Tout d’abord pour commencer, précisons ceci : les nègres de
service, dont Macky Sall, aujourd’hui, est le premier pantin sur le piano de la
françafrique, atlantiste, aux ramifications et des vertus peu transparentes, le
représentant adulé, du cercle fermé des intérêts colonialistes, n’est qu’une
créature moribonde au puzzle de mauvais aloi pour nous les vrais patriotes aux
vérités éternelles.
Je l’ai martelé à maintes reprises et le redis sans cesse, car
l’Africain, le vrai de l’ivraie, n’est héros que lorsqu’il meurt. Un paradoxe
d’un manque d’aplomb antipatriotique, qui résulte incontestablement d’une
particularité africaine, ne comprend rien de son passé si douloureux. Une idée
que j’ai toujours défendue avec corps et âme, jusqu’à preuve du contraire. Le
véritable héros africain n’est reconnu comme tel pour les siens qu’à sa mort,
quand ce sera trop tard pour corriger le tir, en attendant, demain, l’éternel
recommencement. Une bêtise qu’on répète à l’infini et tout le temps.
C’est la règle éternelle des renoncements de la servitude
jusqu’à l’extinction du soleil et de la lune. S’agit-il, alors d’une
malédiction de Cham qu’on porte sans le savoir dans nos gènes ? Mais l’Europe,
à contrario, heureusement, prend le contrepied de l’Afrique totalement exclue
de l’hagiographie mondiale pour la bassesse inouïe de ses escrocs
multimilliardaires, traitres nègres de service plus riches que l’ensemble des
chefs d’état des pays développés. Comment des minables énergumènes de la trempe
de Macky Sall, très pauvres, hier, puissent s’enrichir bassement dans une
opulence effrayante, tandis que le reste de la population vit dans une pauvreté
absolue, sidérante ?
Des héros tels Cheikh Anta Diop, l’éternelle référence de
l’bomme noir, voire même mondial, l’exceptionnel scientifique le plus coriace,
le plus prolixe pour ses recherches scientifiques les plus saillantes pour
l’Afrique, Mamadou Dia, le président du Conseil, Omar Bondin Diop, un des plus
éminents intellectuels du Sénégal et du continent, Patrice Lumumba, le premier
congolais, nationaliste, le plus audacieux, le plus percutant pour son
charisme, indéfectible, Nkrumah kwamé, le nationaliste exilé en Roumanie. Ces
gens-gens là, auraient pu amener notre chère Afrique à bon port et au même
stade que les Brics réunis, aujourd’hui, triomphalistes avec une remarquable
indépendance politique, économique, militaire, qu’on respecte, qu’on le veuille
ou non.
Depuis lors, le mal endémique, crescendo, va en pis, tel le
virus Ebola, qui prospère, grimpe, décime, à tout vent, sévit, aussi longtemps,
tant que l’Afrique restera la chasse gardée, présentement vassalisée,
agenouillée, insultée, trainée dans la boue, par un pillage systématique
organisé de ses ressources africaines exceptionnelles, indispensables, ce don
de dieu, qui constitue la pompe des discordes et des guerres, alimentant
exclusivement les industries européennes, expansionnistes, colonialistes,
puisque l’Afrique est entre les mains sales des sous-hommes, transformés
vulgairement en voyous, corrompus, travestis en carpes, ou bouffons pour les
beaux yeux des maîtres impérialistes de la démocratie mondialiste de
l’arbitraire et de la tyrannie.
Comment peut-on respecter l’Afrique, qui ne dispose guère
d’aucun droit de véto à l’Onu, laquelle organisation vit aux dépens et basques
des mêmes puissances capitalistes, colonialistes ? Où est la démocratie lorsque
sous le prétexte de protéger des civils, qui sont eux-mêmes les cibles des
bavures programmées, sur tous les pays disposant de ressources naturelles,
abondantes, comme par hasard, selon les règles érigées de la nouvelle donne du
néocolonialisme, conforme à une certaine déontologie, peu respectable, et à
géométrie variable, apparemment taillées sur mesure et au nom de la démocratie
mondialiste, à double standard, en fonction de la bonne posture au bon moment,
quand bien même, dans les lieux des crimes imprescriptibles, l’absolution de
l’UA est nécessaire, car peut être, l’Afrique elle-même, n’est pas assez entrée
dans l’histoire, comme toutes les grandes nations, qui sont dotées des hautes
technologies de pointe, malgré qu’une bonne frange de l’institution, soupçonne
les odeurs de l’arbitraire, primant sur tout le reste.
L’Afrique subit le diktat des puissances colonialistes. Une
indignité corrodante. Alors, où a-t-on vu en Afrique francophone, la moindre
probante parcelle de démocratie dans ses pays tenus d’une main de fer par des
voyous, qui les dirigent à coups de canons ?
Nos prétendues élites de pacotille, corvéables à merci, sont
confinées dans leur rôle de pantins. Aussi extraordinaire que cela puisse
paraître, dans les années 60, après la débâcle sur l’Algérie pour son gaz,
qu’elle tient comme la prunelle de ses yeux, il fallait des pions et des valets
triés au volet, pour rattraper le gâteau perdu en Afrique noire conquise par
des pantins de la servitude et à la solde de leurs maîtres tapis dans l’ombre,
qui tirent par derrière les ficelles. Ce sont tous des écrans de fumée et des
indigènes de service aux pieds d’argile, qui agissent toujours en service commandé.
Dans ces conditions, nous devons et revenir aux fondamentaux et
inverser la courbe et maitriser, comme tous les autres, les nouvelles
technologies, indispensables pour notre sécurité, en particulier, l’objectif
nucléaire, qui est un droit légitime, inaliénable, étant donné que nous avons
toutes les richesses innombrables, inestimables, dans notre sous-sol, à savoir,
l’or, le précieux métal, le diamant, l’uranium, le cuivre, le cobalt, qui
coulent à flot, pour mettre un terme à la dépendance expansionniste de la honte
du sièle. Le respect de l’Afrique viendra d’elle-même. Trop de compromis et de
compromissions finiront par nous tuer.
Nous devons aussi restituer toute l’histoire africaine bafouée
par l’homme blanc, qui se croit perpétuellement l’éternel être humain,
invincible, immortel, qu’il n’est jamais, alors qu’il a crée lui-même toutes
les violences et qui essaie de retourner la situation à sa propre faveur. Notre
propre histoire doit être réécrite par nous-mêmes, sans attendre l’aval de qui
que ce soit. Qui a crée l’esclavage, l’apartheid, les guerres, la colonisation,
le travail forcé, les brimades, les plus atroces que l’humanité n’ait jamais
connus jusqu’ici ? Nous avons toutes les richesses et les réserves mondiales
les plus importantes et pourtant, nous sommes les plus pauvres et les plus
arriérés en matière de santé ou de technologies.
Face à la corpulence divine du noir le plus intelligent,, sacré,
aux génies exceptionnels, inégalés, inégalables, dans son corps et son esprit,
rien absolument ne lui résiste. Alors, le blanc, filou, invente l’entrée des
armes pour dominer le monde. Désormais, la bataille se gagne par les armes et
non point par le corps à corps. Face au corps et à corps du noir avec n’importe
qui, la question sans appel est indiscutable.
Voilà l’expropriation éhontée, historique, dont sont victimes,
aujourd’hui, les africains, qui sont pourtant, les seuls initiateurs de toutes
les civilisations au moment où l’Europe n’existait pas encore, où, alors, quand
elle a existé, elle versa dans la barbarie la plus totale, parce que la race
n’est rien d’autre qu’une notion géographique, car l’homme blanc n’est devenu
comme tel le jour où il a commencé à s’acclimater sous d’autre latitude
glacière, en perdant sa mélanine.
En vérité, le colonialisme a forgé dans la conscience du
subconscient africain à douter de lui-même.
Le discours Euro centriste a dépeint l’homme noir comme un être
prélogique, l’homme noir est dépossédé de sa substance sur des bases
exclusivement racistes, mais quand il rentre en possession de lui-même, de ses
capacités intellectuelles, intrinsèques, il est un créateur hors pair que rien
n’arrête. La beauté exceptionnelle noire, surtout celle du corps de la femme
noire, sa finesse, son intelligence innée, sa sensibilité, sa grâce
saisissante, éblouissante, sublimable, la fertilité de l’esprit de l’homme
noir, tant dans l’art que les sciences, les plus compliquées, confirment que
ces créatures hors du commun, possèdent autant de qualités indiscutables que
n’importe quelle autre race de la planète.
Qu’il s’agisse des Etats-Unis, de l'Europe, la plupart des
combattants sont des noirs coriaces au courage inébranlable. On leur donne
nécessairement des moyens illimités avec des armes redoutables très
sophistiquées, dernier cri. Voilà le patriotisme qu’il faudrait à l’Afrique
pour se libérer des griffes du colonialisme offensant, dégradant.
Cheikh Anta Diop, est le libérateur des esprits domptés, ghettoïsés,
l’ouragan qui a balayé le paradigme condescendant de l’occident et les larbins
connus de l’establishment- que sont ces pseudos intellectuels « blancs » à peau
noirs-les doungourous-des camériers manipulés, agenouillés, aliénés, et
parfaitement moulés à la carapace blanche, ne jurant que par la tête du blanc,
faussement supérieur, dégradant et au nom d’une civilisation fondée des
dissimulations et des coups bas.
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, plus de cinquante cinq
ans après les indépendances de la dépendance des colonies françaises, toutes
plus massives, les pillages organisés à
l’échelle continentale continuent. Au fond, rien n’a changé, seulement les
méthodes sont édulcorées pour mieux camoufler les mêmes objectifs d’hier,
c'est-à-dire l’asservissement permanent des noirs aussi longtemps que
l’humanité existera. La cupidité de l’homme blanc, humanitariste, sans limite
peut le conduire à faire n’importe quoi pour assouvir et arriver à ses fins
politiques, fussent-elles moribondes et quel qu’en soit le prix à payer.
Nous ne devons rien attendre de l’Europe qui a colonisé,
exploité, asservi l’Afrique pendant au moins cinq siècles, durant lesquels elle
s’est bien enrichie pour faire sa révolution industrielle, en créant ses
banques, ses paradis fiscaux, ne nous aidera jamais, ne nous faisons pas
d’illusions ; on ne peut accorder le moindre crédit à l’idée d’une amitié avec
l’Afrique. C’est un non sens. Adhérer à de telles thèses est une chimère, des
âneries à couper le souffle. Ceux qui y croient dur comme fer pataugent dans
l’utopie totale, puisqu’il n’y a aucune vérité historique des écrits européens
sur l’Afrique.
Pour cela, la France ravagée par le nazisme, avait besoin de
redresser son économie pillée par les ratonnades et mettre sur pied des
industries lourdes, financées en partie par le plan Marshall, dont beaucoup
d’autres pays européens avaient massivement bénéficié, au lendemain d’une
guerre meurtrière.
Ainsi, pour la France, qui voulut garder son hégémonie, il était
nécessaire de développer l’énergie nucléaire pour renforcer sa puissance
économique sur ses anciennes colonies nouvellement « indépendantes ». L’uranium
coule à flot au Niger. Face à la conjoncture internationale, la France dévastée
militairement, agenouillée, n’avait d’autre choix que d’octroyer des
indépendances de pacotille. Alors, il devenait absolument indispensable
d’installer des régimes fantoches bâillonnés pour récupérer cette ressource
vitale pour ses industries lourdes. Le monde occidental n’est pas une panacée,
encore moins un modèle par rapport à notre ancienne organisation sociale.
C’est cela qui résulte incontestablement du retard considérable
et d’un manque cruel de leaders charismatiques, emblématiques, patriotiques,
allaités de la fibre d’honneur, préfèrent bassement baisser les culottes,
puisque le continent est pris en otage par des collaborationnistes mesquins,
qui ne travaillent que pour faire plaisir aux puissances colonialistes, au nom
d’accords bidon, pour saper et bâillonner durablement les indépendances
formelles, et en échange des services rendus. Ces maîtres de la démocratie
mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie, malgré les apparences affichées,
n’ont que des intérêts, mais ne défendent jamais un quelconque droit de
l’Homme.
Pour les besoins du service, des traitres égoïstes, phagocytés
et formatés à l’école du fascisme, se transforment en félons endurcis,
irrécupérables, pullulent partout en Afrique et à tout vent, faisant florès, se
mettent docilement sur le piano atlantiste, comme étant des figures de proue de
la référence médiocre, empêchent nécessairement la justice sociale, le progrès
et la démocratie.
C’est ça qui crée un obstacle et plombe le développement
africain à l’échelle continentale, paradoxalement considéré comme l’avenir du monde.
Mais le jour où l’Afrique se réveillera de sa torpeur, le peuple africain
marquera l’histoire indélébile une fois de plus, tant qu’il aura compris le
sens de la liberté, ce même peuple africain endormi, aujourd’hui embrigadé,
prendra conscience de sa force réelle et de son propre destin, saura défendre
ses propres intérêts par tous les moyens, à l’échelle continentale africaine,
sortira de la pénombre dégradante de l’esclavagisme de ses bourreaux, pour
inverser le cours de l’histoire.
En attendant, l’Afrique est par essence, la terre, la tanière,
le réservoir, la pépinière et le repaire et le far west des bandits maçonniques
encapuchonnés en bande organisée, ne visent qu’à assujettir, avilir, piller les
ressources naturelles, pour asservir à jamais les populations constamment
prises pour des moutons tondus. L’Afrique reste le ciel ouvert de l’obscurité
tropicale, tendant à endormir éternellement tout un peuple corvéable à merci,
manipulable et malléable, massivement prisonnier, raboté, qui n’a d’existence
que pour n’être que l’esclave, le serviteur dompté, docile indéfectible, bien
dressé sous la coupole réglée des guignols corporatistes, aux velléités
hégémoniques ethniques, visiblement palpables sur le terrain du crime. Il faut
le voir pour le croire. Ce n’est pas de la science fiction, puisque la réalité
dépasse même l’esprit rationnel.
Pour parler vrai et au risque d’être loufoque au nom d’un
surréalisme décapant, jusqu’à la lie, on ne peut guère bâtir ou développer nos
pays respectivement gouvernés par des traîtres pitoyables et aux âmes
médiocres, lesquelles sont en totale putréfaction avec leurs prouesses,
substantiellement conformes à leur bassesse. La plupart des prétendues élites
africaines sont des minables vassaux nègres de service et leur immoralité
patente ne souffre d’aucune discussion possible, elles n’ont ni abnégation, ni
patriotisme, ni civisme, ni vertu, ni nationalisme, d’aucune sorte, tant leur
abondance médiocre, laisse apparaître nettement de piètres faquins plus riches
que crésus, se transforment en service commandé de caniveau. Le corporatisme
clanique, ethnique, l’utilisation de la force publique, le favoritisme, les
détournements massifs des deniers publics, placés dans les paradis fiscaux,
qu’elles partagent ostensiblement avec leurs propres familles boulimiques,
immédiates, entre autres, amis, collaborateurs, courtisans, restent la seule
clé de voûte, qu’elles considèrent comme étant la seule éthique des
contradictions politiques.
La Conscience
patriotique pour le changement réel, radical-CPC- XAM SA REW - BËG SA REW -
JARIÑ SA REW, qui est et le moteur et la locomotive des esprits libres,
s’insurge contre l’état- apr de la terreur de Macky Sall et son régime bancal,
fasciste, tyrannique, despotique, dont les méthodes staliniennes, décriées,
repoussantes, sont pires que celles de la Stasi, doivent cesser rapidement, au
risque que nous soyons, désormais, à petits feux ses propres sujets, dociles,
modulables, crevables, corvéables et à merci
La Conscience
patriotique pour le changement réel, radical-CPC- XAM SA REW - BËG SA REW -
JARIÑ SA REW ne supporte plus les agissements extravagants d’énergumènes,
démasqués, détestables, déchainés, d’une bande d’illuminés, euphoriques d’un
pouvoir calamiteux, le plus lamentable d’un régime le plus scandaleux de toute
l’histoire de ce pays, qui perd ses marques, sa civilisation
et ses valeurs
démocratiques d’antan, très remarquables.
La Conscience
patriotique pour le changement réel, radical au Sénégal-CPC- XAM SA REW - BËG
SA REW - JARIÑ SA REW, propose dés maintenant, une véritable alternative des
sentinelles patriotiques à l’endroit contre l’envers du décor, représenté par
la personne de Macky Sall, qui est lui-même, très riche étrangement et sa bande
de la soldatesque ss Waffen.
Macky SALL, candidat présidentiel, non merci ! Un mandat, c’est déjà trop ! Il
faut le virer à tout prix avant même 2017. Pas question d’un deuxième, c’est niet !
La récréation est terminée. Finies donc les prolongations de la
période de grâce ! Il doit subir i la même défenestration que son idole,
symbole du clinquant. Nous avons déchanté et les désillusions seront aussi
fortes, si elles ne sont pas plus graves que les lendemains de l’alternance de
mars 2000. Les masques tombent peu à peu à mesure que les jours et les mois
passent. Les langues se délient pour démanteler admirablement la supercherie
grotesque, en réalité, rancunière : « sobriété d’une bonne gouvernance
vertueuse ». Sobriété d’une bonne gouvernance vertueuse ou transparence d’un
népotisme comme système de gouvernance ?
« Boudara sed »-point de répit, ni de dialogue, tout doit être
chaud jusqu’à la suppression totale de l’estampille néfaste qu’est cette caste
de pestiférés au cœur de « l’état apérisé ». Un président de la république
n’étant pas un monarque de droit divin, doit être sous pression pour répondre à
l’attente de ses concitoyens qui l’ont élu à défaut et pour cause d’étourderie
généralisée.
Assez de tartufferie et des histoires carambouilleuses à dormir
debout ! Veni vidi vici ! L’esbroufe en spectacle ne doit plus servir de levier
d’un pouvoir qui n’est jamais ce qu’il prétend être. Rien que du vent, car les
annonces ne suivent pas encore les actions sur le terrain.
L’homme des galéjades qu’on a élu en mars 2012 contre son maître ne l’a été qu’à défaut
et par dépit, il promet plus qu’il n’en fait en réalité. Les sénégalais sont
déçus de plus en plus. Le présumé messie est pris la main dans le sac au grand
jour. Chassez le naturel, il revient toujours au galop. 250 4X4 aux
parlementaires très boulimiques des sinécures de la république. 10 millions à
chacun des ministres minables, non patriotiques. L’ère Macky est celle d’une
wadésie bis bien maquillée.
Maintenant, il nous faut à tout prix mettre à la tête de ce pays
des véritables sentinelles libres, patriotiques, nationalistes à l’endroit même
contre l’envers du décor, quoique cela puisse nous coûter.
Ahmadou Diop, CPC
« XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW »