison de Rebeuss, devenue, maintenant, le nouveau Guantanamo, qu’il érigé à son
effigie. Lui-même, sa femme Marième Faye,
Aliou Sall, tous doivent être les voisions immédiats de karim wade.
Qui peut compter ses voyages inutiles par ses folies dépensières à l’extérieur et au Sénégal ? Les nominations
hystériques, décriées et aux orientations ethniques, biscournues, sans compter
ses sorties abrasives contre le
pays et l’islam, qu’il insulte en permanence,
vont en pis.
En réalité, Macky Sall, est en définitive, l’éternel homme des richesses étalées et à dormir debout par ses
scandales imprecriptibles, à n’en plus finir. Le despote fraudeur, chevronné, agit sans pudeur, ni vertu, ni scrupules, n’est ni un redresseur des consciences,
mais ne s’encombre d’aucune espèce de
décence, accède de façon inattendue au plus haut sommet de l’état policier.
Malgré
les charivaris torrentiels pour se donner piteusement une
virginité imaginaire, l’homme qui nous dirige
d’une main de fer, nous donne la mesure d’un état
en totale déliquescence, comme système
de gouvernance des pratiques douteuses, est passé maître de la
délinquance financière internationale.
L’homme, qui affichait une fidélité de façade à son menteur Abdoulaye Wade, candide, se cachait
en réalité, un agent encagoulé des lobbies puissants lobbies extérieurs,
aux vertus peu transparentes, un menteur insoupçonné, redoutable,
chapardeur dans l’âme jusqu’à l’abysse, est beaucoup plus dangereux qu’il n’y
apparait. Bref, une taupe
taciturne, infiltrée dans la prairie bleue.
La première
dame, Marième Faye, exemplaire, élégante
par sa simplicité, pieuse musulmane sénégalaise de pure souche, immortalisée
par des caméras bienveillantes à son égard- mon œil ! Alors qu’elle ne
dispose d’aucun poste officiel dans la république. Elle occupe
l’ancien bureau de karim wade, sis au dixième étage de l’immeuble Tamaro, sous
la couverture bidon de fondation « Servir le Sénégal », gérée par Daouada faye,
responsable de la communication et des relations extérieures de la structure.
D’où viennent donc ces mds de Francs CFA ?
Le 20 avril 2012, M. Macky Sall, conformément
aux dispositions de l'article 37 de la Constitution de la république du
Sénégal, déclare
sur l'honneur tous ses biens, estmés au rabais à 9 milliards de Francs CFa.
Selon les déclarations de Lamine Diack aux enquêteurs français, des fonds
russes auraient contribué en 2012 au financement de la campagne de Macky
Sall contre le président sortant, Abdoulaye Wade.
Nonobstant les 400
millions de dollars octroyés par kosmos Energy à Aliou Sall, le propre frère de Macky Sall, le premier ministre-Bêuk Nek du tyran, Macky Sall, Mohamed dionne, qui avait promis la livraison de deux
puits de pétrole en
décembre 2015, qu’’il a pourvus ,
sans qu’il en informe dans les régles de l’art, l’hémicycle du Sénégal, selon le journaliste, Baba Aïdara
.Ce qui est surréaliste et scandaleux,
c’est que l’Assemblée Nationale, tenue en laisse, cartellisée, s’est transformée
servilement peu à peu en caisse de résonnance et d’enregistrement pour
le désonneur du despote, n’a été jamais
saisie, ce qui équivaut donc
à des manquements et des
dysfonctionnements à répétitions de la part d’une gouvernance totalement
pandémique, à l’abondance bancale jusqu’à la lie.
Depuis presque 4 ans,
sévissent sans discontinuer, l’incurie, les charrettes de prévarications, entre autres, la gestion népotique, gabeique et les marchés de gré, qui se perlent de plus en plus.
Voilà donc un pouvoir pourri !
La lutte contre le terrorisme est devenue une pirouette fétiche,
un fourre-tout, un foutoir pour des fraudeurs aux mains totalement baladeuses
des nègres de service, bien connus, agissant dans leur rôle de pantins sur
commande recommandée, à la seule fin de plaire à leurs maîtres.
On ne peut
pas être un exemple de la république, en étant en même temps, le président de la république et le Secrétaire Général de son propre parti
cliniquement clanique et être un démocrate. Il s’agit tout simplement d’une insulte et d’un non
sens.
On ne
s’autoproclame pas le chantre de la rupture, tout en privilégiant sa propre
famille immédiate, les fils et filles de son homonyme avec les placements des
amis, des obligés, des beaux-pères, des beaux-frères, des belles sœurs, des
courtisans, des griots de la dernière heure, entre autres, des tailleurs, à des
postes stratégiques taillés sur mesure au cœur d’un état personnalisé.
On ne
s’autoproclame pas le chantre d’une parodie de rupture en étant un étrange
multimilliardaire en un quart de tour par des raccourcis politiques.
Et la face cachée de la première dame ? Elle gère
elle-même en libre cour les dossiers,
diligente, manigance tout, tire les ficelles
par derrière par ce qu’elle
considère comme étant les plus lourds, à
sa propre convenance, se mêle de tout, s’adjuge tout, fait la pluie et le beau temps, fait ce qu’elle veut, quand elle veut comme
elle veut, recrute, licencie, vire à tout vent, s’érige en tout, à sa propre
convenance, selon ses pulsions. Ce n’est
pas madame Senghor, qui fut jadis, la secrétaire
du président de la république, ne nous
démentira point. Elle a bien payé
un lourd tribut, pour avoir refusé de lui rendre des comptes. Cette dernière a été remplacée par Seynabou Doucouré,
commerçante de profession, est la femme de Khalifa Guèye, un retraité,
qui reprend du service à la direction de la statistique et de la démograhie.