mercredi 10 février 2016

Radio Sunuker présente Emission «Xew Xewi Rewmi» avec Ahmadou Diop du 9 Fevrier 2016: Décryptage de la rupture « souillée » à la grande piraterie familiale des hors-la- loi.



Depuis le regrettable soir du 25 mars 2012, Macky Sall, s’est tranformé en  promoteur exceptionnel du népotisme et de la gestion gabégique,  détient exclusivement le record  absolu des  esclandres du siècle au Sénégal.
Macky Sall, qui est  le premier pickpocket,  a  bien cheminé ensemble  avec  le régime  d’Abdoulaye wade pendant 8 ans, reste  comptable de son  bilan,  n’a jamais souffert  de son magistère, ne peut bénficier d’aucune circonstance atténuante.  Au contraire il en a bien profité  pour  avoir été au  cœur de l’état, a bel et bien  bénéficié des milliards  de Francs CFA  qui ont assuré sa promotion sociale politique.  Dans  ces conditions, il est aussi coupable que ceux qu’il  accusse d’avoir  fait preuve d’enrichisements illicites. Soyons sérieux. ! Il est bien pire que tout le reste.  C’est un délinquant notoire  de premier plan. Rien absolument ne peut le dédouaner. Vouloir le disculper ou le couvrir, c’est faire preuve de contrevérités fumantes.
Contrairement aux idées reçues, la notabilité de celui qui nous dirige d’une main de fer,  cela  n’est qu’une simple vue de l’esprit. Un fonctionnaire si riche, quelque soit l’indice de son salaire, n’est pas synonyme de patriotisme, encore moins de fiscalisme nationaliste.
Pour dire la vérité, sa place n’est pas à la présidence de la république, mais son lieu d’habitation, c’est  à dire  la prison de Rebeuss,   devenue, maintenant,   le nouveau Guantanamo, qu’il érigé à son effigie.  Lui-même, sa femme Marième Faye, Aliou Sall,  tous doivent  être les voisions immédiats  de karim wade.
Qui peut compter ses voyages inutiles par  ses folies dépensières à l’extérieur et  au Sénégal ? Les nominations hystériques, décriées et aux orientations ethniques, biscournues, sans compter ses sorties  abrasives contre le pays  et l’islam, qu’il insulte en permanence, vont en pis.
En réalité, Macky Sall,  est en définitive,  l’éternel homme des  richesses étalées et  à dormir debout  par ses  scandales imprecriptibles, à n’en plus finir. Le  despote fraudeur, chevronné,  agit sans pudeur, ni vertu, ni scrupules,  n’est ni un redresseur des consciences, mais  ne s’encombre d’aucune espèce de décence, accède de façon inattendue au plus haut sommet de l’état policier.
 Malgré les  charivaris  torrentiels pour se donner piteusement une virginité imaginaire,  l’homme qui  nous dirige  d’une main de fer,   nous  donne la mesure  d’un état  en totale déliquescence, comme système  de gouvernance des pratiques douteuses, est passé maître de la délinquance  financière internationale.
L’homme, qui affichait une fidélité de façade  à son menteur Abdoulaye Wade, candide,  se cachait  en réalité, un agent encagoulé des lobbies puissants lobbies extérieurs,  aux vertus peu transparentes,  un menteur insoupçonné, redoutable, chapardeur dans l’âme jusqu’à l’abysse, est beaucoup plus dangereux qu’il n’y apparait.   Bref, une taupe taciturne, infiltrée dans la prairie bleue.
La première dame,  Marième Faye, exemplaire, élégante par sa simplicité, pieuse musulmane sénégalaise de pure souche, immortalisée par des caméras bienveillantes à son égard- mon œil ! Alors qu’elle ne dispose d’aucun poste officiel dans la république.  Elle  occupe l’ancien bureau de karim wade, sis au dixième étage de l’immeuble Tamaro, sous la couverture bidon de fondation « Servir le Sénégal », gérée par Daouada faye, responsable de la communication et des relations extérieures de la structure. D’où viennent donc ces mds de Francs CFA ?
 Le 20 avril 2012, M. Macky Sall, conformément aux dispositions de l'article 37 de la Constitution de la république du Sénégal, déclare sur l'honneur tous ses biens, estmés au rabais  à 9 milliards de Francs CFa.
Selon les déclarations de Lamine Diack aux enquêteurs français, des fonds russes auraient contribué en 2012 au financement de la campagne de Macky Sall contre le président sortant, Abdoulaye Wade.

Nonobstant les 400 millions de  dollars octroyés   par kosmos Energy  à Aliou Sall, le propre frère de Macky Sall,  le premier ministre-Bêuk Nek du  tyran, Macky Sall,  Mohamed dionne,  qui avait promis la livraison de deux puits  de pétrole  en  décembre 2015, qu’’il a  pourvus , sans  qu’il  en informe dans les régles de l’art,  lhémicycle  du Sénégal, selon le journaliste, Baba Aïdara .Ce qui est  surréaliste et scandaleux, c’est  que l’Assemblée Nationale,  tenue en laisse, cartellisée, s’est transformée servilement peu à peu  en  caisse de résonnance et d’enregistrement  pour  le désonneur du despote, n’a été jamais  saisie, ce qui équivaut donc  à  des manquements et des dysfonctionnements à répétitions de la part d’une gouvernance totalement pandémique, à l’abondance bancale jusqu’à la lie.
Depuis  presque  4 ans,  sévissent  sans discontinuer,  l’incurie,  les charrettes de  prévarications,  entre autres,  la gestion népotique,  gabeique et les  marchés de gré, qui se perlent de plus en plus. Voilà donc  un pouvoir pourri !
La lutte contre le terrorisme est devenue une pirouette fétiche, un fourre-tout, un foutoir pour des fraudeurs aux mains totalement baladeuses des nègres de service, bien connus, agissant dans leur rôle de pantins sur commande recommandée, à la seule fin  de  plaire à leurs maîtres.
On ne peut pas être un exemple de la république, en étant en même temps, le  président de la république et  le Secrétaire Général de son propre parti cliniquement clanique et être un démocrate. Il s’agit  tout simplement d’une insulte et d’un non sens.
On ne s’autoproclame pas le chantre de la rupture, tout en privilégiant sa propre famille immédiate, les fils et filles de son homonyme avec les placements des amis, des obligés, des beaux-pères, des beaux-frères, des belles sœurs, des courtisans, des griots de la dernière heure, entre autres, des tailleurs, à des postes stratégiques taillés sur mesure au cœur d’un état personnalisé.
On ne s’autoproclame pas le chantre d’une parodie de rupture en étant un étrange multimilliardaire en un quart de tour par des raccourcis politiques.
 Et la face cachée  de la première dame ? Elle gère elle-même en  libre cour les dossiers, diligente, manigance tout, tire les ficelles  par derrière par ce  qu’elle considère comme étant  les plus lourds, à sa propre convenance, se mêle de tout, s’adjuge tout, fait  la pluie et le beau temps,  fait ce qu’elle veut, quand elle veut comme elle veut, recrute, licencie, vire à tout vent, s’érige en tout, à sa propre convenance, selon ses pulsions.  Ce n’est pas madame Senghor, qui fut  jadis, la secrétaire du président de la république,  ne nous démentira point.  Elle a  bien payé  un lourd tribut,  pour  avoir refusé de lui rendre des comptes.  Cette dernière a été remplacée par Seynabou Doucouré,  commerçante de profession,  est la femme de Khalifa Guèye, un retraité, qui reprend du service à la direction de la statistique et de la démograhie.

Chronique : décryptage de la rupture « souillée » à la grande piraterie familiale des hors-la- loi. Par Ahmadou Diop CPC



Depuis le regrettable soir du 25 mars 2012, Macky Sall, s’est tranformé en  promoteur exceptionnel du népotisme et de la gestion gabégique,  détient exclusivement le record  absolu des  esclandres du siècle au Sénégal.
Macky Sall, qui est  le premier pickpocket,  a  bien cheminé ensemble  avec  le régime  d’Abdoulaye wade pendant 8 ans, reste  comptable de son  bilan,  n’a jamais souffert  de son magistère, ne peut bénficier d’aucune circonstance atténuante.  Au contraire il en a bien profité  pour  avoir été au  cœur de l’état, a bel et bien  bénéficié des milliards  de Francs CFA  qui ont assuré sa promotion sociale politique.  Dans  ces conditions, il est aussi coupable que ceux qu’il  accusse d’avoir  fait preuve d’enrichisements illicites. Soyons sérieux. ! Il est bien pire que tout le reste.  C’est un délinquant notoire  de premier plan. Rien absolument ne peut le dédouaner. Vouloir le disculper ou le couvrir, c’est faire preuve de contrevérités fumantes.
Contrairement aux idées reçues, la notabilité de celui qui nous dirige d’une main de fer,  cela  n’est qu’une simple vue de l’esprit. Un fonctionnaire si riche, quelque soit l’indice de son salaire, n’est pas synonyme de patriotisme, encore moins de fiscalisme nationaliste.
Pour dire la vérité, sa place n’est pas à la présidence de la république, mais son lieu d’habitation, c’est  à dire  la prison de Rebeuss,   devenue, maintenant,   le nouveau Guantanamo, qu’il érigé à son effigie.  Lui-même, sa femme Marième Faye, Aliou Sall,  tous doivent  être les voisions immédiats  de karim wade.
Qui peut compter ses voyages inutiles par  ses folies dépensières à l’extérieur et  au Sénégal ? Les nominations hystériques, décriées et aux orientations ethniques, biscournues, sans compter ses sorties  abrasives contre le pays  et l’islam, qu’il insulte en permanence, vont en pis.
En réalité, Macky Sall,  est en définitive,  l’éternel homme des  richesses étalées et  à dormir debout  par ses  scandales imprecriptibles, à n’en plus finir. Le  despote fraudeur, chevronné,  agit sans pudeur, ni vertu, ni scrupules,  n’est ni un redresseur des consciences, mais  ne s’encombre d’aucune espèce de décence, accède de façon inattendue au plus haut sommet de l’état policier.
 Malgré les  charivaris  torrentiels pour se donner piteusement une virginité imaginaire,  l’homme qui  nous dirige  d’une main de fer,   nous  donne la mesure  d’un état  en totale déliquescence, comme système  de gouvernance des pratiques douteuses, est passé maître de la délinquance  financière internationale.
L’homme, qui affichait une fidélité de façade  à son menteur Abdoulaye Wade, candide,  se cachait  en réalité, un agent encagoulé des lobbies puissants lobbies extérieurs,  aux vertus peu transparentes,  un menteur insoupçonné, redoutable, chapardeur dans l’âme jusqu’à l’abysse, est beaucoup plus dangereux qu’il n’y apparait.   Bref, une taupe taciturne, infiltrée dans la prairie bleue.
La première dame,  Marième Faye, exemplaire, élégante par sa simplicité, pieuse musulmane sénégalaise de pure souche, immortalisée par des caméras bienveillantes à son égard- mon œil ! Alors qu’elle ne dispose d’aucun poste officiel dans la république.  Elle  occupe l’ancien bureau de karim wade, sis au dixième étage de l’immeuble Tamaro, sous la couverture bidon de fondation « Servir le Sénégal », gérée par Daouada faye, responsable de la communication et des relations extérieures de la structure. D’où viennent donc ces mds de Francs CFA ?
 Le 20 avril 2012, M. Macky Sall, conformément aux dispositions de l'article 37 de la Constitution de la république du Sénégal, déclare sur l'honneur tous ses biens, estmés au rabais  à 9 milliards de Francs CFa.
Selon les déclarations de Lamine Diack aux enquêteurs français, des fonds russes auraient contribué en 2012 au financement de la campagne de Macky Sall contre le président sortant, Abdoulaye Wade.

Nonobstant les 400 millions de  dollars octroyés   par kosmos Energy  à Aliou Sall, le propre frère de Macky Sall,  le premier ministre-Bêuk Nek du  tyran, Macky Sall,  Mohamed dionne,  qui avait promis la livraison de deux puits  de pétrole  en  décembre 2015, qu’’il a  pourvus , sans  qu’il  en informe dans les régles de l’art,  lhémicycle  du Sénégal, selon le journaliste, Baba Aïdara .Ce qui est  surréaliste et scandaleux, c’est  que l’Assemblée Nationale,  tenue en laisse, cartellisée, s’est transformée servilement peu à peu  en  caisse de résonnance et d’enregistrement  pour  le désonneur du despote, n’a été jamais  saisie, ce qui équivaut donc  à  des manquements et des dysfonctionnements à répétitions de la part d’une gouvernance totalement pandémique, à l’abondance bancale jusqu’à la lie.
Depuis  presque  4 ans,  sévissent  sans discontinuer,  l’incurie,  les charrettes de  prévarications,  entre autres,  la gestion népotique,  gabeique et les  marchés de gré, qui se perlent de plus en plus. Voilà donc  un pouvoir pourri !
La lutte contre le terrorisme est devenue une pirouette fétiche, un fourre-tout, un foutoir pour des fraudeurs aux mains totalement baladeuses des nègres de service, bien connus, agissant dans leur rôle de pantins sur commande recommandée, à la seule fin  de  plaire à leurs maîtres.
On ne peut pas être un exemple de la république, en étant en même temps, le  président de la république et  le Secrétaire Général de son propre parti cliniquement clanique et être un démocrate. Il s’agit  tout simplement d’une insulte et d’un non sens.
On ne s’autoproclame pas le chantre de la rupture, tout en privilégiant sa propre famille immédiate, les fils et filles de son homonyme avec les placements des amis, des obligés, des beaux-pères, des beaux-frères, des belles sœurs, des courtisans, des griots de la dernière heure, entre autres, des tailleurs, à des postes stratégiques taillés sur mesure au cœur d’un état personnalisé.
On ne s’autoproclame pas le chantre d’une parodie de rupture en étant un étrange multimilliardaire en un quart de tour par des raccourcis politiques.
 Et la face cachée  de la première dame ? Elle gère elle-même en  libre cour les dossiers, diligente, manigance tout, tire les ficelles  par derrière par ce  qu’elle considère comme étant  les plus lourds, à sa propre convenance, se mêle de tout, s’adjuge tout, fait  la pluie et le beau temps,  fait ce qu’elle veut, quand elle veut comme elle veut, recrute, licencie, vire à tout vent, s’érige en tout, à sa propre convenance, selon ses pulsions.  Ce n’est pas madame Senghor, qui fut  jadis, la secrétaire du président de la république,  ne nous démentira point.  Elle a  bien payé  un lourd tribut,  pour  avoir refusé de lui rendre des comptes.  Cette dernière a été remplacée par Seynabou Doucouré,  commerçante de profession,  est la femme de Khalifa Guèye, un retraité, qui reprend du service à la direction de la statistique et de la démograhie.

Non, les Lébous ne sont pas les premiers occupants de Dakar. Par Adia Dramé


Le Président du Sénégal Macky Sall, a déclaré sur Twitter, que les Lébous sont les premiers occupants de la région de Dakar. A-t-il raison ?


Le chef de l’Etat sénégalais Macky Sall a récemment affirmé, dans un tweet, que les Lébous – une ethnie sénégalaise —  sont « les premiers occupants » de la région de Dakar appelée également presqu’île du Cap-Vert.
« J’ai eu ce week-end plaisir à rencontrer la collectivité Lébous, les premiers occupants de la presqu’île du Cap-Vert », écrivait Macky Sall, le 18 janvier, faisant suite à une rencontre avec des membres de cette communauté.
Plusieurs internautes ont interpellé Africa Check par téléphone, par courriel et via Facebook, pour exprimer leur doute quant à l’exactitude du tweet présidentiel.

Nous avons contacté Mamadou Thiam, chargé des médias sociaux à la cellule de communication de la présidence sénégalaise, qui nous a renvoyé à El Hadji Hamidou Kassé, ministre-conseiller chargé de la communication de la Présidence, seul habilité, selon lui, à parler au nom de l’institution. Africa Check a tenté de joindre M. Kassé sans succès.
Mais les Lébous sont-ils réellement les premiers occupants de la presqu’île du Cap-Vert ? Pourquoi y a-t-il une tendance à penser qu’ils sont les premiers habitants de Dakar ?

Les Lébous au Cap-Vert, « une histoire récente »

Dans un entretien avec Africa Check, Ibrahima Thiaw, chef du Laboratoire archéologie de l’Institut fondamental d’Afrique noire (IFAN) de Dakar, a précisé que «Les lébous au Cap-Vert, c’est vraiment une histoire très récente ».
Les premières occupations de la presqu’île du Cap-Vert « remontent à la préhistoire. Nous avons des établissements très anciens qui sont trouvés depuis le paléolithique. Dans les environs de Rufisque, il y a des sites très anciens. On ne peut pas établir leurs ethnies, parce qu’à cette époque il n’y avait pas d’ethnie », a expliqué le chercheur.
Il a souligné qu’en ce qui concerne les Lébous, au 17e ou 18e siècle, il y a eu une scission d’une partie de la population du Kayor qui s’est séparée du royaume de Kayor pour former la République Lébou du Cap-Vert.
Mais avant les Lébous, selon Thiaw, « il y a eu une invasion de groupes mandé (mandingues) à une période ancienne dans cette région ».

En 1444, une presqu’île « peuplée de Mandingues, ses premiers habitants »

Plus précise, la mairie de Dakar souligne, sur son site qu’en 1444, que quand le navigateur portugais Denis Dias a découvert le Cap-Vert, il était déjà « peuplé de Mandingues, ses premiers habitants ».
Quant aux Lébous, originaires du royaume Tekkrour (Nord-est du Sénégal), ils se sont installés bien après, entre 1580 et1617, indique le site Internet de la ville de Dakar.
Cette thèse est confortée par le professeur d’histoire Mamadou Diouf. Dans son mémoire de fin d’études intitulé « Contribution à l’étude des Lébous : la migration du Djolof au Cap-Vert », Diouf affirme que les Lébous sont « originaires du Fouta Toro (Nord) et qu’ils ont migré du Fouta Toro vers le Kayor. Après une scission au 17e siècle, ils ont migré vers le Cap-Vert pour s’y installer ».
« Mais bien avant eux, ajoute Diouf dont l’ouvrage est disponible à la bibliothèque de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar, cet espace était occupé par des Mandingues. [Mais], une fois sur place, les Lébous y créèrent leur République ».

Pourquoi donc pense-t-on que les Lébous sont les premiers habitants du Cap-Vert ?

A l’image de Macky Sall, beaucoup de Sénégalais considèrent les Lébous comme les premiers habitants de la région de Dakar. Là-dessus, le chercheur Ibrahima Thiaw souligne c’est « parce que tout simplement, la mémoire humaine retient l’évènement le plus récent et c’est le cas avec la fondation de la République léboue, qui date du 17e siècle et cela, c’est très récent ».
« C’est la même chose pour notre histoire. Lorsque l’on prend la question de l’ethnicité, on se rend compte que la plupart des ethnies ne sont pas si anciennes qu’on le pense », ajoute-t-il.
« Si on prend les Wolofs, Ndiadiane Ndiaye qui a fondé le royaume du Djolof, ne date pas au-delà du 14ème siècle. Et c’est tout aussi valable pour les Sérères, les Halpulars… », a expliqué le chercheur.

Conclusion : les Lébous ne sont pas les premiers occupants de la région de Dakar

A travers le monde, des groupes ethniques et linguistiques cherchent à revendiquer la primauté sur une localité en affirmant y avoir vécu plus longtemps que les autres. Mais la réalité est plus complexe que cela.
Selon les historiens dont l’archéologue Ibrahima Thiaw de l’IFAN, les Mandingues ont habité cette région bien avant les Lébous, le groupe dont le Président Sall dit qu’il est le premier avoir vécu à Dakar.
D’ailleurs, le site Internet de la ville de Dakar indique qu’en 1444, il y avait des Mandingues à Dakar et que l’occupation léboue date de 1580.
Le Professeur Thiaw signale toutefois que « des établissements très anciens » ont été trouvés depuis le paléolithique, non sans relever que dans les environs de Rufisque, près de Dakar, il y a des sites très anciens dont « on ne peut pas établir leurs ethnies ». Tout compte fait, aucun de ces groupes ne peut dire qu’il est le premier occupant de la région.
Relu par Assane Diagne

samedi 6 février 2016

Nicolas Sarkozy: «Pas question de laisser les colonies françaises d’Afrique avoir leurs propres monnaies !»



Apparemment, l’ancien président de la république Française s’est à nouveau illustré dans des propos choquants ce mardi.
Lors d’une interview à BFMTV, Il aurait dit que le meilleur moyen de préserver la bonne sante de l’économie française, c’était de maintenir le FCFA comme la seul monnaie utilisable dans les colonies française en Afrique.
”La France ne peut pas permettre que ces ancien colonies crée leur propre monnaie pour avoir le Control total sur leur Bank central. Si cela se produise, ca sera une catastrophe pour le trésor public qui pourra entraîner la France au rang de 20ème puissance économique mondial. Pas question de laisser les colonies française d’Afrique avoir leur propre monnaie ”

Qu’est ce que le Franc CFA ?
Le franc CFA (franc des colonies françaises d’Afrique) est le nom de deux monnaies communes à plusieurs pays d’Afrique constituant en partie la zone franc d’Afrique centrale (CEMAC) et la zone franc d’Afrique de l’Ouest (UEMOA).
Comment fonctionne le Franc CFA ?
Le principe 4 est le plus technique. D’abord, il faut préciser que la banque de France ouvre d’une part un compte pour chaque banque centrale (Un pour la BCEAO et un pour la BEAC), d’autre part un compte pour chacun des états membres des zones.
Voila comment cela fonctionne : lorsqu’un pays de la zone CFA exporte vers un autre pays que la France, il récolte des devises qui alimentent la Banque Centrale considérée. Et cette banque Centrale a alors obligation de transférer sur son compte ouvert à la Banque de France au moins 50 % de ses rentrées de devises. A ce jour donc, c’est la Banque de France qui gère 50 % des devises des pays des zones franc.
Enfin : il faut préciser que les instances de gouvernance et d’exécution de tout ce système (Conseil d’Administration, de surveillance, …) incluent des représentants de l’état français qui possèdent un droit de veto et qui sont payés pour préserver les intérêts de leur pays (Ce qu’on ne saurait leur reprocher par ailleurs).
Source: Lafriqueadulte.com, aBamako.com et Tamfuh.com

http: //africa24.info

vendredi 5 février 2016

France : L'hommage du quotidien français Médiapart à Gbagbo


Enlevé de son pays dans l'indifférence de ses pairs africains – quand ils n'ont pas contribué à sa chute aux côtés de la France – Laurent Gbagbo est devenu, après deux ans de détention dans le goulag de l'Europe occidentale, l'étoile de la résistance africaine, l'étendard de ralliement des défenseurs des institutions africaines et de l'indépendance des choix économiques des nations. Au moment où Nelson Mandela, la dernière idole de la résistance à l'injustice et au racisme nous a quitté, l'Afrique entière se réjouit de voir la relève bien assurée.

Entre son arrestation sous les bombes françaises le 11 avril 2011 et son transfert à la Cour pénale internationale à La Haye, durant ses huit mois de détention à Khorogo, il n'y avait guère que de simples citoyens ivoiriens, camerounais et autres Africains à le défendre sans relâche. Dès le 16 avril 2011, ils manifestaient à Paris, place de la Bastille, pour lui crier leur solidarité.

Quant aux rares personnalités politiques ayant pris sa défense avant sa chute, elles s'étaient alors murées dans le silence pour ne pas déplaire à la France, qui fêtait en une grande pompe l'avènement de son préfet nègre réintégrant la Côte d'Ivoire dans le giron françafricain d'où Laurent Gbagbo avait péniblement tenté de l'en extraire. La Côte d'Ivoire était revenue à son point de départ.

Les visages de la résistance à l'injustice

Il a donc fallu la ténacité de ces groupuscules d'Ivoiriens et d'Africains mus par une même volonté, unis dans un même combat, arpentant les rues des villes européennes et faisant des émules aux Etats-Unis et au Canada, pour que le séjour de Laurent Gbagbo à La Haye ne se déroule pas dans le silence et l'indifférence des nations du monde entier.

Il a fallu aussi le talent et l'habileté des journaliste d'investigation (1) comme Théophile Kouamouo, Charles Onana ou Grégory Protche, pour peindre la profonde injustice dont était victime le prisonnier de la CPI ; il a fallu le talent et l'habileté d'une petite mais ardente armée de blogueurs pour que les crimes passés et actuels du nouveau pouvoir ivoirien circulent à travers le monde entier et deviennent même des éléments de référence dans la défense de l'illustre prisonnier.

Dans leur dur et long combat, ces défenseurs de Laurent Gbagbo et du respect de la constitution ivoirienne seront réconfortés par deux excellents films-documentaires. Le premier, Laurent Gbagbo dans le tourbillon du Golfe de Guinée, diffusé en mars 2011, un mois avant sa chute, démontrait de manière éclatante la rapacité de la France sur les immenses richesses encore inexploitées du pays, et sa volonté de contrecarrer le plan d'indépendance économique prôné par le président ivoirien.

Le deuxième est venu d'Italie, curieuse de savoir ce qui s'était passé dans l'ouest ivoirien. A travers les témoignages locaux, ce film nous permet de découvrir comment s'est opérée la complicité de la France dans les massacres de Duékoué et de ses environs, et l'on comprend pourquoi les journalistes français refusent de voir la vérité sur cet épisode de la guerre postélectorale.

Galvanisés par la flagrante injustice, convaincus de la nécessité de porter la vérité jusqu'à ce que la lumière la rende visible à tous, les Ivoiriens, les panafricanistes et leurs rares amis européens n'ont pas baissé les bras et n'ont eu de cesse de multiplier les manifestations en France, en Italie et devant la Cour pénale internationale à La Haye.

On peut affirmer que jamais, dans l'histoire, un leader noir n'a bénéficié d'autant de soutiens de la diaspora africaine et d'autant de sympathie de la part des populations d'Afrique noire. Patrice Lumumba, Kwamé Nkrumah, Sékou Touré, sont morts dans le silence, même si de nombreux Africains les portaient dans leur coeur.

Durant ses 27 années de prison, jamais Nelson Mandela n'a bénéficié d'une telle sympathie populaire. Il faut dire que les temps ont changé : grâce à Internet, l'information circule plus rapidement, les mensonges sont plus vite signalés et démontrés. Ce que l'on tente de cacher se retrouve rapidement porté sur la place publique parce que tous les citoyens, partout dans le monde, sont devenus des informateurs. Plus personne n'a le monopole de l'information. Voilà pourquoi le grossier coup d'état contre Laurent Gbagbo, présenté par la France et l'ONU comme une entreprise de salut public, a fait de lui, en moins de deux ans, le héros africain de la résistance à l'impérialisme européen.

L'accélération de la dénonciation de l'injustice faite à Laurent Gbagbo

On peut même dire que la forte offensive de la résistance au nouveau pouvoir et au mur du mensonge qui cachait la vérité sur le drame ivoirien a surpris les commanditaires et acteurs européens du coup d'état du 11 avril 2011. La popularité de Laurent Gbagbo, fortement ancrée dans le paysage politique de ce début du XXIe siècle, a forcé de nombreuses personnalités politiques à considérer de plus près la manière dont le pouvoir lui a été arraché et les conséquences de ce forfait.

Dans l'introduction du livre de Charles Onana (Côte d'Ivoire, le coup d'Etat), publié en novembre 2011, M. Tabo Mbeki, l'ancien président sud-africain – l'un des premiers médiateurs entre les deux parties du conflit ivoirien – a clairement démontré la ferme intention de la France de se débarrasser de Laurent Gbagbo et le soutien précieux dont elle a bénéficié de l'ONU. En septembre 2012, lors du congrès de l'Internationale Socialiste, en Afrique du Sud, le Ghanéen Kofi Awoonor avait à son tour fustigé la passivité des socialistes français devant le sort réservé à Laurent Gbagbo.

En décembre 2012, enfin, un socialiste –François Loncle – révèle l'activisme corrupteur de madame Alassane Ouattara auprès des hommes politiques français ; dans la même période, Georges Peillon, ancien porte-parole de la force Licorne (l'armée française impliquée dans le conflit ivoirien) reconnaissait le parti pris du pouvoir et des médias français dans la vie politique de la Côte d'Ivoire depuis 2002.

Si les aveux et les critiques étaient devenus de plus en plus nombreux et fragilisaient le pouvoir ivoirien tout en mettant à mal le soutien que lui apportait la France, ce pouvoir demeurait solide aux yeux de l'Europe grâce au mutisme des médias et du gouvernement socialiste qui avait revêtu les habits impérialistes laissés par Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy. C'est finalement à partir de février 2013 que le procès devant confirmer ou infirmer les charges du procureur de la CPI contre Laurent Gbagbo va donner un nouveau souffle à la Résistance ivoirienne et africaine et commencer à ébranler le pouvoir en place et les certitudes des commanditaires onusiens et français.

Ce procès se révéla, en effet, une belle occasion de démontrer que les accusateurs de Laurent Gbagbo manquaient d'arguments pour le faire condamner. Quand on mène pendant dix ans une rébellion contre un pouvoir légal en tuant femmes et enfants, quand avec l'aide de forces étrangères on mène une charge finale sanglante pour s'emparer du pouvoir, cela apparaît en effet ignoble d'accuser celui qui a été défait d'avoir résisté.

Oui, c'est ignoble d'accuser le vaincu de vous avoir obligé, par sa résistance, à tuer femmes et enfants dans votre conquête du pouvoir. Toutes les images de l'attaque d'Abidjan ne révélant que des crimes commis par les assaillants et leurs soutiens, le procureur a dû se tourner vers des documents étrangers pour illustrer son argumentation, la fragilisant par la même occasion. Comment peut-on, dans ces conditions, condamner un homme ou même le garder en prison ?

Dès lors, avant même que les juges de la Cour pénale internationale ne déclarent insuffisantes les preuves présentées par le procureur demandant la condamnation de Laurent Gbagbo, il était difficile aux instruments de la propagande étrangère de cacher la vérité.

Les ONG entrèrent donc dans la danse, au début du mois d'avril 2013, et dénoncèrent « la justice des vainqueurs » tout en soulignant les crimes ethniques, les exécutions sommaires, les chasses à l'homme et les emprisonnements arbitraires des partisans de Laurent Gbagbo – œuvres du pouvoir actuel, de son armée et de ses milices.

Indiscutablement, l'impunité des hommes du nouveau régime blesse la conscience humaine ! Condamner Laurent Gbagbo pour avoir résisté à l'assaut de l'ennemi et voir les vrais bourreaux du peuple ivoirien se pavaner effrontément, alors que les médias africains et les blogueurs étalent quotidiennement les images de leurs crimes, apparaît comme une blessante injustice !

A la suite des ONG, comme si la parole était enfin libérée, ce sont les hommes politiques africains, jusque-là muets, qui vont donner de la voix. Au sommet de l'UA, à la fin de mai 2013, le Premier ministre éthiopien, Hailemariam Desalegn, président de cette organisation, a qualifié la CPI d'instrument raciste au service des occidentaux : « Lors de la création de la CPI, l'objectif était d'éviter toutes sortes d'impunités ; mais, désormais, le processus a dégénéré en une sorte de chasse raciale ». Effectivement, la trentaine d'hommes politiques africains poursuivis par cette institution ne laisse pas penser autre chose.

Le 15 juin, au Gabon, lors d'un débat consacré à « l'indépendance » en Afrique, la ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, a vivement contesté les dires du procureure Bensouda en accusant les Européens d'utiliser la CPI pour manipuler la politique des nations africaines : "C'est malheureux, qu'un grand nombre de conclusions ait été réduit à la manipulation politique […] Il n'est pas honnête de dire que la CPI ne s'acharne pas contre l'Afrique. Je ne suis pas d'accord avec ma soeur Bensouda". Puis la ministre a demandé à celle-ci de ne pas dire "que les Africains viennent la voir [la CPI] pour être jugés. C'est faux, car l'Afrique ne veut pas de colonialisme judiciaire".

La position des hommes politiques africains sur la Cour pénale internationale est donc plus que claire : elle n'est pas impartiale ; elle n'est pas crédible ; elle est raciste. Et, à partir du 3 juin 2013, après l'ajournement du procès et le renvoi de la procureure à la recherche de preuves plus convaincantes, les Européens aussi se laissent gagner par le doute quant à l'impartialité de cette institution. Les journaux français qui, jusque-là, n'ont fait aucun cas ni des nombreuses marches de soutien à Laurent Gbagbo à Paris ou à La Haye, ni des pluies de critiques contre l'injustice du pouvoir actuel concernant l'analyse des crimes commis avant et après les élections, se sont tout à coup mis à faire le procès de la CPI.

Pour la première fois depuis 2002, le journal La Croix ne fait ni l'apologie de l'élu de la France ni la critique de l'ennemi juré des journalistes français. Marianne de son côté juge le procès de la CPI fait par les africanistes tout à fait justifié. C'est à croire que pour tout le monde le mensonge qui fait de Laurent Gbagbo le seul responsable des morts avant et après les élections présidentielles de 2010 ne peut plus être défendu.

La preuve que le vent a tourné et dévoile peu à peu la vérité, c'est que même les muets parlent en France ! Qui a déjà entendu Koffi Yamgnane réagir aux injonctions méprisantes et injustes adressées à Laurent Gbagbo avant et après les dernières élections présidentielles en Côte d'Ivoire ? Qui l'a entendu parler de Laurent Gbagbo ou lui témoigner la moindre sympathie depuis qu'il a été arrêté dans le palais présidentiel par l'armée française ? Incapable de la moindre indépendance de parole, voilà qu'il profite de l'indignation de Bernard Houdin (conseiller de Laurent Gbagbo) pour dire tout simplement que lui aussi pense que « trop, c'est trop », que l'injustice contre Laurent Gbagbo ne peut plus continuer.

Mais attendons de voir s'il ira plus loin que la simple indignation partagée. De son côté, la présidente du Mouvement des Africains-Français, qui s'est toujours opposée aux marches de soutien à Laurent Gbagbo et n'y a jamais participé, entreprend enfin une action précise dans la lutte contre l'impartialité de la CPI : elle lance une pétition pour le retrait des nations africaines de cette institution. L'intention est bonne, mais elle ignore que le combat politique se mène dans la persévérance et non pas périodiquement.

Dans tous les cas, Laurent Gbagbo ne laisse plus personne indifférent puisque ce qui était censé être son procès s'est transformé en procès de l'institution chargée de le juger. Quel retournement de situation ! N'est-ce pas déjà la victoire de la vérité sur le mensonge ? En clair, la CPI se discréditerait complètement aux yeux du monde en maintenant sa volonté de juger Laurent Gbagbo. Elle se trouve dans l'obligation de le libérer et prendre le temps de revoir son fonctionnement par rapport à l'analyse des crimes et des supposés criminels qu'elle doit juger.

Les nouvelles preuves du procureur contre Laurent Gbagbo sont d'avance jugées par l'opinion publique internationale comme irrecevables ; et un éventuel procès serait considéré comme une injustice. Arrêter des partisans de l'actuel président de la Côte d'Ivoire et les traduire devant la CPI afin de justifier la poursuite du procès serait désormais inacceptable. Cette dernière entreprise serait perçue par tous comme l'aveu de l'injustice dont est victime Laurent Gbagbo depuis deux ans, voire depuis dix ans.

Quel long combat ! Mais quel combat magnifique et enthousiasmant quand, comme par miracle, tout le monde le trouve juste ! Après Nelson Mandela, toutes les nations reconnaîtraient-elles l'injustice faite à Laurent Gbagbo ? Quelle belle victoire en perspective ! Ses partisans, les panafricanistes, les journalistes activistes soucieux de la vérité, les infatigables blogueurs, les amis Français – en particulier Guy Labertit, Michel Galy, Bernard Houdin et Albert Bourgi – et ses admirateurs anonymes qui vivaient dans la peur, sont aujourd'hui fiers de leur combat et heureux de voir ça et là des appels à sa libération pure et simple.

Un homme qui, par son seul amour de la vérité, un homme qui a juré d'aller jusqu'au bout et parvient par sa ténacité à renverser l'opinion publique et la machine judiciaire internationale qui s'acharnait à le perdre, ne mérite que l'admiration et les éloges. L'ancien Premier ministre du Togo (1991-1994), Joseph Kokou Koffigoh, et l'artiste béninois Yokula (reggaeman) l'ont bien compris. Ils ne sont pas restés insensibles à cet amour de la vérité attaché au coeur du prisonnier de La Haye. L'un vient de lui consacrer un très beau poème demandant sa libération « des mains de l'infamie » et l'autre une chanson qui clame son amour pour la légalité constitutionnelle.

Laurent Gbagbo est entré dans l'Histoire parce qu'il a donné sa vie pour la vérité, pour le respect de la constitution de son pays ; il est entré dans l'Histoire parce que l'Afrique a reconnu dans son combat le sien.

En s'accrochant à la vérité et au droit, Laurent Gbagbo a accepté de subir l'infamie de l'emprisonnement dans le goulag des puissances occidentales. Comme tous ceux qui ont consacré leur vie aux grands idéaux humains pour que leurs semblables grandissent sous un jour nouveau, l'heure de sa rédemption viendra. Quant à toi, lecteur, n'oublie pas qu'un jour tu devras répondre à cette question : qu'as-tu fait pour soutenir le combat de l'homme que l'on admire aujourd'hui ?
Mediapart

Radio Sunuker présente Emission «Xew Xewi Rewmi» avec Ahmadou Diop du 2 Fevrier 2016: Main basse sur le Pétrole et Gaz du Sénégal par Macky Sall et Aliou Sall.



Le Sénégal - « dafa  Diaxlé»- sur la  République des prédateurs, s’interroge sur son avenir : car  la production du pétrole et du  gaz  est   entre les mains Sales.  Le Sénégal  des élites minables est donc   bien arrimé  à l’effigie des despotes, franc- maçoniques,  fantoches africains.
En Afrique, les  prétendues élites farfelues font l’histoire à la place des  bons à  qui on dénie le statut de héros. C’est la régle générale  en Afrique des coubettes. La sacro- sainte loi de la ribambelle des   minables cartellisés, indignes,  plombe le déveoppement et la démocratie à l’échelle continentale africaine.
Macky Sall se tut par son silence sur le pétrole et le gaz du sénégal.  Car  ne  rien dire, c’est  consentir  et être coupable.
La stratègie bassement politique  passe au silence ses rapines, en particulier,  les révélations  scandaleuses de grande envergure  de Macky Sall et son frère, Aliou Sall, ont fait  main basse sur le pétrole de l’état sénégalais,  décrypté par le journaliste Baba Aïdara.  Le  pouvoir d’état totalitaire  tient à l’occulter comme une lettre à la poste.
Selon les termes du  journaliste  d’investigation,  Baba Aïdra,  qui est  bien informé sur l’affaire pétrotim, les sénégalais ont  droit à  une information sur  les conditions  étranges octroyant  la licence agréée à  ALIOU  Sall. 
[Vidéo]  à l’appui : des documents qui attestent l’implication manifeste d’Aliou Sall dans l’exploitation du pétrole au Sénégal. Et c’est Macky Sall qui a signé le décret et non Wade. (Une explication détaillée et argumentée de Baba Aidara)- Un  des scandales d’état  imprescriptibles  sous  Macky Sall.
Maintenant, le  journal Jeune Afrique, clientéliste, le  porte étendard, et porte drapeau satanique, mercenaire, intellectuel   encapuchonné , passe à la vitesse supérieure,  travaille en intérim et  sur commande  pour s’attaquer à l’islam et en particulier, la  caricature de façon indécente contre  le Grand homme d’Honneur historique, exceptionnel,  que fut Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké  [paix en âme].
«Où a-t-on vu que le pétrole avait jamais été en Afrique noire source de progrès et de bienêtre pour les populations autochtones ? Ce qui est arrivé chaque fois, c’est très exactement le contraire.
 Chez nous, qui dit pétrole, dit malédiction des populations, dictature, violence, guerre civile. L’oléoduc, au mieux, servirait à conforter l’emprise des dictateurs sur les populations ; ils auraient plus d’argent, donc plus d’armes, plus de polices, plus de moyens de corrompre » Mongo Beti, écrivain camerounais. 
Le pétrole et le gaz à gogo sont entre  les mains sales de la république des menteurs professionbnels et des fripouilles ethnicistes et dans l’action matérielle sur le terrain du crime. C’est la régle sur le continent africain sous tutelle coloniale, depuis la nuit des temps. 
Curieusement, l’Afrique est une terre fertile, immense, bénie, recèle  de tout, mais cela constitue une malédiction pour les populations africaines, martyrisées, à la fois par leurs tyrans et les gendarmes coloniaux, s’approprient tout, comme si  la race blanche, suprémaciste,  est supérieure  aux autres de la planète.  Tous les héros africains, qui se battent corps et  âmes sont présumés  coupbles. A contrario, les dociles élites de pacotiile,  les valets nègres  de service, tels que macky sall, y compris  les bong I, Bongo II, Ouattara et Cie,  taillés sur mesure, sont les meilleurs alliés naturels, bien,  asservis,  bénéficient de la  gratitude  de la part de leurs maîtres.
Partout où  poussent  des richesses naturelles, infinies,  immenses,  de toutes sortes, comme le pétrole, le gaz, l’uranium, l’or, le cobal,  le diamant, pour citer que ceux-là.  Les ressources  qui auraient pu  servir les populations  et  créer des emplois,  sont détournées gérées par le  même clan.  car en Afrique,  le pouvoir est une question de familles et de clans, , comme le disait à juste titre,  feu François - Xavier Verschave,  premier président de Survie  France,  auteur de plusieurs ouvrages, entre autres ; « Noir Silence ».
Le voyou de   la république, Macky Sall, qui se niche derrière les grilles d’un palais batiptisé «  des féticheurs » et des francs-maçons,   ne doit son envol  infondé,  qu’à   l’inadvertance  étrange  de son créateur.
Dans cette étude, la définition de Guy Rocher (1992 : Selon lui, l'élite renvoie aux personnes ou groupes de personnes qui par suite du pouvoir qu'ils détiennent ou de l'influence qu'ils exercent contribuent à l'action historique d'une collectivité, soit par des décisions qu'ils prennent, par les idées, les sentiments ou les émotions qu'ils symbolisent.
Une élite politique, responsable, patriotique, peut-elle  vraiment s’enrichir bassement par des raccourcis politiques et dans des conditions totalemlents obscures ?
 Les comportements de nos minables au pouvoir sont aux antipodes de cette définition.  Contrairement à ce que l’on croit, nous n’avons que  des escrocs professionnels antipatriotiques, incultes, arrivistes, incorrigibles,  n’ont aucune parcelle de moralité sur la chose publique. Ils ne sont intéressés par leur propre surmoi et ne roulent que pour eux-mêmes et ne cherchent  que leurs propres intérêts  et ne visent  qu’à  détourner  les deniers publics  qu’ils déposent, sur des comptes qu’ils ouvrent dans les paradis fiscaux. Macky Sall, l’emmerdeur,  emprisonne à tout vent, sévit, est le premier coupable avec toute sa famille de paresseux.
Après son éviction  à la présidence  de l’Assemblée Nationnale, une ptétendue  crise  politique  majeure  l’opposa à wade,  pour avoir voulu, nous dit-on   interroger   karim wade, le super ministre d’état des infrasctures sur la gestion du sommet islamique, qui s’est tenu à Dakar, en mars 2008.
Les raisons  évoquées ne sont  point celles que l’on croit.  A l’époque,  Abdoulaye .Wade, avait décidé de chasser l’impunité et l’immunité  des  troupes colonialistes et leurs privilèges injustifiés.
 Alors, le casus belli, oudi par ses sponsors qui agissent dans l’ombre, en peignant le voleur, déjà multimilliardaire   sous les oripeaux victimaires.  Curieusement, dans le  même   mois  de mars 2008,  La com’ des charniers de mensonges labellisés,  cousus de fils, pour donner du poids à leur poulain,  servile, cartellisé, les parrains tapis dans l’ombre,  tentent  de lui octroyer un blanc seing. Le but du jeu  était  de lui donner une carrure intezrnationale. Bref,  la machine s’emballe depuis.  La suite est bien  connue.
le Sénégal, malgré les apparences douteuses,  n’échappe nullement à  la régle  de l’impunité des fascistes, franc-maçonniques,  corporatistes,  ethnicistes,  terroristes,  qui  font main basse sur son  économie   totalement extravertie, laquelle est  livrée  à l’extérieur, colonialiste,  pour sou, pendant, ce temps, on nous  brandit la menace de terroristes invisibles. Les fauteurs de trouble, pantins, alignés, agiteurs, serviles  sont  bien nichés au palais des féticheurs.
 Il convient donc de faire bouger les lignes de la résistance,  pour démanter les réseaux mafieux encordés à la françafrique, qui  est devenue  une  urgence absolue vitale, prioritaire. C’est une   affaire de dignité,  de souverainté et d’indépendance  réelle, pour que l’Afrique entière puisse assurer son propre  destin sur des bases voulues, à l’instar des brics.
  L’Afrique est sous le giron de la France colonialiste des siècles et des siècles, comme si  elle est  sa  
propre vache à lait. 


Macky Sall & son  propre frère, Aliou Sall

Chronique : Main basse sur le Pétrole et Gaz du Sénégal par Macky Sall et Aliou Sall. Par Ahmadou Diop Leader CPC



Le Sénégal - « dafa  Diaxlé»- sur la  République des prédateurs, s’interroge sur son avenir : car  la production du pétrole et du  gaz  est   entre les mains Sales.  Le Sénégal  des élites minables est donc   bien arrimé  à l’effigie des despotes, franc- maçoniques,  fantoches africains.
En Afrique, les  prétendues élites farfelues font l’histoire à la place des  bons à  qui on dénie le statut de héros. C’est la régle générale  en Afrique des coubettes. La sacro- sainte loi de la ribambelle des   minables cartellisés, indignes,  plombe le déveoppement et la démocratie à l’échelle continentale africaine.
Macky Sall se tut par son silence sur le pétrole et le gaz du sénégal.  Car  ne  rien dire, c’est  consentir  et être coupable.
La stratègie bassement politique  passe au silence ses rapines, en particulier,  les révélations  scandaleuses de grande envergure  de Macky Sall et son frère, Aliou Sall, ont fait  main basse sur le pétrole de l’état sénégalais,  décrypté par le journaliste Baba Aïdara.  Le  pouvoir d’état totalitaire  tient à l’occulter comme une lettre à la poste.
Selon les termes du  journaliste  d’investigation,  Baba Aïdra,  qui est  bien informé sur l’affaire pétrotim, les sénégalais ont  droit à  une information sur  les conditions  étranges octroyant  la licence agréée à  ALIOU  Sall. 
[Vidéo]  à l’appui : des documents qui attestent l’implication manifeste d’Aliou Sall dans l’exploitation du pétrole au Sénégal. Et c’est Macky Sall qui a signé le décret et non Wade. (Une explication détaillée et argumentée de Baba Aidara)- Un  des scandales d’état  imprescriptibles  sous  Macky Sall.
Maintenant, le  journal Jeune Afrique, clientéliste, le  porte étendard, et porte drapeau satanique, mercenaire, intellectuel   encapuchonné , passe à la vitesse supérieure,  travaille en intérim et  sur commande  pour s’attaquer à l’islam et en particulier, la  caricature de façon indécente contre  le Grand homme d’Honneur historique, exceptionnel,  que fut Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké  [paix en âme].
«Où a-t-on vu que le pétrole avait jamais été en Afrique noire source de progrès et de bienêtre pour les populations autochtones ? Ce qui est arrivé chaque fois, c’est très exactement le contraire.
 Chez nous, qui dit pétrole, dit malédiction des populations, dictature, violence, guerre civile. L’oléoduc, au mieux, servirait à conforter l’emprise des dictateurs sur les populations ; ils auraient plus d’argent, donc plus d’armes, plus de polices, plus de moyens de corrompre » Mongo Beti, écrivain camerounais. 
Le pétrole et le gaz à gogo sont entre  les mains sales de la république des menteurs professionbnels et des fripouilles ethnicistes et dans l’action matérielle sur le terrain du crime. C’est la régle sur le continent africain sous tutelle coloniale, depuis la nuit des temps. 
Curieusement, l’Afrique est une terre fertile, immense, bénie, recèle  de tout, mais cela constitue une malédiction pour les populations africaines, martyrisées, à la fois par leurs tyrans et les gendarmes coloniaux, s’approprient tout, comme si  la race blanche, suprémaciste,  est supérieure  aux autres de la planète.  Tous les héros africains, qui se battent corps et  âmes sont présumés  coupbles. A contrario, les dociles élites de pacotiile,  les valets nègres  de service, tels que macky sall, y compris  les bong I, Bongo II, Ouattara et Cie,  taillés sur mesure, sont les meilleurs alliés naturels, bien,  asservis,  bénéficient de la  gratitude  de la part de leurs maîtres.
Partout où  poussent  des richesses naturelles, infinies,  immenses,  de toutes sortes, comme le pétrole, le gaz, l’uranium, l’or, le cobal,  le diamant, pour citer que ceux-là.  Les ressources  qui auraient pu  servir les populations  et  créer des emplois,  sont détournées gérées par le  même clan.  car en Afrique,  le pouvoir est une question de familles et de clans, , comme le disait à juste titre,  feu François - Xavier Verschave,  premier président de Survie  France,  auteur de plusieurs ouvrages, entre autres ; « Noir Silence ».
Le voyou de   la république, Macky Sall, qui se niche derrière les grilles d’un palais batiptisé «  des féticheurs » et des francs-maçons,   ne doit son envol  infondé,  qu’à   l’inadvertance  étrange  de son créateur.
Dans cette étude, la définition de Guy Rocher (1992 : Selon lui, l'élite renvoie aux personnes ou groupes de personnes qui par suite du pouvoir qu'ils détiennent ou de l'influence qu'ils exercent contribuent à l'action historique d'une collectivité, soit par des décisions qu'ils prennent, par les idées, les sentiments ou les émotions qu'ils symbolisent.
Une élite politique, responsable, patriotique, peut-elle  vraiment s’enrichir bassement par des raccourcis politiques et dans des conditions totalemlents obscures ?
 Les comportements de nos minables au pouvoir sont aux antipodes de cette définition.  Contrairement à ce que l’on croit, nous n’avons que  des escrocs professionnels antipatriotiques, incultes, arrivistes, incorrigibles,  n’ont aucune parcelle de moralité sur la chose publique. Ils ne sont intéressés par leur propre surmoi et ne roulent que pour eux-mêmes et ne cherchent  que leurs propres intérêts  et ne visent  qu’à  détourner  les deniers publics  qu’ils déposent, sur des comptes qu’ils ouvrent dans les paradis fiscaux. Macky Sall, l’emmerdeur,  emprisonne à tout vent, sévit, est le premier coupable avec toute sa famille de paresseux.
Après son éviction  à la présidence  de l’Assemblée Nationnale, une ptétendue  crise  politique  majeure  l’opposa à wade,  pour avoir voulu, nous dit-on   interroger   karim wade, le super ministre d’état des infrasctures sur la gestion du sommet islamique, qui s’est tenu à Dakar, en mars 2008.
Les raisons  évoquées ne sont  point celles que l’on croit.  A l’époque,  Abdoulaye .Wade, avait décidé de chasser l’impunité et l’immunité  des  troupes colonialistes et leurs privilèges injustifiés.
 Alors, le casus belli, oudi par ses sponsors qui agissent dans l’ombre, en peignant le voleur, déjà multimilliardaire   sous les oripeaux victimaires.  Curieusement, dans le  même   mois  de mars 2008,  La com’ des charniers de mensonges labellisés,  cousus de fils, pour donner du poids à leur poulain,  servile, cartellisé, les parrains tapis dans l’ombre,  tentent  de lui octroyer un blanc seing. Le but du jeu  était  de lui donner une carrure intezrnationale. Bref,  la machine s’emballe depuis.  La suite est bien  connue.
le Sénégal, malgré les apparences douteuses,  n’échappe nullement à  la régle  de l’impunité des fascistes, franc-maçonniques,  corporatistes,  ethnicistes,  terroristes,  qui  font main basse sur son  économie   totalement extravertie, laquelle est  livrée  à l’extérieur, colonialiste,  pour sou, pendant, ce temps, on nous  brandit la menace de terroristes invisibles. Les fauteurs de trouble, pantins, alignés, agiteurs, serviles  sont  bien nichés au palais des féticheurs.
 Il convient donc de faire bouger les lignes de la résistance,  pour démanter les réseaux mafieux encordés à la françafrique, qui  est devenue  une  urgence absolue vitale, prioritaire. C’est une   affaire de dignité,  de souverainté et d’indépendance  réelle, pour que l’Afrique entière puisse assurer son propre  destin sur des bases voulues, à l’instar des brics.
  L’Afrique est sous le giron de la France colonialiste des siècles et des siècles, comme si  elle est  sa  propre vache à lait.