mercredi 30 mars 2016

L’obscurité et le culte de la médiocrité des nègres de service plombent l’Afrique. [Par Ahmadou Diop]



Tout d’abord pour commencer, précisons ceci : les nègres de service, dont Macky Sall, aujourd’hui, est le premier pantin sur le piano de la françafrique, atlantiste, aux ramifications et des vertus peu transparentes, le représentant adulé, du cercle fermé des intérêts colonialistes, n’est qu’une créature moribonde au puzzle de mauvais aloi pour nous les vrais patriotes aux vérités éternelles.
Je l’ai martelé à maintes reprises et le redis sans cesse, car l’Africain, le vrai de l’ivraie, n’est héros que lorsqu’il meurt. Un paradoxe d’un manque d’aplomb antipatriotique, qui résulte incontestablement d’une particularité africaine, ne comprend rien de son passé si douloureux. Une idée que j’ai toujours défendue avec corps et âme, jusqu’à preuve du contraire. Le véritable héros africain n’est reconnu comme tel pour les siens qu’à sa mort, quand ce sera trop tard pour corriger le tir, en attendant, demain, l’éternel recommencement. Une bêtise qu’on répète à l’infini et tout le temps.
C’est la règle éternelle des renoncements de la servitude jusqu’à l’extinction du soleil et de la lune. S’agit-il, alors d’une malédiction de Cham qu’on porte sans le savoir dans nos gènes ? Mais l’Europe, à contrario, heureusement, prend le contrepied de l’Afrique totalement exclue de l’hagiographie mondiale pour la bassesse inouïe de ses escrocs multimilliardaires, traitres nègres de service plus riches que l’ensemble des chefs d’état des pays développés. Comment des minables énergumènes de la trempe de Macky Sall, très pauvres, hier, puissent s’enrichir bassement dans une opulence effrayante, tandis que le reste de la population vit dans une pauvreté absolue, sidérante ?
Des héros tels Cheikh Anta Diop, l’éternelle référence de l’bomme noir, voire même mondial, l’exceptionnel scientifique le plus coriace, le plus prolixe pour ses recherches scientifiques les plus saillantes pour l’Afrique, Mamadou Dia, le président du Conseil, Omar Bondin Diop, un des plus éminents intellectuels du Sénégal et du continent, Patrice Lumumba, le premier congolais, nationaliste, le plus audacieux, le plus percutant pour son charisme, indéfectible, Nkrumah kwamé, le nationaliste exilé en Roumanie. Ces gens-gens là, auraient pu amener notre chère Afrique à bon port et au même stade que les Brics réunis, aujourd’hui, triomphalistes avec une remarquable indépendance politique, économique, militaire, qu’on respecte, qu’on le veuille ou non.
Depuis lors, le mal endémique, crescendo, va en pis, tel le virus Ebola, qui prospère, grimpe, décime, à tout vent, sévit, aussi longtemps, tant que l’Afrique restera la chasse gardée, présentement vassalisée, agenouillée, insultée, trainée dans la boue, par un pillage systématique organisé de ses ressources africaines exceptionnelles, indispensables, ce don de dieu, qui constitue la pompe des discordes et des guerres, alimentant exclusivement les industries européennes, expansionnistes, colonialistes, puisque l’Afrique est entre les mains sales des sous-hommes, transformés vulgairement en voyous, corrompus, travestis en carpes, ou bouffons pour les beaux yeux des maîtres impérialistes de la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie.
Comment peut-on respecter l’Afrique, qui ne dispose guère d’aucun droit de véto à l’Onu, laquelle organisation vit aux dépens et basques des mêmes puissances capitalistes, colonialistes ? Où est la démocratie lorsque sous le prétexte de protéger des civils, qui sont eux-mêmes les cibles des bavures programmées, sur tous les pays disposant de ressources naturelles, abondantes, comme par hasard, selon les règles érigées de la nouvelle donne du néocolonialisme, conforme à une certaine déontologie, peu respectable, et à géométrie variable, apparemment taillées sur mesure et au nom de la démocratie mondialiste, à double standard, en fonction de la bonne posture au bon moment, quand bien même, dans les lieux des crimes imprescriptibles, l’absolution de l’UA est nécessaire, car peut être, l’Afrique elle-même, n’est pas assez entrée dans l’histoire, comme toutes les grandes nations, qui sont dotées des hautes technologies de pointe, malgré qu’une bonne frange de l’institution, soupçonne les odeurs de l’arbitraire, primant sur tout le reste.
L’Afrique subit le diktat des puissances colonialistes. Une indignité corrodante. Alors, où a-t-on vu en Afrique francophone, la moindre probante parcelle de démocratie dans ses pays tenus d’une main de fer par des voyous, qui les dirigent à coups de canons ?
Nos prétendues élites de pacotille, corvéables à merci, sont confinées dans leur rôle de pantins. Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, dans les années 60, après la débâcle sur l’Algérie pour son gaz, qu’elle tient comme la prunelle de ses yeux, il fallait des pions et des valets triés au volet, pour rattraper le gâteau perdu en Afrique noire conquise par des pantins de la servitude et à la solde de leurs maîtres tapis dans l’ombre, qui tirent par derrière les ficelles. Ce sont tous des écrans de fumée et des indigènes de service aux pieds d’argile,  qui agissent toujours en service commandé.
Dans ces conditions, nous devons et revenir aux fondamentaux et inverser la courbe et maitriser, comme tous les autres, les nouvelles technologies, indispensables pour notre sécurité, en particulier, l’objectif nucléaire, qui est un droit légitime, inaliénable, étant donné que nous avons toutes les richesses innombrables, inestimables, dans notre sous-sol, à savoir, l’or, le précieux métal, le diamant, l’uranium, le cuivre, le cobalt, qui coulent à flot, pour mettre un terme à la dépendance expansionniste de la honte du sièle. Le respect de l’Afrique viendra d’elle-même. Trop de compromis et de compromissions finiront par nous tuer.
Nous devons aussi restituer toute l’histoire africaine bafouée par l’homme blanc, qui se croit perpétuellement l’éternel être humain, invincible, immortel, qu’il n’est jamais, alors qu’il a crée lui-même toutes les violences et qui essaie de retourner la situation à sa propre faveur. Notre propre histoire doit être réécrite par nous-mêmes, sans attendre l’aval de qui que ce soit. Qui a crée l’esclavage, l’apartheid, les guerres, la colonisation, le travail forcé, les brimades, les plus atroces que l’humanité n’ait jamais connus jusqu’ici ? Nous avons toutes les richesses et les réserves mondiales les plus importantes et pourtant, nous sommes les plus pauvres et les plus arriérés en matière de santé ou de technologies.
Face à la corpulence divine du noir le plus intelligent,, sacré, aux génies exceptionnels, inégalés, inégalables, dans son corps et son esprit, rien absolument ne lui résiste. Alors, le blanc, filou, invente l’entrée des armes pour dominer le monde. Désormais, la bataille se gagne par les armes et non point par le corps à corps. Face au corps et à corps du noir avec n’importe qui, la question sans appel est indiscutable.
Voilà l’expropriation éhontée, historique, dont sont victimes, aujourd’hui, les africains, qui sont pourtant, les seuls initiateurs de toutes les civilisations au moment où l’Europe n’existait pas encore, où, alors, quand elle a existé, elle versa dans la barbarie la plus totale, parce que la race n’est rien d’autre qu’une notion géographique, car l’homme blanc n’est devenu comme tel le jour où il a commencé à s’acclimater sous d’autre latitude glacière, en perdant sa mélanine.
En vérité, le colonialisme a forgé dans la conscience du subconscient africain à douter de lui-même.
Le discours Euro centriste a dépeint l’homme noir comme un être prélogique, l’homme noir est dépossédé de sa substance sur des bases exclusivement racistes, mais quand il rentre en possession de lui-même, de ses capacités intellectuelles, intrinsèques, il est un créateur hors pair que rien n’arrête. La beauté exceptionnelle noire, surtout celle du corps de la femme noire, sa finesse, son intelligence innée, sa sensibilité, sa grâce saisissante, éblouissante, sublimable, la fertilité de l’esprit de l’homme noir, tant dans l’art que les sciences, les plus compliquées, confirment que ces créatures hors du commun, possèdent autant de qualités indiscutables que n’importe quelle autre race de la planète.
Qu’il s’agisse des Etats-Unis, de l'Europe, la plupart des combattants sont des noirs coriaces au courage inébranlable. On leur donne nécessairement des moyens illimités avec des armes redoutables très sophistiquées, dernier cri. Voilà le patriotisme qu’il faudrait à l’Afrique pour se libérer des griffes du colonialisme offensant, dégradant.
Cheikh Anta Diop, est le libérateur des esprits domptés, ghettoïsés, l’ouragan qui a balayé le paradigme condescendant de l’occident et les larbins connus de l’establishment- que sont ces pseudos intellectuels « blancs » à peau noirs-les doungourous-des camériers manipulés, agenouillés, aliénés, et parfaitement moulés à la carapace blanche, ne jurant que par la tête du blanc, faussement supérieur, dégradant et au nom d’une civilisation fondée des dissimulations et des coups bas.
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, plus de cinquante cinq ans après les indépendances de la dépendance des colonies françaises, toutes plus massives,  les pillages organisés à l’échelle continentale continuent. Au fond, rien n’a changé, seulement les méthodes sont édulcorées pour mieux camoufler les mêmes objectifs d’hier, c'est-à-dire l’asservissement permanent des noirs aussi longtemps que l’humanité existera. La cupidité de l’homme blanc, humanitariste, sans limite peut le conduire à faire n’importe quoi pour assouvir et arriver à ses fins politiques, fussent-elles moribondes et quel qu’en soit le prix à payer.
Nous ne devons rien attendre de l’Europe qui a colonisé, exploité, asservi l’Afrique pendant au moins cinq siècles, durant lesquels elle s’est bien enrichie pour faire sa révolution industrielle, en créant ses banques, ses paradis fiscaux, ne nous aidera jamais, ne nous faisons pas d’illusions ; on ne peut accorder le moindre crédit à l’idée d’une amitié avec l’Afrique. C’est un non sens. Adhérer à de telles thèses est une chimère, des âneries à couper le souffle. Ceux qui y croient dur comme fer pataugent dans l’utopie totale, puisqu’il n’y a aucune vérité historique des écrits européens sur l’Afrique.
Pour cela, la France ravagée par le nazisme, avait besoin de redresser son économie pillée par les ratonnades et mettre sur pied des industries lourdes, financées en partie par le plan Marshall, dont beaucoup d’autres pays européens avaient massivement bénéficié, au lendemain d’une guerre meurtrière.
Ainsi, pour la France, qui voulut garder son hégémonie, il était nécessaire de développer l’énergie nucléaire pour renforcer sa puissance économique sur ses anciennes colonies nouvellement « indépendantes ». L’uranium coule à flot au Niger. Face à la conjoncture internationale, la France dévastée militairement, agenouillée, n’avait d’autre choix que d’octroyer des indépendances de pacotille. Alors, il devenait absolument indispensable d’installer des régimes fantoches bâillonnés pour récupérer cette ressource vitale pour ses industries lourdes. Le monde occidental n’est pas une panacée, encore moins un modèle par rapport à notre ancienne organisation sociale.
C’est cela qui résulte incontestablement du retard considérable et d’un manque cruel de leaders charismatiques, emblématiques, patriotiques, allaités de la fibre d’honneur, préfèrent bassement baisser les culottes, puisque le continent est pris en otage par des collaborationnistes mesquins, qui ne travaillent que pour faire plaisir aux puissances colonialistes, au nom d’accords bidon, pour saper et bâillonner durablement les indépendances formelles, et en échange des services rendus. Ces maîtres de la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie, malgré les apparences affichées, n’ont que des intérêts, mais ne défendent jamais un quelconque droit de l’Homme.
Pour les besoins du service, des traitres égoïstes, phagocytés et formatés à l’école du fascisme, se transforment en félons endurcis, irrécupérables, pullulent partout en Afrique et à tout vent, faisant florès, se mettent docilement sur le piano atlantiste, comme étant des figures de proue de la référence médiocre, empêchent nécessairement la justice sociale, le progrès et la démocratie.
C’est ça qui crée un obstacle et plombe le développement africain à l’échelle continentale, paradoxalement considéré comme l’avenir du monde. Mais le jour où l’Afrique se réveillera de sa torpeur, le peuple africain marquera l’histoire indélébile une fois de plus, tant qu’il aura compris le sens de la liberté, ce même peuple africain endormi, aujourd’hui embrigadé, prendra conscience de sa force réelle et de son propre destin, saura défendre ses propres intérêts par tous les moyens, à l’échelle continentale africaine, sortira de la pénombre dégradante de l’esclavagisme de ses bourreaux, pour inverser le cours de l’histoire.
En attendant, l’Afrique est par essence, la terre, la tanière, le réservoir, la pépinière et le repaire et le far west des bandits maçonniques encapuchonnés en bande organisée, ne visent qu’à assujettir, avilir, piller les ressources naturelles, pour asservir à jamais les populations constamment prises pour des moutons tondus. L’Afrique reste le ciel ouvert de l’obscurité tropicale, tendant à endormir éternellement tout un peuple corvéable à merci, manipulable et malléable, massivement prisonnier, raboté, qui n’a d’existence que pour n’être que l’esclave, le serviteur dompté, docile indéfectible, bien dressé sous la coupole réglée des guignols corporatistes, aux velléités hégémoniques ethniques, visiblement palpables sur le terrain du crime. Il faut le voir pour le croire. Ce n’est pas de la science fiction, puisque la réalité dépasse même l’esprit rationnel.
Pour parler vrai et au risque d’être loufoque au nom d’un surréalisme décapant, jusqu’à la lie, on ne peut guère bâtir ou développer nos pays respectivement gouvernés par des traîtres pitoyables et aux âmes médiocres, lesquelles sont en totale putréfaction avec leurs prouesses, substantiellement conformes à leur bassesse. La plupart des prétendues élites africaines sont des minables vassaux nègres de service et leur immoralité patente ne souffre d’aucune discussion possible, elles n’ont ni abnégation, ni patriotisme, ni civisme, ni vertu, ni nationalisme, d’aucune sorte, tant leur abondance médiocre, laisse apparaître nettement de piètres faquins plus riches que crésus, se transforment en service commandé de caniveau. Le corporatisme clanique, ethnique, l’utilisation de la force publique, le favoritisme, les détournements massifs des deniers publics, placés dans les paradis fiscaux, qu’elles partagent ostensiblement avec leurs propres familles boulimiques, immédiates, entre autres, amis, collaborateurs, courtisans, restent la seule clé de voûte, qu’elles considèrent comme étant la seule éthique des contradictions politiques.

La Conscience patriotique pour le changement réel, radical-CPC- XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW, qui est et le moteur et la locomotive des esprits libres, s’insurge contre l’état- apr de la terreur de Macky Sall et son régime bancal, fasciste, tyrannique, despotique, dont les méthodes staliniennes, décriées, repoussantes, sont pires que celles de la Stasi, doivent cesser rapidement, au risque que nous soyons, désormais, à petits feux ses propres sujets, dociles, modulables, crevables, corvéables et à merci

La Conscience patriotique pour le changement réel, radical-CPC- XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW ne supporte plus les agissements extravagants d’énergumènes, démasqués, détestables, déchainés, d’une bande d’illuminés, euphoriques d’un pouvoir calamiteux, le plus lamentable d’un régime le plus scandaleux de toute l’histoire de ce pays, qui perd ses marques, sa civilisation

et ses valeurs démocratiques d’antan, très remarquables.

La Conscience patriotique pour le changement réel, radical au Sénégal-CPC- XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW, propose dés maintenant, une véritable alternative des sentinelles patriotiques à l’endroit contre l’envers du décor, représenté par la personne de Macky Sall, qui est  lui-même, très riche étrangement et sa bande de la soldatesque ss Waffen.

Macky  SALL,  candidat présidentiel,  non merci ! Un mandat, c’est déjà trop ! Il faut le virer à tout prix avant même  2017. Pas question d’un deuxième, c’est niet !

La récréation est terminée. Finies donc les prolongations de la période de grâce ! Il doit subir i la même défenestration que son idole, symbole du clinquant. Nous avons déchanté et les désillusions seront aussi fortes, si elles ne sont pas plus graves que les lendemains de l’alternance de mars 2000. Les masques tombent peu à peu à mesure que les jours et les mois passent. Les langues se délient pour démanteler admirablement la supercherie grotesque, en réalité, rancunière : « sobriété d’une bonne gouvernance vertueuse ». Sobriété d’une bonne gouvernance vertueuse ou transparence d’un népotisme comme système de gouvernance ?
« Boudara sed »-point de répit, ni de dialogue, tout doit être chaud jusqu’à la suppression totale de l’estampille néfaste qu’est cette caste de pestiférés au cœur de « l’état apérisé ». Un président de la république n’étant pas un monarque de droit divin, doit être sous pression pour répondre à l’attente de ses concitoyens qui l’ont élu à défaut et pour cause d’étourderie généralisée.
Assez de tartufferie et des histoires carambouilleuses à dormir debout ! Veni vidi vici ! L’esbroufe en spectacle ne doit plus servir de levier d’un pouvoir qui n’est jamais ce qu’il prétend être. Rien que du vent, car les annonces ne suivent pas encore les actions sur le terrain.
L’homme des galéjades qu’on a élu en mars  2012 contre son maître ne l’a été qu’à défaut et par dépit, il promet plus qu’il n’en fait en réalité. Les sénégalais sont déçus de plus en plus. Le présumé messie est pris la main dans le sac au grand jour. Chassez le naturel, il revient toujours au galop. 250 4X4 aux parlementaires très boulimiques des sinécures de la république. 10 millions à chacun des ministres minables, non patriotiques. L’ère Macky est celle d’une wadésie bis bien maquillée.
Maintenant, il nous faut à tout prix mettre à la tête de ce pays des véritables sentinelles libres, patriotiques, nationalistes à l’endroit même contre l’envers du décor, quoique cela puisse nous coûter.
Ahmadou Diop,  CPC
« XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW »

mardi 29 mars 2016

Cheikh Anta Diop : Grand prix de la Mémoire (par Morgane Oko)



Voici un extrait édifiant de l’acte de consécration de Cheikh Anta Diop au Grand Prix de la Mémoire à l’Institut Français du Cameroun (Yaoundé) le 26 février dernier :
« Notre lauréat du Grand Prix de la Mémoire des GPAL 2015 ne s’est pas contenté d’être un chercheur téméraire et un écrivain de grande renommée. Il est à l’avant-garde d’une reconfiguration des acquis de la science, nous recommandons que ses livres soient davantage étudiés et lus, avec les nouvelles perspectives que nous offrent plus de vingt années d’écart depuis sa disparition.
C’est pour saluer un Timor, un précurseur et un écrivain constant que nous dédions pour le compte de l’année 2015 le Grand Prix de la Mémoire à Cheikh Anta Diop, pour l’ensemble de son œuvre et son dévouement à la recherche en et sur l’Afrique. » (L’Equipe des GPAL)
Dans une interview subséquente accordée aux Dépêches de Brazzaville, Fiston Mwanza Mujila, le lauréat du Grand Prix des Grand Prix des Belles-Lettres aux GPAL 2015 pour « Tram 83 » lui déclarait, plus franc et direct : « Après tout le lavage de cerveau orchestré à l’époque coloniale, revu et réactualisé dans l’Apocalypse joyeuse et tonitruante de nos républiques bananières, la relecture de l’œuvre de Cheikh Anta Diop s’avère une nécessité. »
Le Professeur Jacques Fame Ndongo, lui non plus n’a pas échappé à la tendance antadiope. Les habitués du savant sénégalais (que dis-je ? africain !) ; les habitués du savant africain et même universel devraient pour sûr trouver en l’ « Essai sur la sémiotique d’une civilisation en mutation » de Jacques Fame Ndongo, Grand Prix de la Recherche aux GPAL 2015, un nouvel ouvrage pro-Diop de référence.
Et voici pour terminer sur une note d’humour :
« Puis il en était arrivé à l’Egypte. Un autre thème de controverse entre savants africains et occidentaux. Les Blancs avaient toujours représenté les Pharaons dans leurs livres et leurs péplums avec une peau claire. Or, Cheikh Anta Diop, un éminent égyptologue de son pays, après une étude approfondie de la carnation des momies pharaoniques, avait démontré que les grands rois égyptiens étaient des hommes noirs de peau. Bien avant lui d’ailleurs, certains grands esprits de l’antiquité, parmi lesquels Hérodote et l’immense Aristote, avaient déjà évoqué ce fait. Et au dix-huitième siècle encore, un certain comte de Volney, dans son ouvrage intitulé Voyage en Egypte et en Syrie, avait reconnu que les Egyptiens étaient de descendance nègre. Mais chose étrange, les Occidentaux contemporains se refusaient toujours à ratifier la véracité des travaux de son défunt compatriote, et continuaient à mentir aux enfants en leur montrant dans les dessins animés des pharaons à la peau flavescente… » In Opération Obama d’Eric Mendi (Grand Prix des Belles-Lettres aux GPAL 2013).
Article proposé par Morgane Oko

Chronique : Triomphalisme du mal endémique: que faire maintenant ? Par Ahmadou Diop



Triomphalisme du mal endémique: que faire maintenant ?
 Le Sénégal, est-il donc ce Géant Virtuel aux Pieds d’Argile, face à la démocratie ethnique ? Bienvenue au coup de balai citoyen au palais !
Macky sall, est par définition, le virtuose de classe exceptionnelle, que notre pays n’ait jamais connu par ses coups tordus
Le virer et le juger est devenu une question de salubrité publique. C’est un impératif absolu, prioritaire. Revisitez les postes ethniques et vous serez effarés par la liste longue infinie. Le donneur de leçons s’est bien enrichi ostensiblement comme un glouton, en moins de 10 ans par le miracle de la deuxième alternance des leurres. Croire à une rupture sous ce régime bancal, népotique relève d’une illusion monumentale.
Tant que le valet de la françafrique restera sur les commandes au Sénégal, toutes stratègies de développement du sénégal émergent, sont vouées à l’écherc !
Tous les pantins comme l’homme de la rupture des mots ne pensent qu’à eux, utilisent les mécanismes antidémocratiques, à dessein de s’éterniser au pouvoir, et couvrir, ainsi, leurs forfaits disproportionnés, pendant que les pouplations, hélas, s’apprauvrissent davantage, alors que le sous -sol africain recèle de richesses immmenses.
Dans le monde civilisé, toutes les bonnnes élites à l’endroit, ont déjà réglé les comptes de leurs traitres. Des exemples admirables foisonnent dans le monde, sauf bien sûr, en Afrique, qui est devenue le terrain de prédilection des félons larbinisés, jusqu’à la moelle, tous sont à la solde de l’impérialisme suprémaciste blanc. L’histoire appartient aux altruistes et non aux traitres. La Chine et les pays émergents en constituent une preuve matérielle, éloquente, impriment leur marque de fabrique. Le cas du Grand Timonier, Mao, fils d’un riche paysan, contre Tchangaï Chek
L’histoire d’un peuple n’a de sens que lorsqu’elle se passe là où elle se passe, à un moment de son histoire.
Que l’on nous parle de l’économie de marché de la chine, capitaliste ou je ne sais quelle pirouette, qui ne tient sur rien, c’est le résultat escompté qui compte, aujourd’hui. Tout le reste n’est que mystification..
Quoique l’on puisse dire, la Chine d’aujourd’hui, productiviste, est devenue un géant économique, un centre d’intérts, et un grand pays, digne, incontournable, à l’instar des autres de la planète, pendant ce temps, l’Afrique, elle, vacille dans le totalitarisme des fascistes et des courbettes, trinque et trépasse, puisqu’elle entre les mains des écervelés. Tout peuple mérite bien ces dirigeants.
On peut dire donc que la Chine a vaincu tous ses traitres, qui furent tous arrimés à l’expansionnisme américain et européen. C’est cela qui a bien permis à ce grand pays de se hisser dans le peleton fermé des grosses têtes de toute la planète entière.
L’histoire a prouvé que tous les pays, tels que la Chine, la France, les Etats-unis, la Russie,, sont devenus des puissances économiques, militaires, ont obtenu leur décollage tout aziumut sur l’autel des sacrifices, tant sur le plan de l’éducation, politique qu’au niveau de la haute technologie de pointe .
Pas un seul n’ait échappe à cette régle obligatoire, indispensable. Mieux, la résistance patriotique, soudée, leur ont permis d’avoir raison contre les collaborationnistes. On n’a rien sans peine. Pire, ici, les résistants sont systèmatiquement lynchés médiatiquement au mépris de la conscience, car le paradigme colonial traitre dénie le statut de héros au résistant africain.
L’imposition du Franc CFA aux 14 pays africains francophones en 1945, ou le symbole de la monnaie des colonies africaines, est un outil de domination, d’asservissement, de pillage, systèmatique et non de coopération, comme veulent l’insinuer à demi-mot, ceux qui ont des relents colonialistes, hégémoiniques, alambiqués..
Cela signifie tout simplement que les élites de pacotille préférent porter la corde autour de leurs cous, abdiquent et font profil bas sur l’éternel tallon d’Achille.
Dans ces conditions, Peut-on alors parler de bonne gouvernance économique, politique, ou d’un Sénégal émergent ? C’est ridicule. Qui peut parler d’indépendance soutenue et à l’épreuve des faits ?
Au niveau de ces banques, la France a ses conseillers d’administration, qui ont un droit de véto. Pire encore, et cerise sur le gâteau, la France commande tout le monde, mais a des fonds. Assurément en lieu et place des indépendances, c’est la décadence mortifère. Une indignité qui est à son comble.
Nous avons l’obligation de mettre en orbite donc des stratègies et mécanismes de dévelopement pour notre beau pays, le Sénégal, à la seule condition obligatoire que Macky Sall rende le tablier au nom du peuple qu’il a trahi sur toute la ligne !
C’est une condition sine qua non pour nous sortir du guêpier infernal de la dépendance humiliante de l’expasionnisme hexagonale.
Le Sénégal n’a qu’une seule option, c’est le développement multidimensionnel et la culture du patriotisme nationaliste et par l’application systèmatique des stratègies économiques, scientifiques, monétaires, militaires, politiques à l’épreuve des faits, si nous voulons opérer une totale rupture pour un Sénégal émergent, complètement indépendant, souverain, libre, dynamique et permanent.
Tout pays qui ne maîtrise pas son destin sur des bases voulues, ne peut se développer. Rien n’a été fait pour changer radicalement ce pays dans le sens des proprés crescendo. Car la politique de la dépendance continue et aggrave le désastre social, chronique, qui sévit depuis les premières années post-indépendance de la dépendance à nos jours..
Société Petro-Tim Sénégal : un scandale d’Etat familial parmi tant d’autres ou « l’affaire Sallgate et Cie » : Le tintamarre du pétrole et gaz est le plus grotesque, impardonnable du siècle de toute l’histoire politico-financière du Sénégal
Notre pays ne partira jamais, tant que l’élite de la servilité, incarnée par Macky Sall, himself est bien attaché à l’expansionnisme triomphant. Une honte, mais la basssesse n’a jamais honte de ses infractions colossales. La trahison est l’apanage des faibles d’esprit. Le bon sang ne ment !
Qu’importe donc, la levée de bouclier des patriotes, tous unis et debout contre l’amplitude de la surabondance électoralistement négationniste, en tête de laquellele le Talon d’achille du Sénégal, Macky Sall, l’arriviste, ou l’autocrate revigoré, l’inimitable technicien des mécanismes aléatoires réfractaire à la démocratie, rempile par ses pirouettes décriées : que faire maintenant ?
Soyons donc tous solidaires par un bloc monolthique et dans un mouvement uniataire, national, pour bouter du pouvoir l’infidèle endurci, et le mettre hors d’état de nuire, à défaut, nous serons à jamais les esclaves de l’esclave.
Les paroles dédites de ce escroc sont une commande recommandée de ses parrains, qui ont lui tracé sa feuille de route qu’il exécute bassement à la lettre est à l’effigie des valets serviles, tous sont sous contrôle colonial. Il est avéré que le conseil anticonstitutionnel n’est que l’arrière- cour de service et de sinécures du despote.
Le statut d’impunité du président de la république, qui n’est qu’une monarchie, doit être abrogé avec toute la rigueur patriotique et le remplacer par un régime parlementaire fort par le peuple et pour le peuple. C’est une indignité à laquelle il convient d’y mettre un terme définitif.

jeudi 24 mars 2016

Radio Sunuker présente Emission «Xew Xewi Rewmi» avec Ahmadou Diop du 22 Mars 2016: L’esclandre d’une parodie référendaire.


Radio Sunuker présente Emission «Xew Xewi Rewmi» avec Ahmadou Diop du 22 Mars 2016: L’esclandre d’une parodie référendaire.
Tout d’abord, reparlons donc du sujet qui divise tout le pays ! Sur la question de l’heure et des leurres, nous apportons notre expertise, conformément à notre intime conviction – c’est-à-dire sur la chose publique.
Finalement, cette consultation n’est qu’une contrefaçon, un écran de fumée, une simulation ou plus exactement une tromperie savamment orchestrée, qu’on peut assimiler rationnellement à uu scrutin de pacotille, digne d’un simulacre.
Il n’y a qu’en Afrique où de pareilles choses puissent se passer comme une lettre à la poste. Puisque ceux qui sont présumés des notables élites politiques, s’encordent elles aussi avec une certaine classe religieuse. Agisonns donc tous ensemble collectivement tous et dans la rue pour que nous finissions avec le régime de pugilat ou le masque de theâtre !
Malgré le tintamarre, les sénégalais abstentionnistes, ont massivement boudé le cirque électoral, qui n’a pas sa raison d’être, parcequ’ils ne connaissent pas ni la teneur, ni les aboutissants de la mascarde, ne se s’y retrouvent pas.
C’est un vote téléguidé, sciemment syndical, qui a des orientations ethniques, copratistes, invouées en bande organisée, sans éthique, ni équité, n’a aucune valeur juridique, encore politique. Pour nous, ce cirque est nul et non avenu !
Le planificateur doit rendre le tablier sansconditions, au nom du peuple sénégal qu’il n’a cessé de trahir depuis qu’il est arrivé au pouvoir par l’esclandre de ses milliards de Francs CFA, sortis de terrre, on ne sait où et comment ? A défaut, il faut l’aider absolument à démissionner, menottes aux poignets.
Une consultation alambiquée, arbitraire à tambour battant qui est taillée sur mesure, cache habilement les scandales monstrueux, exceptionnels d’un régime pathologique, moribond, criminogène.
Quoique l’on puisse dire, sous MACKY Sall,est le falsificateur historique, dédaigneux, teigneux, arriviste, suffisant et menteur professionnel dans l’âme, crée de toute pièce l’abondance référendaire, corporatiste, ethnique, est bien pris la main dans le sac.
Le picpoket notoire, non repenti, utilise cyniquement l’argent du contribuable fait constamment des folies dépensières, s’arroge tout et corrompt à tout vent, sa clientèle politique, alimentaire, inculte, qu’il agenouille bassement, pour tromper durablement la majorité des sénégalais, sont présagés citoyens de seconde zone.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, le prétendu spécimen de la rupture éclopée, met toute sa famille paresseuse, à l’abri de tout besoin, notamment Aliou Sall, le plus barvard, n’a jamais rien obtenu de lui-même.
L’inimitable pâteux, attentiste, omnipotent auquel les médias asservis, tendent leurs micros n’a aucun mérite visible. Il ne doit sa posture que grâce aux largesses extensibles de son propre frère, Macky Sall, lequel du haut de son piédestal, est juge et partie
Ce n’est guère une consultation normale du pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple, mais celle du régime népotique, négationniste, représenté par le nègre de service, Macky Sall—« l’affairiste Pétain Noir », ethniciste, le féticheur incurable, jusqu’à l’os.
Une certaine abondance servile médiatique, silencieuse, coupable et complice se travestit hystériquement le porte-parole d’un brigandage d’état. Dire que le Sénégal est mal parti, n’est est qu’une litote, qu’on le veuille ou non. Le label des charniers des mensonges adroits est devenu une rhétorique de la profusion la plus partagée dans ce pays étrange et à la renverse.
Dans ces conditions, pourrions-nous rester les bras croisés pour ne rien faire, face à Macky Sall, qui sévit et occupe le terrain avec sa bande talibanisée, cartellisée, telle une toile d’arraignée ?
L’homme des paroles dédites estampille sa marque, garantit son impunité jusqu’en 2019 et peut être même au-delà, tant qu’on le laissera faire.
En afrique les despotes n’organisent jamais leurs scrutins pour les perdre. Ils obtiennent mordicus et systèmatiqument des scores fantasmagoriques à la hauteur de leur indignité. Les parodies électoralistes ne sont qu’une simple formalité administrative. C’est la régle et pour cause.
L’argent coule à flot ne sert qu’à l’achat des consciences, cooruptibles, imprime sa marque. En vérité, nous méritons bien ceux qui nous dirigent.
Pour le régime de pugilat, la transhumance et la corruption massive, constituent la seule vocation de la gouvernance ethnique, totalitaire, ségrégationniste, négationniste d’apartheid, incarné par Macky Sall— « l’Envoyé Spécial Colonial » au Sénégal, ne déviera jamais de sa trajectoire autoritaire.
Désormais, sans répit, depuis le regrettable soir du 25 mars 2012, le Sénégal fait partie du club des fascistes africains, qui utilisent automatiquement des mécanismes douteux pour arriver à leurs fins et garder ainsi le pouvoir clanique.
Le oui, qui a obtenu par la magie des liasses de billets de banque, distribués ça et là, ne reflètent nullement l’adhésion des populations lassées et laissées pour compte sur le quai.
La seule option qui vaille, c’est la descente des citoyens dans la rue pour chasser définitivement le personnage de la décadence. Il n’y a pas d’autres alternatives possibles. Plus on le laissera faire— -on ne sait quel miracle « masla ». Autrement dit, il faut nécessairement le freiner et lui briser ses ailes démesurées. « Badolo xamut ndiowane », car ses échappées torrides nous importunent constamment.
Il est donc temps d’agir maintenant et collectivement, avant qu’il ne soit trop tard, quand ce sera trop tard pour corriger le tir, car nous avons en face de nous un diable de naissance, qui ne changera jamais, n’en démordra jamais jusqu’à la fin de sa vie. Un tel comportement regrettable est le propre de tout autocrate.
L’abstention met en relief le manque d’affluence sur la parodie réfrendaire, qui est ce foutoir, ne réflète nullement l’adhésion des citoyens qui n’y se trouvent pas. C’est un aveu d’échec, un désaveu total
Rien n’y fait, sans discontinuer, contre vents et marrées, le vacarme titanesque, triomphaliste des mystifactions labellisées, cousues de fil blanc s’approprient tout.
Macky Sall a-t-il réellement opéré un changement véritable par rapport à son devancier, dont il aimait se distinguer ? L’homme a-t-il apporté réellement un changement radical dans la conduite des affaires de l’état ? A-t-il posé des actes concrets de rupture ?
Malgré la surabondance de la percussion médiatico-politique, cet homme là porte en lui-même les germes du recul le plus effroyable de toute l’histoire par ses dénégations massives, illimitées. En lieu et place de la rupture, c’est la dévolution sanguine, permanente à l’épreuve des faits : la révolution monarchique de la « dynastie des Faye-Sall, des Gassama » et Cie. Le symbole du misérabilisme clinquant de l’arrogance s’autorise tout, rafle la macarade référendaire.
En lieu et place d’un président de la république normal, les sénégalais par leur étourderie généralisée et l’échelle nationale, ont élu un renégat à défaut et par dépit, lequel n’a la moindre étoffe d’un chef d’état, mais un inculte, qui n’a ni aucune intuition politique, ni de grands projets majeurs, si ce n’est ses incantations stériles et les insultes permanentes à la bouche de ses chiens de garde, qui agissent en bouffons de service avec des discours décapants de la démesure, substantiellement conformes à leur étroitesse d’esprit.
 URL courte: http://www.sunuker.com/?p=103742

L’esclandre d’une parodie référendaire. Par Ahmadou Diop CPC



Tout d’abord, reparlons donc du sujet qui divise tout le pays ! Sur la question de l’heure et des leurres, nous apportons notre expertise, conformément à notre intime conviction – c’est-à-dire sur la chose publique. Finalement, cette consultation n’est qu’une contrefaçon, un écran de fumée, une simulation ou plus exactement une tromperie savamment orchestrée, qu’on peut assimiler rationnellement à un scrutin de pacotille, digne d’un simulacre.
Il n’y a qu’en Afrique où de pareilles choses puissent se passer comme une lettre à la poste. Puisque ceux qui sont présumés des notables élites politiques, s’encordent elles aussi avec une certaine classe religieuse. Agisonns donc tous ensemble, collectivement  et dans la rue pour que nous finissions avec le régime de pugilat ou le masque de theâtre !
Malgré le tintamarre, les sénégalais abstentionnistes, ont massivement boudé le cirque électoral, qui n’a pas sa raison d’être, parce qu’ils ne connaissent pas ni la teneur, ni les aboutissants de la mascarde, ne se s’y retrouvent pas. C’est un vote téléguidé, sciemment syndical, qui a des orientations ethniques, copratistes, invouées en bande organisée, sans éthique, ni équité, n’a aucune valeur juridique, encore  moins politique. Pour nous, ce cirque est nul et non avenu !
Le planificateur doit rendre le tablier sansconditions, au nom du peuple Sénégalais  qu’il n’a cessé de trahir depuis qu’il est arrivé au pouvoir par l’esclandre de ses milliards de Francs CFA, sortis de terrre, on ne sait où et comment ? A défaut, il faut l’aider absolument à démissionner, menottes aux poignets.
Une consultation alambiquée, arbitraire à tambour battant qui est taillée sur mesure, cache habilement les scandales monstrueux, exceptionnels d’un régime pathologique, moribond, criminogène.
Quoique l’on puisse dire, sous MACKY Sall,  qui  est un falsificateur historique, dédaigneux, teigneux, arriviste, suffisant et menteur professionnel dans l’âme, crée de toute pièce l’abondance référendaire, corporatiste, ethnique, est bien pris la main dans le sac.
Le picpoket notoire, non repenti, utilise cyniquement l’argent du contribuable fait constamment des folies dépensières, s’arroge tout et corrompt à tout vent, sa clientèle politique, alimentaire, inculte, qu’il agenouille bassement, pour tromper durablement la majorité des sénégalais, sont présagés citoyens de seconde zone.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, le prétendu spécimen de la rupture éclopée, met toute sa famille paresseuse, à l’abri de tout besoin, notamment Aliou Sall, le plus barvard, n’a jamais rien obtenu de lui-même. L’inimitable pâteux, attentiste, omnipotent auquel les médias asservis, tendent leurs micros n’a aucun mérite visible. Il ne doit sa posture que grâce aux largesses extensibles de son propre frère, Macky Sall, lequel du haut de son piédestal, est juge et partie
Ce n’est guère une consultation normale du pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple, mais celle du régime népotique, négationniste, représenté par le nègre de service, Macky Sall—« l’affairiste Pétain Noir », ethniciste, le féticheur incurable, jusqu’à l’os.
Une certaine abondance servile médiatique, silencieuse, coupable et complice se travestit hystériquement le porte-parole d’un brigandage d’état. Dire que le Sénégal est mal parti, n’est est qu’une litote, qu’on le veuille ou non. Le label des charniers des mensonges adroits est devenu une rhétorique de la profusion la plus partagée dans ce pays étrange et à la renverse.
Dans ces conditions, pourrions-nous rester les bras croisés pour ne rien faire, face à Macky Sall, qui sévit et occupe le terrain avec sa bande talibanisée, cartellisée, telle une toile d’arraignée ?
L’homme des paroles dédites estampille sa marque, garantit son impunité jusqu’en 2019 et peut être même au-delà, tant qu’on le laissera faire.
En afrique les despotes n’organisent jamais leurs scrutins pour les perdre. Ils obtiennent mordicus et systèmatiqument des scores fantasmagoriques à la hauteur de leur indignité. Les parodies électoralistes ne sont qu’une simple formalité administrative. C’est la régle et pour cause. L’argent coule à flot ne sert qu’à l’achat des consciences, cooruptibles, imprime sa marque. En vérité, nous méritons bien ceux qui nous dirigent.
Pour le régime de pugilat, la transhumance et la corruption massive, constituent la seule vocation de la gouvernance ethnique, totalitaire, ségrégationniste, négationniste d’apartheid, incarné par Macky Sall— « l’Envoyé Spécial Colonial » au Sénégal, ne déviera jamais de sa trajectoire autoritaire.
Désormais, sans répit, depuis le regrettable soir du 25 mars 2012, le Sénégal fait partie du club des fascistes africains, qui utilisent automatiquement des mécanismes douteux pour arriver à leurs fins et garder ainsi le pouvoir clanique.
Le oui, qui a obtenu par la magie des liasses de billets de banque, distribués ça et là, ne reflètent nullement l’adhésion des populations lassées et laissées pour compte sur le quai. La seule option qui vaille, c’est la descente des citoyens dans la rue pour chasser définitivement le personnage de la décadence. Il n’y a pas d’autres alternatives possibles. Plus on le laissera faire— -on ne sait quel miracle « masla ». Autrement dit, il faut nécessairement le freiner et lui briser ses ailes démesurées. « Badolo xamut ndiowane », car ses échappées torrides nous importunent constamment.
Il est donc temps d’agir maintenant et collectivement, avant qu’il ne soit trop tard, quand ce sera trop tard pour corriger le tir, car nous avons en face de nous un diable de naissance, qui ne changera jamais, n’en démordra jamais jusqu’à la fin de sa vie. Un tel comportement regrettable est le propre de tout autocrate.
L’abstention met en relief le manque d’affluence sur la parodie réfrendaire, qui est ce foutoir, ne réflète nullement l’adhésion des citoyens qui n’y se trouvent pas. C’est un aveu d’échec, un désaveu total
Rien n’y fait, sans discontinuer, contre vents et marrées, le vacarme titanesque, triomphaliste des mystifactions labellisées, cousues de fil blanc s’approprient tout.
Macky Sall a-t-il réellement opéré un changement véritable par rapport à son devancier, dont il aimait se distinguer ? L’homme a-t-il apporté réellement un changement radical dans la conduite des affaires de l’état ? A-t-il posé des actes concrets de rupture ? Malgré la surabondance de la percussion médiatico-politique, cet homme là porte en lui-même les germes du recul le plus effroyable de toute l’histoire par ses dénégations massives, illimitées. En lieu et place de la rupture, c’est la dévolution sanguine, permanente à l’épreuve des faits : la révolution monarchique de la « dynastie des Faye-Sall, des Gassama » et Cie. Le symbole du misérabilisme clinquant de l’arrogance s’autorise tout, rafle la macarade référendaire.
En lieu et place d’un président de la république normal, les sénégalais par leur étourderie généralisée et l’échelle nationale, ont élu un renégat à défaut et par dépit, lequel n’a la moindre étoffe d’un chef d’état, mais un inculte, qui n’a ni aucune intuition politique, ni de grands projets majeurs, si ce n’est ses incantations stériles et les insultes permanentes à la bouche de ses chiens de garde, qui agissent en bouffons de service avec des discours décapants de la démesure, substantiellement conformes à leur étroitesse d’esprit.

Radio Sunuker présente Emission «Xew Xewi Rewmi» avec Ahmadou Diop du 15 Mars 2016

Ce qui est sûr et certain, c’est que l’homme tient mordicus, telle une huitre sur son rocher à sa consultation-cirque qu’il a ordonnée lui-même par le truchement de ses auxiliaires de service, capitonnés, sont toujours prompts à s’éxécuter bassement pour des raisons matérielles et de prestige ou de popularité mal placés. C’est la loi depuis les opérations coups de poings de Senghor contre mamadou Dia, qui fut le Président du Conseil. En lieu et place du vrai référendum républicain, qui ne devrait porter que sur une seule question, oui ou non pour réduire son mandat présidentiel de 7 à 5 ans, selon l’article 27 de la constitution qui l’écrit de marbre : la durée du mandat du Président de la République est de sept ans. Le mandat est renouvelable une seule fois. Cette disposition ne peut être révisée que par une loi référendaire, laquelle est censée mesurer la température réelle des sénégalais sur la chose prioritaire. Macky fait faux bond, se rétracte, se défausse sur ses promesses électorales en se taillant allégrement et librement sa propre consultation par sa convenance et sur la base exclusive de ses pulsions névrotiques, et avec comme arrièe-plan, met en aval ses intérêts crypto-personnels, mal placés, en particulier, la confiscation du pétrole et du gaz du sénégal qu’il partage avec son frère, Aliou Sall et d’autres partenaires étrangers, dont Franck Tim et son collaborateur direct, Ovidiu Tender, l’homme d’Affaires auquel le Sénégal a cédé les deux puits de pétrole Saloum Onshore et Sud Sénégal Offshore, condamné à 12 ans et 7 mois de prison en Roumanie pour fraude, corruption et blanchiment d’argent.. Donc seule l’action matérielle du peuple, invincible, primera sur tout ! Le non n’a de sens que si Macky Sall aura les menottes aux poignets au soir du 20 mars 2016. Dans le cas contraire, ce sera malheureusement une perte de temps pour le peuple que Macky Sall n’a cessé de tromper. Il est donc temp de mettre fin au régime totalitaire de l’apostat ! Lorsque le peuple se lèvera, que «l’envoyé Spécial Colonial״ », bougre de naissance ou l’affairiste Pétain Noir en chair et en os, Macky Sall, ne nous dise pas, demain, qu’il ne savait ! On ne peut pas légaliser une parodie électorale ? Le renégat assure le service après vente auprès des élites religieuses. Que nenni ! Macky Sall a-t-il donc la mémoire courte ? Bingo et bime au moment où la consultation fait feu de tout bois, continue de défrayer la chronique, sans discontinuer, l’homme des galéjades à profusion, qui perd les pédales, rend visite aux ascenseurs sociaux. Campagne décousue pour « le oui « satanique : MACKY SALL, l’homme qui ne manque pas d’audace et de culot, s’est rendu à Touba dimanche et y passe la nuit dans la ville de serigne Touba rien que pour espérer obtenir « un ndigueul oui-» Alors, que s’est-il passé le 31 janvier 2015 ? « Macky Sall déclairait hystériquement, orbi, urbi, personne ne peut faire pression sur moi »-regardez mon doigt et à propos de qui ?- ! Pourquoi donc le menteur professiuonnel veut-il alors solliciter la baraka de Touba Mbacké ? Tous les marabouts en ont pour leur grade : le tonitruant aux discours calamiteux, fulminait contre ces derniers: « les chapelets ne peuvent développer le pays ». « Les marabouts sont des citoyens ordinaires ». Voilà donc quelqu’un qui est suffisant, nombriliste, qui n’aime que lui-même, n’est ni un patriote, ni un redresseur des consciences. Nous rappelons que Macky Sall déclarait sur rfi, son média préféré, « ce n’est pas lui qui fait la loi ». Patatras, comme si rien n’était, Macky sall organise son cirque et tient à ce que les hommes qu’il a insultés, y participent. Il faut le voir pour le croire ! Il est [Macky] dans une logique de l’absolution permanente pour croire pouvoir érodé les bonnes consciences de naissance. Il ne manquait que cela. Déclencher absolument la dynamique imparable du peuple, pour nous faire entendre. Au lendemain de l’instauration du régime présidentiel, qui tourne à plein régime, l’Assemblée Nationale n’est plus une institution norlmale, perd son existence et ne représente plus le pouvoir régalien, réel du peuple par le peuple et pour le peuple, mais se transforme en locomotive ou la sarabande servile du président de la république, qui dispose des tous les pouvoirs illimités. Le conseil constitutionnel tout comme l’hémicycle sont tous les deux soumis et restent des outils asservis par le pouvoir de l’exécutif qui comprime tout à sa propre volonté. Décidément, il n’y a plus d’élites patriotiques, responsables, mais « des doungourous- bëuknek »- camériers – toutes presque s’évertuent bassement en caisse d’enregistrement et de résonnance pour le pouvoir ubiquitaire qui bande constamment ses muscles. L’Assemblée Nationale a renoncé à son devoir majestueux, devient ipso facto sujet du roi, ne contrôle plus librement les actions gouvernementales, mais est sous contôlé du président de la république, qui n’a plus de ligne Maginot. En vérité, les soi-disant institutions travaillent pour l’agenda du pouvoir présidentiel, qui est un monarque dans les faits. En fin de compte, les députés sont presque tous embrigadés, ne votent ni plus en toute conscience, ni en toute indépendance pour consolider tant soi peu la démocratie, car leurs choix sont déterminés, diligentés depuis le palais, lequel tient la corde, qu’on le veuille ou non. Une telle incongruité nous renseigne éloquemment sur leur dépendance et leurs pantalonnades vis à vis de la majorité mécanique, présidentielle. Dans une telle situation surréaliste, les régles élémentaires de la démocratie sont délibérément bafouées, piétinées.

Y aura-t-il un sursaut national au soir du 20 mars 2016 ? Par Ahmadou Diop



Ce qui est sûr et certain, c’est que l’homme tient mordicus, telle une huitre sur son rocher à sa consultation-cirque qu’il a ordonnée lui-même par le truchement de ses auxiliaires de service, capitonnés, sont toujours prompts à s’éxécuter bassement pour des raisons matérielles et de prestige ou de popularité mal placés. C’est la loi depuis les opérations coups de poings de Senghor contre mamadou Dia, qui fut le Président du Conseil.

En lieu et place du vrai référendum républicain, qui ne devrait porter que sur une seule question, oui ou non pour réduire son mandat présidentiel de 7 à 5 ans, selon l’article 27 de la constitution qui l’écrit de marbre : la durée du mandat du Président de la République est de sept ans. Le mandat est renouvelable une seule fois.
Cette disposition ne peut être révisée que par une loi référendaire, laquelle est censée mesurer la température réelle des sénégalais sur la chose prioritaire. Macky fait faux bond, se rétracte, se défausse sur ses promesses électorales en se taillant allégrement et librement sa propre consultation par sa convenance et sur la base exclusive de ses pulsions névrotiques, et avec comme arrièe-plan, met en aval ses intérêts crypto-personnels, mal placés, en particulier, la confiscation du pétrole et du gaz du sénégal qu’il partage avec son frère, Aliou Sall et d’autres partenaires étrangers, dont Franck Tim et son collaborateur direct, Ovidiu Tender, l’homme d’Affaires auquel le Sénégal a cédé les deux puits de pétrole Saloum Onshore et Sud Sénégal Offshore, condamné à 12 ans et 7 mois de prison en Roumanie pour fraude, corruption et blanchiment d’argent.. Donc seule l’action matérielle du peuple, invincible, primera sur tout !
Le non n’a de sens que si Macky Sall aura les menottes aux poignets au soir du 20 mars 2016. Dans le cas contraire, ce sera malheureusement une perte de temps pour le peuple que Macky Sall n’a cessé de tromper.
Il est donc temp de mettre fin au régime totalitaire de l’apostat ! Lorsque le peuple se lèvera, que «l’envoyé Spécial Colonial״ », bougre de naissance ou l’affairiste Pétain Noir en chair et en os, Macky Sall, ne nous dise pas, demain, qu’il ne savait ! On ne peut pas légaliser une parodie électorale ? Le renégat assure le service après vente auprès des élites religieuses.
Que nenni ! Macky Sall a-t-il donc la mémoire courte ? Bingo et bime au moment où la consultation fait feu de tout bois, continue de défrayer la chronique, sans discontinuer, l’homme des galéjades à profusion, qui perd les pédales, rend visite aux ascenseurs sociaux.
Campagne décousue pour « le oui « satanique : MACKY SALL, l’homme qui ne manque pas d’audace et de culot, s’est rendu à Touba dimanche et y passe la nuit dans la ville de serigne Touba rien que pour espérer obtenir « un ndigueul oui-»
Alors, que s’est-il passé le 31 janvier 2015 ? « Macky Sall déclairait hystériquement, orbi, urbi, personne ne peut faire pression sur moi »-regardez mon doigt et à propos de qui ?- ! Pourquoi donc le menteur professiuonnel veut-il alors solliciter la baraka de Touba Mbacké ?
Tous les marabouts en ont pour leur grade : le tonitruant aux discours calamiteux, fulminait contre ces derniers: « les chapelets ne peuvent développer le pays ». « Les marabouts sont des citoyens ordinaires ». Voilà donc quelqu’un qui est suffisant, nombriliste, qui n’aime que lui-même, n’est ni un patriote, ni un redresseur des consciences. Nous rappelons que Macky Sall déclarait sur rfi, son média préféré, « ce n’est pas lui qui fait la loi ».
Patatras, comme si rien n’était, Macky sall organise son cirque et tient à ce que les hommes qu’il a insultés, y participent. Il faut le voir pour le croire ! Il est [Macky] dans une logique de l’absolution permanente pour croire pouvoir érodé les bonnes consciences de naissance. Il ne manquait que cela.
Déclencher absolument la dynamique imparable du peuple, pour nous faire entendre.
Au lendemain de l’instauration du régime présidentiel, qui tourne à plein régime, l’Assemblée Nationale n’est plus une institution norlmale, perd son existence et ne représente plus le pouvoir régalien, réel du peuple par le peuple et pour le peuple, mais se transforme en locomotive ou la sarabande servile du président de la république, qui dispose des tous les pouvoirs illimités. Le conseil constitutionnel tout comme l’hémicycle sont tous les deux soumis et restent des outils asservis par le pouvoir de l’exécutif qui comprime tout à sa propre volonté.
Décidément, il n’y a plus d’élites patriotiques, responsables, mais « des doungourous- bëuknek »- camériers – toutes presque s’évertuent bassement en caisse d’enregistrement et de résonnance pour le pouvoir ubiquitaire qui bande constamment ses muscles.
L’Assemblée Nationale a renoncé à son devoir majestueux, devient ipso facto sujet du roi, ne contrôle plus librement les actions gouvernementales, mais est sous contôlé du président de la république, qui n’a plus de ligne Maginot.
En vérité, les soi-disant institutions travaillent pour l’agenda du pouvoir présidentiel, qui est un monarque dans les faits. En fin de compte, les députés sont presque tous embrigadés, ne votent ni plus en toute conscience, ni en toute indépendance pour consolider tant soi peu la démocratie, car leurs choix sont déterminés, diligentés depuis le palais, lequel tient la corde, qu’on le veuille ou non. Une telle incongruité nous renseigne éloquemment sur leur dépendance et leurs pantalonnades vis à vis de la majorité mécanique, présidentielle. Dans une telle situation surréaliste, les régles élémentaires de la démocratie sont délibérément bafouées, piétinées.